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 L'histoire du Fléau

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Amandier
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Amandier
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MessageSujet: Re: L'histoire du Fléau   L'histoire du Fléau - Page 2 Icon_minitimeVen 1 Oct - 19:52

Céleste

La vieille dragonne de plusieurs siècles attendait patiemment, les yeux mis clos telle une statue. Elle pouvait rester plusieurs jours sans manger ni boire. Cela faisait une semaine depuis sa dernière rencontre avec Shryrkëll et Lir'Yaël. Huit jours qu’elle patientait au sommet de la colline, sur le lieu de rendez vous. Durant cette attente, elle s’était mi dans un état semi léthargique se connectant en monde, elle y voyait ce qui s’y passait. Le fléau étendais son pouvoir, une limia sembla prendre une place importante, elle vit la mort du roi des Elfes. Le cœur de la dragonne se sera de tristesse. Elle vit aussi que les sirènes ailées étaient arrivées chez elles non sans embuches.
Mais la majorité de son attention était rivé sur son espèce, les dragons, heureusement aucun autre que Darkos le dragon noir n’était tombé du coté du fléau…du moins pour l’instant.
La Matriarche était très inquiète du sort du monde, son alliance avec les elfes était son dernier espoir.

Un bruit sourd et une légère secousse sortis Céleste de sa méditation. Elle ouvrit les yeux et son cœur se réchauffa à la vu du fringant Lir'Yaël. Quel jeune dragon prometteur ! La complicité entre le dragon rouge et l’elfe était flagrante, il n’y avait aucun doute sur la sincérité de leur relation. Le seul hic est que beaucoup de dragon pourrait le rejeter, il n’était pas sure qu’il trouve une femelle pour nidifier. Les autres pourraient ne pas comprendre le lien entre ces deux être et croire que Lir'Yaë était l’animal domestique de Shryrkëll.
Les deux amis s’inclinèrent devant Céleste.

« - Ô sage dragonne, gardienne de tous les dragons. Je viens vous apporter comme promis la réponse de mon peuple. Nous espérons ne pas avoir été trop long. Mon seigneur Anàrion et mon peuple vous salue. »

Il se releva et poursuivit :

« Mon seigneur connaissait l'existence du Fléau mais votre message lui a fait comprendre que le temps presse. C'est pourquoi nous engageons notre armée et nos pouvoirs dans cette lutte contre le mal. Nous acceptons de nous lier avec votre peuple ainsi qu'avec toutes les autres espèces qui le désireront. Nous répandons déjà la nouvelle sur Agrimada et par la suite Aeomisu. »

La dragonne couleur or sentit la joie la submerger. Elle n’avait plus qu’à répandre la bonne nouvelle parmi les dragons. Hélas, les deux compères ne devaient pas être au courant pour le roi elfique. Les voyants épuisés et affamés, elle préféra attendre avant de leur annoncer.

« Ô beaux jeune dragon couleur rubis et son ami elfe noble et courageux, ces bonnes nouvelles me remplissent de joie. Reposer vous de votre long voyage ici même, je vais chasser pour vous.

La vieille dragonne étira ses muscles afin de les désankyloser puis s’élança dans les airs. Elle profita d’être non loin de la mer pour y frôler les vagues. Apercevant un banc de marsouins, elle plongea et en attrapa un puis retourna vers ses nouveaux alliés.
Elle leur déposa le marsouin. C’était une viande très grasse qui leur redonnera des forces. Le jeune dragon ne se fit pas prier et prit la moitié du cétacé pour le partager avec son ami. La dragonne dévora l’autre moitié.
Quand les deux aventuriers furent rassasiés, elle décida de leur apprendre la terrible nouvelle, elle plongea son regard dans celui de l’elfe

« J’ai de bien mauvaises nouvelles à vous apprendre, noble elfe : Anàrion votre roi bien aimé et respecté a été assassiné il y a moins d’une heure, je l’ai vu dans mes visions. Je vous transmets mes sincère condoléances à ce grand souverain qu’il a été. »


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MessageSujet: Re: L'histoire du Fléau   L'histoire du Fléau - Page 2 Icon_minitimeVen 1 Oct - 21:32

Shyrkëll & Lir'Yaël :

Tous deux dévorèrent le marsouin. Le maître d'arme remercia la sage dragonne pour son geste. Il était vrai qu'ils avaient parcouru un long chemin. Cela se voyait tant que ça ?
La viande était nourrissante at après de longues heures de vol, c'était un vrai délice !

Rassasié la gardienne des dragons annonça alors une nouvelle à Shyrkëll et à Lir'Yaël. L'elfe resta sans voix.
Il blêmit. Il devint tellement pâle qu'il du s'asseoir. Il ne croyait pas à mot pourtant il savait que la dragonne ne plaisantait pas.
« Tahl'Ari ? » demanda son compagnon inquiet.
le jeune elfe inspira profondément, il ferma les yeux un instant pour se "déconnecter" de la réalité.

« Je ne peux y croire. je l'ai quitté il y a peine quelques jours. »
Murmura t-il faiblement.
« Je... »

« Tahl'Ari ! je t'en pris ! Relèves-toi ! »
gronda la voix de Lir'Yaël dans sa tête.
« Je... Mon roi est mort Lir'Yaël. Céleste l'a vu dans l'une de ses visons. Je... Je ne peux y croire et pourtant je sais que cela est vrai... Je... »

« Partons ! »
le coupa fermement le dragon couleur hémoglobine.
« Lir'Yaël, on ne peut... tu ne pourra faire un autre voyage, maintenant. Et je n'aurais pas la force de t'aider avec mes pouvoirs.
« Partons dépêches toi, plus vite nous partirons, plus vite nous y seron rendu. Je ne peux te laisser dans cet état. Tu dois aller à la capitale.
Je me surpasserais pour ce voyage. Nous somme liés par le coeur et l'esprit, je partage ta peine et ta souffrance. Talh'Ari je suis avec toi ! Je ne faiblirais pas tant que tu ne me laissera seul. C'est ensemble que nous y allons. je suis le seul qui peut t'amener làs-bas rapidement. Grimpes sur mon dos, dépêche toi ! »


Lir'Yaël poussa délicatement avec sa patte son ami pour l'inciter à grimper sur son dos.
L'elfe obtempéra. Il se leva et grimpa.

« Ô sage dragonne, gardienne de tous les dragons. Merci pour ce festin. Merci de votre compassion. Je ne peux demeurer ici. J'ai besoin de savoir ce qui s'avoir, par qui et pourquoi. Permettez moi de me retirer. Je reviendrais au plus vite pour vous aider face au Fléau mais avec la mort d'Anàrion, mon peuple connaître des heures sombres et je ne sais ce qu'il adviendra de l'alliance et la promesse faite quelques heures plutôt. »
Il salua la dragonne, d'un regard triste, sans vie, comme si la flamme et l'ardeur l'avait quitté.
La dragonne le salua à son tour.

Lir'Yaël déploya de nouveau ses ailes et se propulsa dans les airs. Il n'avait plus la fraîcheur de son arrivée mais sa tenacité était intacte. Les terres de Forguetios se dissipèrent aussi rapidement qu'elles étaient apparues à l'aube.

Plusieurs heures s'écoulèrent, lentes, interminables.

Le souffle du dragon était bruyant et son coeur battait à se rompre. Shyrkëll commençait déjà à puiser dans ses réserves d'énergie vitale pour aider son compagnon. Car celui baissait d'altitude au fur et à mesure que le temps s'écoulait.
Le maître d'arme était plus qu'abattu pas la nouvelle et s'il n'était pas attaché à sa selle de dragonnier, il aurait tout simplement fait une chute vertigineuse au dessus de l'océan.

L'après midi était déjà fort avancé... la nuit passa, une nouvelle aube se leva...

« Shyrkëll, je n'en peu plus. Je dois m'arrêter ! » Son ami ne répondit pas pourtant le dragon vira sur sa droite. Quelques minutes plus tard, il se posa sur l'îleau des voyageurs perdus. Ce minuscule petit îleau, perdu entre les deux continents au beau milieu de l'océan.
Il était constitué à 90 % de roche brute et tranchante. C'est seulement du côté ouest que se trouvait un minuscule terrain herbeux. De rare animaux y vivaient. Simplement des oiseaux et quelques créature amphibies qui faisait halte.
C'est là qu'il se posèrent. Tahl'Ari se laissa glisser de la selle, épuisé et effondré.
Son compagon dragonnesque s'étendit. Il le couvrit de son aile gauche et le laissa dormir. Lui non plus ne tarda pas à tomber dans les bras de mophée.


Dernière édition par £lyador le Dim 3 Oct - 19:21, édité 1 fois
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Itaque

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MessageSujet: Re: L'histoire du Fléau   L'histoire du Fléau - Page 2 Icon_minitimeSam 2 Oct - 14:23

En entrant Anàrion la dévisagea un vent de surprise passa sur le visage ridé du vieil elfe il l’invita à s’assoir et elle obéit. Ils s’installèrent face a face autour d’une table et furent servis de met délicats .Après un court échange de politesse elle en vint au vif du sujet, mais d’abord il fallait qu’elle soit seul avec le Roi. Elle coula un regard glacé a l’homme qui commandait les armées elfique, elle devait être seul avec le roi.
Elle s’exprima calmement :

- Et bien, vous avez peut être confiance en lui mais ce que j'ai à vous annoncer, ne peut être entendu par tout le monde même si cet homme semble très respectable. Et je ne remets point en doute votre jugement à son égard.

Le Roi congédia son homme qui soupira se dirigeant vers les immenses portes de bois de la salle. Il ne sera pas aussi facile de sortir pensas Ayathe, qui sortit de ses pensées lorsque le Roi rompit le silence

-Bien maintenant que nous sommes seuls, que vous amène t-il dans mon royaume ? » questionna Anàrion.

Soit il voulait une réponse elle allait lui en fournir une. Elle se leva son cœur battait a la chamade il ne fallait pas rater le cœur sinon il allait crier. Elle s’approcha doucement, tout doucement prés du roi, sa queue glissait en silence sur le marbre blanc et immaculé elle pencha sa bouche prés des oreilles de son hôtes.
-Je dois vous avouer, cela à un rapport avec le Fléau. Mais je suppose que c'est de cela que vous soupçonniez, susurras t’elle.
Un spectre de sourire étira les fines lèvres du Roi. Maintenant, c’était idéal, d’un mouvement fluide et fulgurant elle enfonça la pointe de sa dague dans le poitrail du Roi. La surprise était visible sur le visage du vieux Roi, il ne pouvait même pas alerter Siran qui se trouvait derrière les portes, elle avait frappé juste en plein dans le cœur.
-Au revoir très cher, susurras Ayathe.
Bon elle avait réussis le roi était mort maintenant elle devait trouver un moyen de partir. Elle s’assit près du cadavre du vieux roi, dont masque de surprise était figé a jamais sur son visage, elle ferma les yeux et réfléchit. Elle recouvrit les yeux quelques minutes plus tard, elle avait trouvé comment partir maintenant exécution. Le sang battait a ses tempes elle dépensait énormément de magie afin de crée un clone d’elle et du roi à partir des ombres de la salle, tout en se camouflant dans l’ombre de son clone de manière a ce qu’elle soit invisible. Une demi-heure plus tard tout était prés le roi était désormais animé par l’ombre d’Ayathe caché dans celle de son clone.

-SIRAN…, appelas le roi désormais sous l’emprise de l’ombre d’Ayathe.

Le vieux garde ouvrit la porte et se dirigeas vers la table ou ce tenait la Princesse Silfiane et Son roi Anàrion.

-Sire, Princesse ? interrogeas t’il.

-Reconduit notre invitée dans ses cartiers, ordonna le Roi

Siran s’exécuta. Ouf pensas Ayathe ils n’y avait vu que du feu. Le clone d’Ayathe suivait Siran de couloires en couloir. Ayathe profitas d’un embranchement pour se détacher de sn clone. Bien missions réussit. Elle sortit du palais sans encombre Lorsqu’elle fut certaine de ne pas être suivit elle contactât Yaken.

-Yaken es-tu la ?

-Oui sœur toujours j’ai vu comment tu l’as tué c’était bien jouer de ta part de te faire passer pour une louve dominante.. . Mais tu ne m’as surement pas appeler pour sa que me veux tu mas sœur ?

-Attend moi dans la forêt proche et prépare du gibier je commence a avoir faim, maintenant que j’ai réussis a faire ce que je devais faire nous devons attendre l’appelle du Fléau ou d’Ysia.

-Bien j’y court Sœur a tout de suite…


Comme à chaque fois qu’elle contactait Yaken elle ressentait les sentiments de sa louve, elle était déçus de ne pas chasser avec sa Sœur, le prochaine foi je chasserais avec Yaken se promit Ayathe. Elle arrivât tranquillement aux portes de la ville et par magie rendit aveugle les gardes pour quelques instant, juste assez pour se faufiler dans la foret ou elle retrouvas Yaken. Yaken avait chassé un jeune cerf qu’elles dévorèrent ensemble. Reput Ayathe sombra dans les bras de Morphée sous le regard protecteur de la grande louve blanche.
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Amandier
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MessageSujet: Re: L'histoire du Fléau   L'histoire du Fléau - Page 2 Icon_minitimeJeu 7 Oct - 22:42

Céleste

Ses amis furent horrifiés par la nouvelle. Quoi de plus normal.
La dragonne voulait les inviter à trouver refuge chez elle mais l’elfe et le dragon rouge décidèrent de partir rejoindre le royaume elfique. C’est le regard triste qu’elle les vit repartir. Elle aurait tellement aimé les accompagner mais son grand âge ne lui donnait pas la force de le faire.
La matriarche prit son envol pour rejoindre les siens dans sa tanière.
Arrivée chez elle, elle transmit aux autres dragons de s’allier aux elfes. Partout où ils se trouvaient, il fallait les aider, à commencer par leur soutien dans la mort du roi.
Après son discours, épuisée d’avoir traversé tout FOGUETIOS, l’oracle se retira sans sa caverne. Deux dragons se postèrent à l’entrée. Ils étaient conscients qu’à présent leur conseillère pouvait se trouver en danger. Elle était un atout pour leur race, le fléau pourrait essayer de lui nuire.
Un dragon brun de la famille des cracheurs d’acide nommé Ochro se proposa d’aller rejoindre Shyrkëll & Lir'Yaël.
Céleste partagea aussi son inquiétude par rapport aux sirènes ailées et demanda si un dragon ne pourrait pas aller les rejoindre.
Une dragonne des glaces, blanche immaculée en déplacement à Foguetios mais originaire de Glysbe se proposa d’y aller. Elle se nommait Boréal. La vieille dragonne donna son accord.


Ochros :

Le dragon brun ocre écouta attentivement l’oracle, celle-ci lui indiqua que les deux protagonistes se trouvaient sur une ile. Le dragon cracheur d’acide réfléchie et compte tenu de l’itinéraire des voyageurs en déduisit qu’ils se trouvaient à ce qu’eux les dragons appelaient le rocher taillant.
Le reptile volant de 4mètres de long, 1mètre de large, les ailes d’envergures de 2m50 prit son envol et fonça dans la direction choisit. Au bout de quelques heures il réussit à gagner l’ile. Ses écailles étaient brun ocre et la couleur des membranes de ses ailes kaki. Ses yeux étaient orange. La particularité de sa race était comme le nom l’indiquait de cracher de l’acide chloridrique très corrosif sur ses adversaires. Il possédait également un pouvoir de la terre : celui de faire trembler le sol. Il arrivait à créer des minis séismes et éboulements de terrain.
Ochros repéra le dragon rouge et l’elfe. Il se posa à quelque mètre d’eux et envoya à l’adresse du dragon rouge des messages de paix. Il lui expliqua qu’il venait de la part de Céleste pour les accompagner et prêter main forte. Le dragon brun ocre ne parlait et ne parlera qu’à Lir’yaël, il ne se sentait pas à l’aise pour parler à une autre espèce que la sienne.


Boréal :

La dragonne des glaces, prit son envol à son tour. Malgré sa vitesse, elle du mettre plusieurs jour pour atteindre Glysbes. Elle était entièrement blanche, ses yeux bleus clairs. Elle était de la race des dragons des glaces. Leur espèce crachait de la glace à la place du feu. Son pouvoir spécial était de faire descendre la température dans les négatifs et de congeler les corps.
Lorsqu’elle arriva à la citée des Seatlones, elle vit qu’une barrière de glace avait été érigé. Pour l’atteindre, elle su traverser une pluie de grêlon, ce qui ne lui posa pas de problème, sa peau était assez dure pour y résister. En arrivant à la barrière par politesse et en tant qu’ambassadrice, elle alla se présenter aux gardes. La cracheuse de glace, leur expliqua qu’elle venait de la part de leur respectée matriarche et oracle des dragons. Elle venait en renfort les aider dans leur lutte contre le Fléau.
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MessageSujet: Re: L'histoire du Fléau   L'histoire du Fléau - Page 2 Icon_minitimeDim 17 Oct - 12:47

[Départ de l'île Rocailleuse vers Agrimada]


Shyrkëll & Lir'Yaël :

Lir'Yaël acceuillit le dragon avec courtoisie. Il accepta avec plaisir sa compagnie et consentit à ce qu'Ochros ne parle qu'à lui. Shyrkëll n'était pas réveillé. Il était épuisé et abattu. Le dragon rouge partageait sa douleur mais une partie restée sauvage en lui, ne pouvait comprendre son état. Tous deux étaient affamés. Il n'y avait aucune victuaille sur cette île déserte. Lir'Yaël partagea avec Ochros son désire de se restaurer mais il ne pouvait rien faire. La mer trop vaste, ne permettait pas de chasser d'une manière précise. Et la chance n'avait pas sa place, en cette heure.

Les ailes du dragon rouge étaient sensibles et douloureuses. Il avait beau les étendre pour se dégourdir. Ce vol continu, pour son jeune âge était encore épuisant. Il attendit patiemment que son compagnon se réveille. Il avait lui aussi besoin de récupérer. Lir'Yaël était conscient que son ami mettait en ce trajet toutes ses forces pour qu'ils aillent plus vite.

Tahl'Ari finit par se reveiller, en début d'après-midi. Il était courbaturé et toujours aussi miné par la nouvelle. Il avait faim et n'avait pas réellement récupérer son energie pour utiliser ses dons sur les éléments naturels. Il salua tout de même respectueusement Ochros et le remercia pour son aide. Ils se remirent en route assez rapidement. Puisqu'ils ne pouvaient pas rester sur cette île perdue au beau milieu de nul part.

Le second voyage était assez monotomne, épuisant pour les deux protagonistes. Ochros lui, ne semblait pas fatigué, il volait à leur côté avec une incroyable agilité. A droite à gauche, au dessus, en dessous. Shyrkëll n'arrivait parfois pas à le suivre des yeux. C'est en début de soirée que la fatigue devint plus intense. Lir'Yaël décrivait une lente descente, vers un eau noire. Tahl'Ari puisait dans ses dernières réserves pour créer des "poches d'air" sous son compagon et le faire remonter. En vain, cela n'était pas d'un grand secours car il n'avait plus de force. Ochros, vola en dessous et permit à Lir'Yaël de prendre appuis sur lui.

Au petit matin, la mer s'étendait toujours à perte de vue et le voyage devint de plus en plus difficile. La vue de Shyrkëll se brouillait et il avait parfois la sensation de chuter malgré le fait qu'il se cramponnait à la selle. Lir'Yaël n'était pas en meilleur état. Sans les encoragement et le soutient d'Ochros, il aurait chuté. Le jeune dragon rouge souffrait. Il avait l'impression que ses ailes pesaient lourdement. Son coeur battait fortement dans sa poitrine, ses muscles étaient douloureux et il avait de plus en plus de mal à trouver son souffle.

La journée fut longue et pénible. La nuit fut identique. Ils ne firent aucune alte. Ils ne pouvaient pas. Il n'y avait aucun endroit où se poser.

Une nouvelle aube naissait. Les deux amis étaient à bout de force et de leurs limites. Le dragon couleur sang volait "dangereusement". Sa vision se troubla et il perdit contact avec son ami. Il sentit Tahl'Ari, glisser sur son côté droit. Et ne réussit à le reveiller par ces appels incessants. Shyrkëll était inconscient. Tombé dans un gouffre profond, dans un autre monde.

« Shyrkëll ! Je t’en pris réponds moi ! Reviens ! Shyrkëll ! J’aperçois les rivages d’Agrimada. Je suis sur que tu peux les voir toi aussi ! Tahl’Ari regardes je t’en pris ! Reviens parmis nous ! »

Mais rien n'y fit. Lir'Yaël n'eut aucune réponse...

Venus de l’île rocailleuse


....« Shyrkëll ! Je t’en pris réponds moi ! Reviens ! Shyrkëll ! J’aperçois les rivages d’Agrimada. Je suis sur que tu peux les voir toi aussi ! Tahl’Ari regardes je t’en pris ! Reviens parmis nous ! »

La forêt remplaça lentement la mer noire. Lir'Yaël pressait son ami de se réveiller. Lui même sentait ses forces diminuer. Pourrait-il retrouver la clairière près de la citadelle ? Il ne savait pas.

[i]« Tahl’Ari ! je t’en pris, j’ai besoin de tes indications ! »
« Lir’Yaël… Peu importe, poses toi c’est tout… »
lui répondit une faible voix dans son esprit.

Le dragon rouge sentit son moral en hausse. Il acquiesça et chercha rapidement avec Ochros un terrain où se poser quelque soit la distance avec la cité elfique. Shyrkëll percevait de vagues formes se mouver autour de lui. La lumière l’éblouissait et les verts de la forêt étaient étrangement vifs et crachants. Il sentit vaguement son dragon se poser dans un espace plus ou moins ouvert. Il discerna Chronos se poser également. Il soupira sitôt qu’ils se posèrent à terre. Soulagé. Un petit sourire se dessina sur son visage et il sombra de nouveau dans les limbes de l’inconscience…

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Amandier
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MessageSujet: Re: L'histoire du Fléau   L'histoire du Fléau - Page 2 Icon_minitimeDim 17 Oct - 12:47

Venue du Nirvana


Kaisei:

Kaisei étira longuement ses fines jambes et fit craquer une à une chaque articulation de ses mains, décidément ca faisait bizarre de se sentir de nouveau dans un corps, retrouver ses cinq sens était un bonheur pour Kaisei. Il se leva lentement du futon de paille qui lui servait de lit. Cela faisait une semaine qu’il s’habituait à son nouveau corps, il le métrisait désormais à la perfection malheureusement on ne pouvait pas en dire autant de son don. Son don était bien trop fort pour lui, il avait énormément de mal a le contenir et a l’utiliser mais avec le temps son Don deviendrait une arme redoutable.
Il empaqueta ses maigres provisions et sortit de la grotte ou il résidait. Il traversa le sous-bois qui entourait son bivouac. Cela faisait désormais au moins deux bonnes heures qu’il marchait le long du chemin de terre qui le conduisait il ne savait où.
Une voix retentit dans son dos :

- « Halte là Monseigneur pour continuer votre chemin il vous faudra vous délester de quelques écus, sinon nous le ferons nous même sur votre cadavre »
- « ….. Désolé messieurs mais je suis sans le sous …. »
- « Sa ne marche pas ce numéro la mon gars va falloir payer »
Un guerrier armé d’une hallebarde de combat se plaça devant Kaisei tandis qu’un autre se tenait discrètement dans son dos armé d’une courte dague.
- « Bien, il va donc falloir se battre» murmura Kaisei.

Le guerrier à la hallebarde chargea le premier tandis que l’autre envoyait trois couteaux de jet en direction de Kaisei. Kaisei réfléchi à toute vitesse. Il libera les arcanes du temps qui sommeillait en lui. Le temps s’arrêtât, plus rien ne bougeait, aucune feuille, aucun oiseaux, les deux voleurs figé, telle des statue antique, plus rien ne bougeait sauf Kaisei. Il se posta derrière l’homme à la hallebarde de manière a se que les couteaux lancé arrivent sur l’homme et non sur Lui. Il lui ôtât son armure et s’enfuit. Lorsqu’il estima qu’il était assez loin Kaisei revêtit l’armure volé celle-ci lui donnait un aire de preux chevalier. Il réactiva le temps, le vent se remit a secouer les feuilles, les oiseaux à voler et, du côté des bandits, les couteaux tiré justes se fichèrent dans la tête du bandit à la hallebarde qui s’écroulas dans un bruit de fracas. Kaisei sentit le sol trembler sous ses pieds un voile de tristesse passas sur son visage, il n’aimait pas tuer mais il l’avait fait pour l’équilibre, une vie de sauvée pour une autre de prise. Kaisei reprit sa route, des fumées accueillantes s’élevaient derrières un petit bois proche, Il accéléra le pas la nuit allait bientôt tomber. Le crépuscule était bien avancé lorsqu’il arriva aux portes du village, il se dirigea promptement vers l’auberge la plus proche. Il commanda une bouteille d’eau de vie ainsi qu’une portion de ragout.

- « Encore un inconvénient quand on est humain, on a faim. » pensa t’il.

Il avala son repas en vitesse et se dirigea vers les tables voisines. Il questionna plusieurs personnes et apprit qu’il se trouvait sur le continent de Lumière près de la cité des elfes.

- « Parfait, pensa-il, les elfes sont des êtres éclairé ils comprendront surement mon but et mon point de vue. »
Il s’avança vers le comptoir de l’auberge :

- « Tavernier, pouvez vous m’ind….. »

Kaisei ne bougeait plus, il ne respirait plus non plus il c’était figé. la maitrise imparfaite de son pouvoir engendrait parfois ce genre de désagréments il avait arrêté le temps mais que sur lui. L’aubergiste paniquas et demandas à sa femme de transporter l’homme-statue, qui se tenait devant le comptoir et qui effrayait les clients, dehors. Lorsque le temps reprit son court sur Kaisei était a la sortie du village.

- « Tsssss, encore ce foutu pouvoir qui marche au mauvais moment » pesta t’il
Une voix l’interrompit dans sa colère :
- « Vous avez l’air d’un très puissant, jeune homme votre magie est hors du commun. Si je puis vous être d’une quelconque aide je me ferais un plaisir » susurra d’une vois enjôleuse la jeune femme encapuchonnée qui se tenait derrière lui.
- « Dame, je cherche le chemin de la capital elfique. Pouvez-vous m’y conduire ? »
- « Je regrette je suis dans l’incapacité de vous y conduire sincères excuses. »

Kaisei se retourna pour voir d’où provenez la voix mais la femme qui se tenait il y’as quelques seconde dans son dos c’était évanouie, comme une ombre. Le Lune finissait sa course, Kaisei suivait un cours d’eau qui selon un voyageur qu’il avait rencontré plutôt dans la nuit menait a une clairière et ensuite Ad’jendir ne devait plus être très loin. Il arriva aux abords de la clairière et fut témoin d’une scène incroyable. Deux dragons, l’un rouge hémoglobine, jeune et fière mais surtout fatigué, par un long voyage sans doute, portait sur son dos un jeune elfe mal en points il sommeillait et grelotait, grelottements sans doute dus à une utilisation trop poussée de sa magie supposas Kaisei. L’autre dragon était brun ocre et il virevoltait autour des deux autre il semblait lui aussi légèrement fatigué. Kaisei avança prudemment vers l’étrange attelage.
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MessageSujet: Re: L'histoire du Fléau   L'histoire du Fléau - Page 2 Icon_minitimeDim 17 Oct - 12:48

Ilena

J’avais déployé toute ma force, toute ma vitesse, tout mon amour pour me retrouver dans une forêt desséchée. Des arbres immense et froids se dressaient autour de moi comme une armée qui, si elle était pacifique à présent pouvait à tout instant sortir ses armes pour combattre. Le vent soufflait doucement. Si on écoutait bien on entendait son chant chargé de menace et de mort. Je sentis mon cœur se serrer. Un nuage passa devant le soleil. Au loin, un loup hurla. Je frissonnais. La température avait chuté. L’air avait une odeur de fumée et de pourriture. Je fis un pas et une branche craqua sous mon pied.

Eliam était tout près. Je le sentais. Je devais le retrouver. J’allais le retrouver. Je me mis à courir, tout en gardant mon calme. J’arrivais dans une petite clairière avec en son centre un grand bâton brisé et… et un… Je sentis mon cœur se briser. Mon souffle s’accélérer. Devant moi, il y avait un bandeau rouge. Une voix s’éleva dans mon esprit : Tu vois, avec se foulard, je suis invincible. Mais pour que mon invincibilité soit invincible, la princesse des dragons qui est amoureuse de moi m’a donné une épée… magique !
Pour rien au monde il l’aurait enlevé… sauf s’il serait tombé au combat. Mais dans ce cas là je le saurais, non ? Mes épaules se relâchèrent. Oui, si mon fils était mort, je le saurais!

Je secouais ma tête. Je pris des inspirations profondes. Je baissa mes paupières. En fermant mon regard je m’ouvrais au monde. Avec lenteur j’écartais mes bras, puis je levais la tête vers le ciel. Mon ventre se dénoua et à présent j’entendais tout les bruits qui m’entouraient. A ma droite… des oiseaux sifflaient presque imperceptiblement. A ma gauche… un bruit étrange, inidentifiable. Devant moi… des feuilles soulevées par le vent. Et derrière moi… un grand silence !
Je me retournais d’un bond souple et me mit à avancer dans cette direction. En gardant les yeux fermés.
Tout mes sens était orientés vers l’avant, loin devant. Je m’enfonçais dans le silence. Il était si parfait qu’il m’étouffait. Soudain, j’entendis un gémissement. J’ouvris mes yeux et sprinta dans la direction du bruit.

Comment se défendre contre… le néant ? Comment es défendre contre cette chose froide qui se déploie tel la brume. Comment sortir mon fils de ce piège ? Je l’apercevais. Il était enfermé dans une bulle en verre qui le protégeait des effets mortel du Fléau. Son visage était ravagé de larmes. Que voulait-ils à Eliam ?
C’était la deuxième fois que je rencontrais le Fléau. La première fois je m’en étais échappée de justesse. Cette fois-ci je n’avais aucune chance. Je le sentais! Il me fallait de l’aide pour libérer mon fils.
Mon cerveau se remit en marche, chassant la panique. Je pouvais chercher mon ancienne famille, les Seishin’oku. Mais ils ne seront pas assez forts. J’avais constaté que le fléau avait encore augmenté de puissance. Une petite communauté comme nous ne suffirait pas. Même si leur aide sera indispensable pour tout notre monde, il me faudrait une aide plus grande, avec des pouvoirs et de la force.
Mais les autres peuples de Gaïa connaissent-ils l’existence du Fléau ? Probablement. Peut-être même qu’une armée est en train de se former…
Il fallait que je trouve cette armée. Que je rejoigne ses rangs avec mes soldats Seishin’oku, car se sont des soldats qui aiment certes le calme et la paix mais aussi la sauvagerie d’un champ de bataille. Ensuite, je libérerais mon fils.
Je savais que tout cela était improbable, mais j’avais la vanité de penser que si j’y croyais assez fort j’y arriverais ! Pour le moment je devais partir, quitter mon fils en espérant que Eliam resterais en vie.
Je le regardais une dernière fois, lui souffla un bisou, puis je partis, en cachant me larmes. Je pouvais y’arriver. Il fallait juste que je garde mon sang-froid !


Squorphy

Aux aguets d'éventuels ennuis, les gardes élevées sur la grande muraille de glace guettait l'horizon avec confiance. Depuis trois jours, aucune tentative d'approche n'a été aperçu, quelques silhouettes se faisaient voir devant les dragons de mers, mais aucune silhouette n'a réussie à traversé ne serait-ce que les dragons de mers. Ceux-ci ont d'ailleurs communiqués par pensée avec les Seatlones il y à deux jours, il semblerait qu'une espèce étrange est passée et que les espèces aquatiques n'ont eu besoin que de les avertir que plusieurs périples constant arriverait sur une longueur d'au moins 2,5 km à quiconque souhaitant traversé, autant pour les pacifiques que les monstres assoiffés de sang.

Derrière la barrière isolant l'île de Glysbes, le soleil était à son apogée, ses rayons étaient si fort qu'on les percevais a travers cette grêle meurtrière, après avoir parcouru autant d'obstacles, c'était des rayons doux qui venait caresser la peau écailleuse des Seatlones. Les créatures marines positionnées autour de la tempête plongèrent souvent quelques secondes dans l'eau, parfois pour se rafraîchir complètement le corps, parfois car une proie a oser se montrer à une distance faible de celui-ci. Un des dragons de mers s'étira quelques peu vers les airs attrapant un Pétrel des neiges, espèce d'oiseau la plus connu à Glysbes, qui vola au dessus de lui, il retomba fièrement dans l'eau et mangea sa collation, savourant chaque secondes de cette gâterie, en effet, les dragons de mers aimaient bien cette nourriture. Il y a quelques années, l'espèce a même failli disparaître, puis les dragons marins arrêtèrent d'en manger à longueur d'année afin de leur permettre de survivre.

Soudain, une foule de Pétrel des neiges volèrent en haute altitude vers Aeomisu, cette volée est reconnu par toutes espèces aquatiques et même quelques espèces terrestres, comme présage de danger. On raconte que les Pétrel des neiges sont des oiseaux pouvant percevoir l'aura et avoir des prémonitions. À quelques kilomètres derrière les volatiles, une immense dragonne volait en direction des Seatlones, elle allait si vite qu'elle passa au dessus des créatures marines, elle les salua sans s'arrêter recevant des jets d'eau et des morsures qu'elle évita avec facilité. La dragonne vola dans une trajectoire rectiligne à travers les grêlons géants, elle ne tentait pas de les éviter et ceux-ci n'avaient pas l'air de la déséquilibrer. Puis elle arriva ensuite devant la muraille, c'est à cette endroit où elle arrêta sa course.

- Désoler pour cette infiltration sans avertissement, je devais faire vite, je m'appelle boréal, dragonne des glaces. Notre matriarche Céleste m'a envoyée ici, en fait, elle a envoyé un dragon utile pour la plupart des grandes civilisations prêtes à tout pour survivre. Je suis donc ici pour vous aider, j'ai cru voir que votre défense est quasi excellente, seul les gros démons ailés pourrait vous atteindre.

Les gardes, maintenant tous du même coté, regardèrent la dragonne stupéfait.

- Que répondons-nous, demanda un Seatlones par télépathie.

- Nous sommes obligés de l'accepter non ? Si elle est venue jusqu'ici sans problème elle doit être douée.

- En effet, et puisqu'elle est de glace nous n'avons aucun effet sur elle, tandis qu'avec sa force physique, elle peut tous nous tuer.

- Nous allons donc devoir, sans réfléchir, admettre qu'elle dit la vérité.

- Nous Seatlones, dit un garde en rompant le lien télépathique, allons vous croire sur parole, je doute par contre qu'il nous reste un endroit pour vous accueillir à votre aise.

Le garde pointa un lac parfaitement rond, il lui indiqua qu'il y avait, entre le lac et la tour, une petite roche glacé du coté nord et humide du coté sud. À partir de se point elle devait aller en direction perpendiculaire à la frontière imaginaire qui relie le centre du lac à la tour. Suivant se chemin la dragonne devait parcourir 235m puis attendre.

Boréal passa par dessus la muraille souhaitant atteindre l'endroit que lui avait destiné le garde, les Seatlones, lorsqu'elles virent la dragonne, se mirent à paniquer et à courir, la créature des glaces amena la peur et augmenta la crainte de tout les habitants. Boréal suivi donc le chemin indiqué sans se soucier de la réaction des Seatlones, cependant une fois à l'arriver elle c'est senti nargué quand elle vit devant elle une plaine avec des roches, d'une hauteur variant de 15 à 30 cm, placé exactement à 75 cm l'une de l'autre. Elle scruta l'horizon mais ne voyait que des grêlons tomber du ciel et un espace désert. Soudain, une roche bougea et se promena quelques centimètres vers la gauche puis, une porte métallique en forme de spiral s'ouvrit mécaniquement. Un Seatlone maniant une lance en sorti, puis un autre avec une cotte de maille doré, le garde de Makip resta stupéfait et visa la dragonne de sa lance. Cependant le chef s'avança et baissa l'arme de son gardien, ayant reconnu Boréal qu'il avait déjà vu autrefois.

- Quel vent t'amène parmi nous Boréal? demanda Makip.

- C'est Céleste qui m'a envoyé, elle croit que je peux vous être utile et que vous auriez sans doute besoin d'aide.

- Pour l'instant nous vivons bien, craintif mais en sécurité pour le moment.

- C'est se que je vois, je pourrait par contre toujours vous être utile lorsque vous vous ferez envahir. Certes le Fléau n'arrivera pas tout de suite à pénétrer à l'intérieur de Glysbes, mais un jour il réussira et vous devrez être prêt.

- Nous savons déjà tous ca, nos soldats se pratiquent chaque jours afin de pouvoir effectuer les techniques avec une efficacité supérieure, nos guérisseuses s'occupent de chercher la nourriture pour la civilisation et nous essayons de former le plus de guerrières avec les jeunes Seatlones.

- Vous avez une très bonne organisation, chère Makip.

- Merci beaucoup, répondit le Seatlone. Sans vouloir vous manquer de respect, je me demandais si vous êtes venu seulement pour nous aider ou si vous aviez aussi un message à nous transmettre de Céleste.


Dernière édition par Amandier le Dim 19 Déc - 13:35, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: L'histoire du Fléau   L'histoire du Fléau - Page 2 Icon_minitimeDim 17 Oct - 12:54

Ochros

Le voyage avait été éprouvant. Le dragon rouge brunate avait du soutenir Lir’Yaël. L'elfe semblait être en piteux état. C'est donc avec soulagement qu'ils atteignirent la terre ferme.

Tout à coup, un humain apparut. Il ne paraissait pas menaçant mais quelque chose émanait de lui sans que le dragon puisse définir ce que c'était.

Ochros se mit devant ses compagnons de voyage qui n'était plus en état de se défendre. Il se tenait prêt au cas où l'étranger leur montrerais de l'hostilité.
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