L'histoire du Fléau

Admin Messages : 873 Date d'inscription : 11/01/2010 Age : 37

LE FLEAU

Contexte d'Amandier et Mary19, inspiré un peu de Wow.

INTRODUCTION

Gaïa.
Gaïa, la terre mère , la terre nourricière.. Constituée d'eau à 60%, quatre continents hétéroclites la composent: AEOMISU, AGRIMADA, TELLURIS, FOGUETIOS et GLYSBES une île de glace. Gaïa porte en son sein de nombreuses créatures :: Dragons, Elfes, Humains, Nains, lycans , Sirènes, Taurens…

Des forces opèrent sur cette terre. La Magie est omniprésente. La magie fait tourner ce monde, quelque soit son domaine celle de la Nature et des éléments le Feu, l'Air, l' Eau et Terre; celle des Ténèbres et celle de la Lumière.

De tout temps, Gaïa a subit et a observé impuissante la guerre entre les peuples. Les divers créatures se sont toujours combattues. Bien sur des alliances furent créer mais c'était pour exterminer un autre peuple. Les alliances ne duraient pas longtemps. La convoitise, la recherche du pouvoir et de la suprématie firent couler beaucoup de sang. Le sang qui se répandit sur la terre nourricière. Sur celle qui les avait crée. Les divers magies se combattaient et s'entrechoquaient. Des flux magiques furent gaspiller pour ces combats qui duraient depuis la nuit des temps.

Un jour, une petite ombre se créa dans un coin de Gaïa. Comment elle naquit? Personne ne le sait. Certains disent que c'est à cause du sang répandu et de la magie gaspillée...D'autres que c'est une vengeance de Gaïa pour toutes ces guerres et ces vies perdues... Cette ombre se mit à grandir et à se répandre, à un tel point qu'on lui donna un nom: Le Fléau.

Le Fléau se nourrissant du sang et de la haine put rapidement s'étendre sur Gaïa. Cette ombre finit même par avoir une personnalité propre...sans corps mais avec un esprit vif. L'ombre faisait mourir tout ce qu'elle touchait, en transformant les créatures en morts vivants.
Rien pouvait y échapper...

Pourtant des survivants existent. Des créatures se battent pour ne pas être transformée en zombie. C'est un combat de chaque instant pour que la vie reste sur Gaïa. Pour que la terre continue à être nourricière... Pour que la mort trépasse face à la vie.

La vie survivra t'elle à la mort ?

Un seul espoir, c'est l'union entre les peuples de Gaïa. Les survivants doivent s'allier afin d'avoir une chance. Le Fléau arrivant à corrompre les esprits se façonna une armée. Que pouvait craindre une armée de morts vivants et de démons ?

Les survivants doivent laisser outre les querelles du passé et s'allier car l'union fait la force !

Voulez vous faire partie de cette histoire ? Qui allez vous incarner ? La mort ? La Vie ? La Neutralité ?

Allez vous combattre le fléau ou vous unir à lui ?

De votre choix dépend l'avenir de Gaïa.

Bienvenue en enfer !

Céleste

Céleste ouvrit les yeux, elle avait vu l’émergence du fléau dans une vision. Grâce à ce don de prévoyance elle était au courant de toutes les choses importantes qui se passait dans le monde.

Un sentiment d’inquiétude s’était emparé d’elle, elle était la matriarche de son peuple. Elle avait plus de 600ans et son devoir était de guider les siens.

Elle sortit de sa tanière, ses écailles jaunes pales reflétèrent le soleil. Les deux dragons qui étaient postés à l’entrée s’inclinèrent.

- Un grand danger approche, les dragons les plus important doivent me rejoindre ici, le peuple doit aussi être mis au courant.

Les deux dragons acquiescèrent et partirent chacun de leurs cotés. Un long voyage de plusieurs jours les attendait, ils allaient parcourir l’ensemble du pays de FOGUETIOS pour prévenir tout les dragons qu’ils rencontraient, certains des prévenus s’envolaient à leur tour vers d’autres continents pour finir de transmettre l’information.

Quelques semaines passèrent, l'information avait fait le tour de la planète. Douze dragons, chacun représentant une race, chacun ayant un pouvoir différents.
Ils s'inclinèrent devant la matriarche. Elle prit la parole:

-Mes chers compatriotes, j'ai vu naitre une ombre maléfique. Cette ombre c'est la mort incarné, elle vient pour détruire toute vie sur notre terre bien aimée. Nous devons empêcher cela. Réunissons nos pouvoirs et combattons là.

Les 12 dragons acquiescèrent et partirent vers le lieu du Fléau, ils déchainèrent leurs magies mais l'ombre ne regressa pas, au contraire, elle absorba leur magie et pris la forme d'un démon:

L'histoire du Fléau Or6bo710

-Venez à moi, fier dragon du ciel, je vous redonnerai votre gloire d'antan et vous règnerait en maitre sur cette planète..

Face à cette manifestation, les dragons préférèrent fuir et retourner auprès de leur oracle celeste pour avoir des conseil sur la marche à suivre. Seul un dragon resta, ce fut Darkos, un dragon noir de la race des volcans. Il puisait son pouvoir de celui des ténèbres, il fut séduit par le discours du fléau et le rejoignit. Dès cet instant, il commença à devenir un squelette et devient le dragon des enfers.

L'histoire du Fléau _drago10

Les onzes dragons restant se présentèrent à Celeste. Celle ci après avoir écouté leur compte rendu répondit:

-J'ai pu voir tout ça en vous suivant pas la pensée. J'avais craint l'éventualité que nos pouvoirs réuni ne suffisent pas et que l'un des notre succombe à la tentation. Nous devons à présent, nous allier aux autres peuples, c'est notre seul solution de survit.
Je vais aller rendre visite aux elfes à présent. Comme vous le savez, certains d'entre nous se sont alliés avec certain d'entre eux par un lien magique. Ce qui a permit à nos deux espèces de garder une paix relative entre nous. Je vais donc aller voir ces dragonniers pour leur parler de la situation, j'en connais quelques uns, ils me feront bon accueil.

Sur ce, la vielle dragonne s'envola en direction de ces vieilles connaissances.

Messages : 418 Date d'inscription : 20/02/2010 Age : 30 Localisation : Laval

Squorphy

Squorphy s'éjecta hors de l'eau respirant un bon coup de se CO2 matinal qui avait aujourd'hui une odeur très alléchante. Ouvrant ses beaux yeux améthyste, elle vit au loin une fumée très épaisse. Elle vola pour rejoindre le lieu qui sembla en détresse le plus rapidement possible. Un village entier d'elfes étais en feu, un de ceux-ci l'avertit que le Fléau s'étendait et que la panique des villageois ont fait en sorte ce feu. Les elfes les plus courageux foncèrent tête première en direction de l'ombre qui s'étendait de plus en plus, les plus lâches, mais sans doute plus intelligent, fuirent dans la forêt. Squorphy, restant a distance du Fléau, éteignait les feux. Soudain apparu un espèce de dragon squelettique qui avait l'air assez menaçant, elle décida donc de se replier.

Glyspes était maintenant à sa portée, de son endroit, elle voyait déjà Shezel, la plus grande tour. Elle Plongea dans l'eau, nagea sous l'île de glace et entra dans une grotte glaciale souterraine, la seule entrée de Shezel. À l'intérieur, elle vola jusqu'à l'avant dernier étage, où se trouvait la sphère de l'eau. Cette sphère appartenait aux sirènes ailées. Une Seatlone peux poser une question durant sa vie à cette sphère et celle-ci, lui donne une réponse. Elle contemplait la sphère, évidemment, elle ne l’avait jamais vu. Elle était d'une couleur aigue marine et avais des reflets astérismes. Alors qu'elle regardait la pierre précieuse, Floppie, une autre Seatlone, entra dans la pièce ayant elle aussi vu se qu'avait fait le Fléau.

Elles se fixèrent ardemment et entendirent de grosses vagues se fracasser contre les parois de glace. Au bas de la tour, on pouvait apercevoir 11 autres têtes de Seatlone. Au lieu de parler directement à la sphère, Squorphy la prit sous son bras et les 13 Seatlones se réunirent à la dernière étage de la tour.

Shezel comptait maintenant une centaine de Seatlone. Elles furent tous impressionnées de voir que la sphère de l'eau n'était plus là. Plusieurs paniqua, elles ne savaient plus quoi faire. Les 13 Seatlones envoyèrent l'une des leurs descendre en bas pour annoncer aux autres que tout va bien et qu'une réunion a été organisé à l'étage.

Les Seatlones étais séparé en deux branches, l'une est de combat et l'autre, de guérison. Les chefs de ses deux classes sont Gyapé et Makip, présent tout deux à la réunion. Gyapé se leva en premier.

- Seatlones ici présent, comme vous avez tous pu le remarquer, le Fléau s'étend très rapidement sur Gaïa. Si cela continu, nous serons tous absorbé par cet étrange force et notre espèce, comme tant d'autre disparaîtrons. Il est en notre devoir de défendre notre peuple et d'aider les peuples à détruire cette force maléfique. Nous pouvons détruire cette ombre à nous seul, nous devons donc commencer par trouver une stratégie qui pourra nous être utile de façon défensive, offensive et en union avec les autres espèces. Certes nous pouvons faire notre positionnement habituelle 4 rangées de guerrière suivit de 3 rangées de guérisseurs, mais je doute que cela soit suffisant pour la situation d'aujourd'hui. Je vous laisse à vos suggestions.

Les 13 Seatlones se fixèrent des yeux, mais ne parlais point, cependant on pouvait clairement voir qu'elles avaient pour la plupart quelque chose à dire mais qu'elles ne voulaient pas en parler par peur d'être jugée.

- Mais qu'avons nous besoin principalement, finit par dire Octride, garde de Makip.

- De quoi avons nous besoin ? Nous avons besoin d'amplifier nos pouvoirs à l'aide d'une autre civilisation. Nous avons besoins d'effectif et nous avons besoins de nous préparé à se qui va se transformé en guerre.

- Donc, puisque nous utilisons l'eau, nous avons besoin d'une civilisation utilisant l'air pour perfectionner notre pouvoir sur la glace.

- En effet, cela pourrait nous être utile, c'est un départ.

- Devrions-nous pas commencer par nous construire une armée avant d'élaborer une stratégie ? dit une autre Seatlone dans la salle.

- Une armée ne sert a rien s'il n'y a pas de plan, répliqua Gyapé. Mais qu'elles civilisation utilise l'élément de l'air ?

- Il y a les griffons, quelques fées, quelques elfes, quelques mages et sans doute beaucoup d'autre, s'exclama Squorphy.

- Trouver une civilisation maniant l'air et qui voudra nous aider est la première mission que nous devons réussir pour l'élaboration de notre plan. Nous allons donc formée 3 équipes de 5 Seatlones. Nous allons envoyer une équipe sur chaque continent excepté Forgatios sachant que les civilisations y sont très rare et souvent cachée.

- Moi, Makip, partira avec mes 4 gardes.

- Cela est évident je ferai de même. Squorphy, Floppie et Miscash, vous descendrez en bas. Trouvez-vous 2 Seatlones de confiance pour accomplir cette mission avec vous. Vous irez à Tellurris, Makip tu iras a Aeomisu et moi Gyapé, iras à Agrimada.

Les 2 équipes convenablement formé descendirent et partir en direction de leurs lieux respectif. Squorphy, Floppie et Miscash se regardèrent.

- Décidez chacune une personne de votre confiance, moi je n'ai aucune idée, proposa Squorphy

Elles descendirent, prirent deux Seatlones et partir en direction de Telluris.

# Modo # Messages : 654 Date d'inscription : 14/01/2010 Age : 38

Ysia.

La maitresse des Ombres avait vécu dans l'ombre une bonne partie sa vie. Voyageant de ce de là afin de mieux connaitre dans le monde dans lequel elle vivait. Volontairement ou involontairement elle aida la naissance de certaines légendes dans les divers peuples, comme celle de la Dame Noire qui apparaissait afin de ravir hommes, femmes ou enfants. Frappant au hasard, créant une panique parmi les villageaois. Ce mythe, cette légende, pouvait avoir plusieurs variables suivant les continents. Une légende qui avait pourtant une part de vraie. Il arrivait à Ysia de ravir des individus. Les hommes pour leur sang vigoureux, les enfants pour leur sang pur et les femmes pour les étudier. Une jour, Ysia avait même pris une femme grosse afin de l'étudier. La naissance était un mystère pour la démone. Elle pouvait enfanter mais ne l'avait jamais fait. Du coup, cela l'intriguait. Mais le spectacle de l'accouchement ne charma en rien Ysia… La légende pouvait prendre divers variables selon les continents. Cela amusait Ysia. On parlait d'elle mais sans vraiment la connaitre. Elle aimait cultiver cette part de mystère...
Avec la naissance et l'ampleur de l'ombre qui devint le Fléau, Ysia sortit de l'ombre afin de servir le Fléau devenant l'un des ces généraux. L'armée des ombres et des morts sous ses ordres était devant une bourgade elfique. La vie était encore présente au sein de ses murs, bien trop pour Ysia. Elle réunit ses lieutenants, des chevaliers de la mort. Ils étaient de divers races, mais étaient de très bons combattants. Chacuns commandaient une section de soldats. Ysia s'était imposée comme leur chef grâce à son pouvoir sur les ombres. D'une voix claire, elle donna ses ordres : "Chevaliers, Prenez le contrôle de ce village."
Les chevaliers partirent rejoindre leurs hommes. L'armée avança et encercla le village. Pendant que les hommes d'Ysia avançaient, l'ombre du fléau aussi, touchant les elfes qu'il soit homme ou femme. Au contact de l'ombre leurs âmes et leurs vies s'échappèrent, laissant des corps sans autonomie mais avec la même force physique. Ysia n’était pas du genre à être loin du champ de bataille. Elle aimait participer aux combats. Puis, de ce fait, la démone pouvait se garder un homme vivant, qu’elle protégeait du Fléau. A ce moment même, Ysia porta son choix sur un grand elfe brun. Il avait l’air d’être un bon guerrier en plus. Elle demanda à l’un de ses serviteurs d’aller le chercher et de l’amener à part dans la maison la plus grande du village. L’elfe n’eut pas d’autre choix, étant entravés aux mains. Ysia rejoignit la bâtisse. Ce dernier était furieux. Elle fit sortit son serviteur. L’homme injuria Ysia :

« Espèce de monstre, je vous tuerais ! Vermines !
- Mais essaye je t’en prie. » Un sourire finit la phrase d’Ysia. Elle s’amusait de la situation.
L’homme réussit à enlever ses entraves et se jeta sur la démone, mais à quelques mètres d’elle, il fut stoppé net. La démone n’avait pas bougé d’un cil, mais les ombres oui. Elle avait emprisonné l’ombre du jeune elfe. Ce dernier était immobilisé par son ombre. Mais il pouvait encore parler.
« Vous aurez rien de moi !
-Tu crois . » Ysia s’approcha de l’elfe. Soufflant doucement sur sa peau. Ses mains se promenèrent sur le torse afin de jauger les muscles. Le regard de l’elfe était noir furieux. Si seulement il pouvait bouger il la tuerait. Mais il ne peut pas. Ysia posa un baiser sur les lèvres de l’elfe. L’horreur se lit dans les yeux de ce dernier.
« Ne t’inquiètes pas. Ce n’est pas pour cela que je t’ai fait venir. » Le ton était rassurant. Ysia ne voulait pas faire mourir de peur son bel elfe. Elle prit le bras de l’elfe et avec son couteau trancha les veines. Le sang s’écoulait. Ysia porta le poignet à ses lèvres afin de s’abreuver du sang. Le sang liquide qu’elle adorait et qui lui permettait de se ressourcer. Le sang de l’elfe avait très bon gout. Elle ne regrettait pas son choix. Cependant, elle prit garde de ne pas le vider de son sang. Du coup, elle s’éloigna rattrapant de ses doigts les quelques goutes de sang qui subsistaient sur ses lèvres. Desserrant son emprise sur l’ombre de l’elfe, ce dernier s’évanouissait à cause de cette perte de sang.
Sortant de la maison, Ysia chargea un de ces serviteurs de veiller sur l’elfe. Puis elle alla constater la nouvelle victoire du Fléau . Le village des elfes n’existaient plus, ou du moins la vie n’y avait plus cours. Le Fléau venait d’acquérir son premier village sur le continent Telluris…

Admin Messages : 873 Date d'inscription : 11/01/2010 Age : 37

Céleste

La vieille dragonne survolait les vastes forêts de FOGUETIOS, pays qui était connus pour être le berceau du peuple des dragons, d’ailleurs la majorité y vivait encore. Les paysages y étaient variées, il y avait des vastes prairies tout au sud, puis le milieu étaient parcouru de grandes forêts équatoriales qui s’appauvrissaient en montant vers le nord laissant place à de la savane puis le grand désert tout au Nord qui séparait FOGUETIOS de TELLURIS. A l’est , il y avait de détroit de boërin, c’était une région marécageuse et parsemés de petites collines où les dragons aimaient bien y faire leurs nids.
Celeste savait qu’autour de la mer des Léviathans, sphère d’eau salée entre le détroit de Boërin et l’Océan Tempérique, beaucoup d’elfes et de dragoniers y avaient élu domicile. C’était un lieu de pêche important. L'histoire du Fléau Sans_t10

Après la forêt, elle survola la garrigue avec ses petites collines également, elle baissa son altitude puis mis cap sur une colline précise.

Apercevant un jeune dragon rouge, elle reconnue Lir'Yaël. L’histoire de ce jeune dragon qui s’était blessé alors qu’il n’était qu’adolescent et qui fut soigné par un noble elfe du nom de Shyrkëll avait fait le tour de la communauté dragoneste. En effet, peu d’individu humanoïde allait au secours d’un dragon, créature qui était considéré comme néfaste pour beaucoup de peuple. Heureusement les elfes étaient le seul peuple qui les respectait même si parfois quelques conflits naissaient. D’ailleurs cela n’avait pas étonné la matriarche que ce soit justement un elfe qui soigna Lir’Y
La Vieille dragonne atterrit dans un mouvement lourd, elle avait depuis longtemps perdu la précision et la grâce des dragons à cause de son âge avancé.

Elle vit l’elfe rejoindre rapidement le dragon rubis. Elle s’inclina devant eux pour les saluer.
Elle avait déjà rencontré le duo une fois et la rencontre s’était bien déroulé, il n’y avait aucune raison pour que celle là soit l’inverse.

-Bonjour à toi oh guerrier elfe au regard d’émeraude ainsi qu’à toi oh jeune dragon couleur sang, que la lumière guide vos chemins en ces temps sombres.

Après la formule de politesse d’usage elle continua,

-Je me présente à vous dans ces moments critiques pour vous proposer d’allier nos deux races. Un mal à émergé des profondeurs des ténèbres et commence à envahir notre mère Gaïa. Nous avons envoyé 13 de nos plus puissants dragons mages, hélas un des notre est tombés et toute notre magie n’a eu aucun effet sur lui. Toi Shyrkëll, grand guerrier elfique et toi brave dragon courageux, pouvez vous transmettre ce message aux plus hauts dirigeants de la race des elfes ?

La vieille dragonne plongea son regard ambre dans les yeux des deux protagonistes en face d’elle en attendant une réponse.

Messages : 418 Date d'inscription : 20/02/2010 Age : 30 Localisation : Laval

Squorphy

Nageant dans la plus grande mer de Gaïa, l'équipe de Squorphy se dirigeait vers Telluris. Un grand lien d'amitié c’était formé entre elle et la guerrière Floppie.

- Alors, demanda Floppie, qu'est-ce qui t'a motivé à détruire le Fléau?

- En fait, rien ne m'a vraiment motivé, mais je crois que je peux m'être très utile avec mes pouvoirs de guérisons. Beaucoup d'être souffre en se moment même et je trouve se sort affreux. J'espère fort aider à arrêter tout ceci.

- Moi, j'ai perdu mon mari, un guerrier de l'espèce Octraid. Je compte bien me venger, au péril de ma vie.

- Je suis désolé pour toi Floppie, sache que je serai derrière toi pour te protéger.

- Merci mais, si j'ai dit au péril de ma vie c'était seulement pour bien me positionner dans l'action. Je suis bien trop forte et intelligente pour se Fléau immonde.

- Ne sois pas si sûr de toi, le Fléau gagne beaucoup de pouvoirs et beaucoup d'adeptes.

- Il faut donc agir très vite.

L'océan dans lequel elles nageaient, se transforma bien vite en golfe. Le golfe Tousu avait le plus grand récif de corail de tout Gaïa. L'équipe se faufila à travers se récif et une fois sur la rive, Miscash s'envola afin de scruter l'horizon. Outre quelque écureuil et quelque chauve-souris, aucun danger ne fut aperçu. Elles sortirent alors de l'eau, leurs ailes sont tellement minces qu'elles n'ont même pas besoin de les sécher pour prendre leur envol. Elles volèrent à une altitude d'un homme qui marche afin d'être le plus près du sol et ainsi, plus dur à repérer. Une grande muraille se dressa tout juste devant l'équipe. Soudain, un feu s'alluma sur une des tours. Puis, une flèche arriva tout juste devant les pieds de Floppie. Elle prit la flèche dans ses mains voyant un message accroché à cette même flèche.

" Qui êtes vous et que voulez-vous ? "

Floppie prit la plume attaché à la flèche et répondit au message.

" Nous sommes des Seatlones, en quête d'un peuple utilisant l'élément de l'air afin de multiplier nos pouvoirs et ainsi détruire le Fléau. Nous ne cherchons pas à entrer en vos lieux chers Orques, nous allons les contourner."

Manipulant l'eau, Squorphy retourna la flèche en direction de son expéditeur. Elles marchèrent le long du mur et le garde, un peu méfiant les suivait du regard. Après se détour non calculé, elles arrivèrent dans un petit village d'hommes. Certains avaient peur à leur vu d'autre étaient émerveillés. Ceux qui étaient fasciné, se rapprochaient des Seatlones et celles-ci, en profitaient pour leur poser des questions.

- Bonjour hommes de Gaïa, nous Seatlones recherchons une espèce manipulant l'élément de l'air afin de multiplier nos pouvoirs et ainsi détruire le Fléau. Savez-vous où nous pouvons commencer nos recherches?

- Ma mère, ma mère est une voyante, vous, je vais lui demander si elle peut vous recevoir, s'exclama un petit garçon dans la foule.

- Merci à toi, répondit Squorphy.

L'enfant aux cheveux roux gambada jusqu'à une taverne. Les Seatlones le suivirent sous le regard pesant des habitants. Le petit garçon ferma la porte, puis, quelques minutes plus tard elle se rouvrit. Une jeune femme en sorti, se pencha pour saluer ses invités et leur indiqua d'un signe gracieux de la main d'entrer. Six chaises étaient positionnées autour de la table, la femme s'asseoit d'abord, puis les Seatlones firent de même. Au milieu de la table se trouvait une petite baignoire, rempli d'eau. La femme posa ses mains pour frôler l'eau et commença le rituel.

- Seatlones, qui est venu me voir afin de recueillir des informations capitales qui changeront le destin de Gaïa. Qu'elle est la question que vous voulez me poser?

- Où pouvons-nous trouver une espèce manipulant l'élément de l'air et qui accepterais bien de nous aider dans cette guère contre le Fléau?

L'eau commença à s'agiter comme si elle bouillait, mais elle était toujours aussi froide que de la glace. Chacune ont reçu de l'eau au visage causé par les éclaboussures, puis, plus rien. L'eau c'était calmé d'un coup sec, au moment où Estelle rouvrit les yeux.

- Je ne suis pas sûr de se que j'ai vu mais, je crois que vous devriez aller dans la forêt de Foguetios. Quelqu'un vous y attend.

- Merci beaucoup madame, nous et tous le monde entier sommes très reconnaissant envers vous.

Les Seatlones se levèrent puis s'envolèrent vers le golfe Tousu pour y passer la nuit, en remerciant une dernière fois la jeune femme.

Shyrkëll et Lir’Yaël :

Les paupières closent, une respiration lente… C’’est sereinement que le jeune dragonnier se détendait sous les ardents rayons de l’astre de feu. Il était empli d’une douce chaleur, piquante et éblouissante par moment. Il trouvait ce moment toujours divin. La partie de chasse avait été une réussite. Trois lapins pour le jeune elfe et deux cerfs, rapidement engloutit par sa chimère. Celle-ci était couchée plus loin et nettoyait ses griffes encore rougies par le sang. Tout était calme. Si tranquille. Les herbes hautes de la garrigue bruissaient lentement sous le vent. Elle semblait murmurer des chants ancestraux de la Terre Mère.

Soudain, une ombre voila le soleil. Un présage ?
« Lir’Yaël, écartes toi je te pris. Le soleil est si agréable c’est si bon ! »
« Je t’assure Shyrkëll que je ni suis pour rien. Nous avons de la visite… »

Le maître d’épée se redressa intrigué par ses derniers mots télépathiques. Il aperçut dans le ciel une forme longiligne, gracieuse. La lumière semblait ricocher sur peau écailleuse, la couvrant de paillettes dorées. La fine membrane de ses ailes paraissait translucide. Le jeune dragonnier sourit. Il était ravi de revoir le plus sage de tous les dragons. Peut être curieux aussi car cela faisait longtemps qu’il ne s’était pas vu. Et il se demandait bien ce qui pouvait l’amener par ici. Elle se posa près de Lir’Yaël. Shyrkëll ramassa son épée et les peaux de fourrure des rongeurs. Et accourut tout excité. La dragonne s’inclina pour les saluer. Arrivé à leur hauteur, il mit un genou à terre, respectueux. Son compagnon fit de même (à la manière "dragonnesque" bien évidement !) Puis le jeune dragonnier la regarda, rieur, et l’écouta attentivement.
« Je me présente à vous dans ces moments critiques pour vous proposer d’allier nos deux races. Un mal à émergé des profondeurs des ténèbres et commence à envahir notre mère Gaïa. Nous avons envoyé 13 de nos plus puissants dragons mages. Hélas un des notre est tombés et toute notre magie n’a eu aucun effet sur lui. Toi Shyrkëll, grand guerrier elfique et toi brave dragon courageux, pouvez vous transmettre ce message aux plus hauts dirigeants de la race des elfes ? »

Les pupilles malicieuses de Shyrkëll s’assombrirent en quelques secondes. Il venait de réaliser que ce mal, n’était pas qu’une simple rumeur. Ce n’était pas un conte. Une histoire que l’on racontait au plus jeune pour les faire obéir. Ce qu’il avait entendu était vrai ! La venue de Céleste l’attestait. Il ne fallait prendre ses paroles à la légère.
« Ô sage dragon, gardienne de tous les dragons. Votre venue me comble de joie et votre confiance m’honore mais vos paroles me troublent et m’effraient. Ce mal dont vous parlez et qui vous inquiète grandement, je le sens dans votre cœur, ce mal porte t-il un nom ?
« Oui. Il se nomme "le Fléau" et s’étend sur Gaïa. Ce mal sème la mort et la désolation. Ce mal est la mort. Il détruit toute chose sur son passage. Il faut que les peuples de Gaïa l’arrêtent au plus vite. Le dragon qui l’a rejoint se nomme Darkos »
« Ahum. J’ai entendu parler de Darkos. Il s’agit d’un puissant dragon noir de la race des volcans. Il puisait déjà son pouvoir dans les ténèbres. » Intervint Lir’Yaël.

Céleste hocha et reporta son intention sur le dragonnier.
« Et bien ? Pouvez-vous transmettre ce message aux plus hauts dirigeants de la race des elfes ? »
« Oui. Nous nous mettons en route dés à présent Ô sage dragonne. Je viendrais moi même vous transmettre la réponse si cela vous conviens ? »

Céleste accepta. Shyrkëll s’agenouilla pour la saluer et se hissa avec légèreté sur le dos du dragon. Il serra le harnais en cuir autour de sa taille. [C’était une question de sûreté pour tous les dragonniers.] Puis Il donna le signal de départ à Lir’Yaël. Un léger claquement de langue suffit. En une fraction de seconde, il déploya ses ailes et se propulsa dans les airs grâce aux puissants muscles de ses postérieurs. Il fit un tour au ras du sol autour de la gardienne des dragons puis monta très haut et disparu. Il virevoltait au dessus d’un champ de coton, d’un blanc éblouissant. Shyrkëll ferma les yeux. Il adorait sentir le vent fouetter son visage. Sentir les battements du cœur de son compagnon. Sentir son souffle… voir le monde à travers ses yeux… Mais il n’oublia pas pour autant les paroles de Céleste. Il devait arriver au plus vite chez ses frères de sang. Chez lui… Sans en parler à Lir’Yaël, qui n’appréciait pas l’aide de son dragonnier. Et oui. Fier et impétueux il aime montrer sa force et ses talents même à Shyrkëll… donc sans lui souffler mot, l’elfe forçat un peu le vent, qui soufflant dans la même direction qu’eux, poussait le jeune dragon vers les contrées elfiques.

Messages : 418 Date d'inscription : 20/02/2010 Age : 30 Localisation : Laval

Squorphy

L'eau du golfe Tousu était pratiquement gelée. Squorphy nagea un peu pour s'amuser et dégourdir c'est membre. Elle longea le fond du golfe et retourna un peu dans l'océan. Elle chantait sur un air magnifique :

- La mer est si magnifique, on voudrait y passer sa vie, ne jamais la quitter, et pour toujours s'amuser...

- Tu chantes très bien, l'interrompt Floppie. J'aurais aimée avoir une si belle voix, mais je suis née guerrière et non guérisseuse.

Squorphy ne dit rien, se contenta de faire un signe de compassion.

- Qu'est ce que tu faisais? repris Floppie.

- Je ne sais pas, j'avais envie de me promené un peu et de penser à tout ça.

- Tu t'inquiètes?

- J'ai peur de mourir et je me demande qui peux bien nous attendre.

- Ce n'est pas en gambadant dans le fond des mers que tu trouveras ta réponse, vient on va rejoindre les autres.

Elles allèrent rejoindre les trois autres compagnons et s'envolèrent en direction de la forêt de Foguetios. Sur leur chemin, elles virent non loin d'eux un dragon rouge chevaucher d'un elfe. Ils avaient l'air très pressés et ne portèrent aucune attention aux Seatlones. La forêt était muni d'un bouclier magique translucide, bien qu'inoffensif, il empêchait tout le monde d'entrée. Au dessus de la forêt, les Seatlones se séparèrent cherchant une entrée à cette forêt. Il y avait au sud-est, une stèle ayant belle et bien l'air de l'entrée. Malheureusement, sur la stèle était écrit un énigme.

" 1- Vous disposez de 10 cailloux sur la roche si dessous.
2- Sur la planche à côté, il y a 40 trou.
3- Vous devez placer les vingt cailloux afin de former 5 rangées de 4 cailloux identiques."

Les Seatlones s'assirent autour de la roche et de la planche et commencèrent à chercher la solutions. Elles essayèrent d'abord par essaie erreur, lançant les cailloux par ci et par là. Rien ne marchait, mais elles savaient qu'il y avait une solution. Soudain, les pierres bougèrent d'eux même et forma la forme d'une étoile.

- Voici la réponse à cette énigme, je vous attendais chères Seatlones, dit une voix derrière elles.

C'était une joli femme, le teint un peu verdâtre. Elle était vêtu d'un robe verte, avais les cheveux long et brun et ses yeux étaient brun clair. Elle étais de petite taille, environ 5 pieds et avait de magnifiques ailes de papillons dans le dos. Elle avait derrière la tête un petit chapeau ressemblant drôlement à un champignon.

- Si vous voulez bien me suivre, dit la jeune femme.

Elle marcha tranquillement, sur les chemins de cette magnifique forêt. Des colibris volaient d'arbre en arbre, des écureuil couraient partout, malgré tout ses animaux, la forêt donnait une sensation de tranquillité et d'équilibre avec la nature.

- Les baies sauvages que vous voyez ici sont tous comestibles, vous pouvez en prendre si vous voulez. Par contre, faites attention au poire orange, certains animaux les surveilles et lorsque quelqu'un s'en approche, ils passent à l'attaque. Au fait, je m'appelle Fleur Opaque, je suis une Vilson.

- Je m'appelle Squorphy et voici Floppie, Miscash, Ludux et Crarp.

- Enchanté, je vous emmène en se moment même vers notre lieux de discussion. Ils se trouvent dans un endroit à part de la forêt, peu fréquenté par les animaux et interdit à ceux de ma race n'ayant pas d'autorisation. Nous arriverons bientôt.

Le chemin se sépara en deux laissant une angle de 110°, cependant elles continuèrent tout droit puis, au bout d'un moment, les plantes s'ouvrir devant eux pour laissé place à une plaines. Des emplacements précis étaient délimiter par des fleurs, Fleur Opaque leurs indiqua un endroit et les Seatlones s'assirent. Il y avait 7 Vilsons assit en indien devant elles.

Admin Messages : 873 Date d'inscription : 11/01/2010 Age : 37

Céleste

La dragonne regarda l’elfe et le dragon rouge prendre leur envol, elle se demanda sur le moment si elle n’allait pas plutôt venir avec eux mais une vision la submergea à ce moment là : Elle vit des créatures aquatiques les Seatlones sortirent de l’eau et ramper vers la grande forêt dense de Foguetios.
La vieille dragonne savait que la forêt était gardée par une Vilson, fleur, créature ailée des forêts, elle s’appelait opale si ses souvenirs était bon. La matriarche était inquiète, que venait faire ces créatures dans un milieu si éloigné du sien. Dommage que la taille du la dragonne doré l’empêchait de rentrer dans la forêt. Elle se contenta donc de la survoler, guettant des signes émanant d’elle. Soudain, surgit devant elle Henty, le petit dragon vert des forêts. Il avait un corps très allongés. Son écailles étaient verts foncé ce qui le rendait invisible dans la végétation.
Il s’adressa respectueusement à Celeste.

-Longue vie à toi, ho vénérée Dragonne guide de mon peuple, puis je vous être d’une quelconque utilité, moi petit dragon des forêts.

-Bonjour, ho dragon vert comme le feuillage des arbres. Peux-tu aller rejoindre Opale la gardienne de la forêt et essayer d’en savoir plus sur les créatures aquatiques qui y sont entrées. Prends soin de ta santé petit dragon, mes pensées t' accompagneront.

Le petit dragon très fier de cette mission s’inclina devant la matriarche puis piqua en foret.
Il rejoignit rapidement le groupe de Vilson qui ne lui dirent rien car étaient habitué à sa présence. Puis il s’assit et regarda les Seatlones s’installer à leur tour.

Messages : 418 Date d'inscription : 20/02/2010 Age : 30 Localisation : Laval

Squorphy

Alors que la Vilson du centre commença à parler, un jeune dragon vert s'installa tout juste derrière les Seatlones.

- N'ayez craintes, chers invitées de la forêt de Foguetios, ce dragon vient souvent dans cette forêt, à l'origine, c'était sa forêt. Nous avons entendu par nos informatrices, que vous aviez une requête concernant le Fléau à nous faire. J'aimerais que vous m'informiez sur cette demande.

Squorphy se leva.

- Les Seatlones utilisent depuis toujours l'eau à bon escient, se pouvoir nous à été majoritairement nécessaire. Cependant le Fléau à vu le jour et il ne veut point s'arrêter, notre magie est insuffisante. Nous avons donc pensé, au bien de Gaïa tout entier, d'utiliser l'élément d'air pour doubler notre force. Apprendre un nouvel élément nécessite beaucoup de temps et peut être même infaisable pour certaine espèce. Nous requérons donc votre aide pour fusionner nos deux pouvoirs et détruire ce monstre immonde qui pourrit Gaïa.

Les 7 Vilsons se retournèrent et délibérèrent.

- J’acquiers fort votre idée, votre détermination et votre courage mais nous ne pouvons vous aidez pour cette mission. Comme vous le savez, le Fléau est une grande ombre qui conquit de plus en plus de territoire. Nous Vilsons, sommes des femmes champignons, nous nous nourrissons de soleil, sans quoi, notre pouvoir diminue. Nous serions donc dans l'incapacité de vous aidé.

- Je comprends, dit tristement Squorphy.

- Cependant, repris la Vilson, nous pouvons sans doute trouvez un moyen de vous trouvez utile. Nous manipulons la terre, mais l'air aussi, nous avons donc quelques contacte avec les autres manipulateurs de l'air. Nous vous recommandons donc de visiter les Valkyries de Folus, un des satellites de Gaïa.

- Sans vouloir vous manquer de respect, communiqua par pensé le dragon de la forêt, pourquoi ne pas les alliés avec les dragons? Beaucoup d'entre nous utilise l'élément de l'air.

- En effet, nous pourrions faire cela, cependant le temps qui nous est données est trop petit. Je juge qu'il y est plus de chances avec les Valkyries. De plus, cela ne leur empêche en aucun cas de faire alliance avec les dragons par la suite.

- Vous avez raison, je vous demande pardons.

- Ce n'est pas grave, laissez-moi vous parlez de cette espèce. Dans ce peuple, les hommes sont de fantastique guerrier et les femmes d'incroyable manipulatrice, je suis sur que ceux-ci vous conviendrons parfaitement. Ils habitent Folus, étant un petit satellite, ils occupent la quasi totalité de la surface. En arrivant vous les trouverez donc facilement, de notre par, nous allons vous écrire une lettre à remettre au Valkyrie. Vous ne devez en aucun cas ouvrir cette lettre. Me suis-je bien fait comprendre?

- Bien entendu, merci beaucoup de nous aidez ainsi, nous vous en sommes reconnaissant.

- C'est pour le bien de Gaïa que nous faisons cela.

Les sept Vilsons se retournèrent de nouveau. Pendant ce temps, Floppie jouait avec le dragon, elle faisait des bulles et le dragon les mangeaient. Après quelques minutes, Fleur Opaque posa deux tubes sur la pierre devant eux.

- Ceci est une carte de Folus, votre destination y est indiquer et ceci, est le message que vous devez apporter à la reine Neruda.

- Merci beaucoup, nous prendrons soin que se coli soit lui soit livrer en main propre.

- Vous pouvez maintenant partir.

- Puis-je les accompagner votre altesse? demanda le dragon.

- Ce n'est pas à moi de demander cela.

- Moi j'accepte! dit Floppie avec fougue.

- Génial, j'ai une amie qui vous attend, elle nous observe du ciel.

L'équipe de Seatlones marcha jusqu'à l'entrée de la forêt en compagnie de leur nouvel ami.

Admin Messages : 873 Date d'inscription : 11/01/2010 Age : 37

Céleste

Le dragon vert écouta attentivement la réunion. Il vit que les créatures aquatiques n’avait pas l’air menaçante, elles cherchaient seulement de l’aide. C’est donc naturellement qu’il leur répondit :

- Sans vouloir vous manquer de respect, communiqua par pensée le dragon de la forêt, pourquoi ne pas les allier avec les dragons? Beaucoup d'entre nous utilise l'élément de l'air.

Les Seatlones déclinèrent poliment l’offre, ils avaient des vues sur un autre peuple. Mais acceptait tout de même l’aide des dragons.
Une des créatures, du nom de Floppy se mis à faire des bulles que le dragon vert s’amusait à attraper.
Une fois la réunion terminé, le reptile proposa de les raccompagner ce qu’ils acceptèrent, enfin surtout sa nouvelle amie.
Après être sortie de la forêt, le dragon invita floppy à monter sur son dos puis il alla rejoindre la matriarche.

Celeste avait attendu patiemment. Le dragon des forets la rejoignit avec ho surprise une des créatures aquatiques sur son dos. Le dragon vert fit les présentations puis lui relata ce qu’il avait entendu dans la forêt.
La vieille dragonne était intriguée par le Seatlone, elle n’en avait jamais vu d’aussi prêt.

-Bonjour et bienvenu par ici ho nobles créatures des océans.

Elle avait aussi un mélange de soulagements et déception. Soulager, que les Seatlones ne soit pas hostiles mais légèrement déçu de ne pas pouvoir s’allier avec eux. Le Fléau était puissant, ils ne seraient pas de trop pour le combattre. En personne sage mais elle acceptait leur choix de se tourner vers un autre peuple.

La matriarche leur souhaita bonne chance puis elle fit demi- tour et retourna sur les falaises où elle avait rencontré l’elfe. Elle décida de s’installer dans le coin en attendant son retour.

Admin Messages : 69 Date d'inscription : 11/01/2010

Le fléau :

Noir. Il était la mort, le désespoir, les ténèbres. Il haïssait la vie, la lumière, il allait la détruire. Tout détruire. Et transformer cette terre en une planète morte, aride, un lit de poussière d’os.

Depuis son apparition, il se délectait de la peur qu’il provoquait. Pourtant, il avait toujours existait, depuis la nuit des temps il était une entité sombre qui vivait dans le monde des esprits. Mais il avait été invoqué ici et à présent, il allait semer le chaos et éteindre toute vie sur cette planète.

Pauvres créatures qui cherchaient lamentablement à le vaincre et que dire de ces pathétiques êtres qui se ralliaient à lui espérant surement être épargné. Que nenni, elles n’auraient qu’un sursis. Elles l’aidaient à mettre un terme au fourmillement de Gaia. Puis ensuite ils arrêteraient leurs cœurs bruyants. Cette planète deviendra son royaume, le royaume de la mort, celui où seules les créatures non vivantes pourraient y vivre…et encore….

Un de ses meilleurs pantins était la démone Ysia. Il appréciait sa noirceur d’âme et sa capacité de démoniste. Il en fit un de ses principaux généraux Elle était très utile et lui laissait exprimer toute sa diablerie en lui laissant prendre ses propres initiatives. Elle faisait prendre d’imagination en ce qui concernait la façon de semer la terreur et retirer les vies, ce qu’il appréciait pleinement.

Il assista avec plaisir à la destruction du village elfe. Il apparut à Ysia alors qu’elle était seule pour s’entretenir avec elle. D’une voix caverneuse, il lui dit :

-Bonsoir démoniste. Les créatures les plus dangereuses pour nous sont les elfes et les dragons, s’ils allient leurs puissances, ils risquent de mettre nos plans à l’eau. Plutôt que de les tuer nous même, je te propose de les monter les uns contre les autres pour qu’ils puissent s’entretuer. Je te laisse le soins de t’encharger.

Messages : 418 Date d'inscription : 20/02/2010 Age : 30 Localisation : Laval

Squorphy

Le dragon vert les amena jusqu’à la sortie de la forêt puis, il proposa a Floppie de monter sur son dos pour aller à la rencontre de Céleste la matriarche des dragons. Se petit manège la fort amuser, c’était la première fois qu’elle faisait cela. N’ayant qu’une queue, elle était mal assise et devait sans cesse s’équilibrer. Après quelques minutes, les Seatlones virent redescendre Floppie cette fois, volant côte à côte avec le dragon.

- Et puis ? demanda un des Seatlones.

- Nous n’avons pas vraiment parlé, elle voulait un résumer de la discussion, elle ne s’attendait pas à me voir.

- Et pour les alliances ?

- Il n’y a pas d’alliances entre les Seatlones et les Dragons, mais ils comptent nous aider tout de même.

- Je suis soulagé de l’entendre car, lors de la discussion avec les Vilsons, nous avons oublié un point important. Nous ne pouvons voler qu’à dix kilomètre d’altitude, sans quoi, nous perdons notre énergie trop rapidement. De plus, nous ne volons que 3 heures, et nous sommes à 5 heures de notre destination.

- En effet, voilà un très gros problème, et je suppose que tu veux que les dragons nous emmènent sur le satellite ?

- Je ne crois pas que je puisse vous porter tous sur mon dos, dit le dragon des bois. Je ne peux qu’apporter 4 de vous au maximum.

- Je vais rester ici, dit un Seatlones. Je ferai un rapport de notre mission et où nous en sommes. Peut-être que je vous rejoindrai plus tard.

Elle partit avant même que quelqu’un réplique.

- Nous y allons ? demanda le dragon vert.

- Oui ! s’exclama Floppie en montant sur son dos.

- Attendez une minute, jetons un coup d’œil sur la carte, nous devons nous rendre sur Folus et trouver un point d’eau a notre arrivée car après 5 heures de chemin, nous aurons besoin d’eau.

Le dragon se reposa pour recueillir le plus de force possible tandis que les Seatlones planifiait leur trajectoire.

Ayathe

La lune était déjà haute dans le ciel lorsqu'elle se réveilla. La pâle lumière éclairait les quatre mures délavés qui constituait sa chambre.
Ayathe se levas et se dirigeas vers la porte.
-Mince pensa t'elle, C'est vrai lorsque je dort la métamorphose n'est plus active.
Elle se concentra quelques instants et la magie opéra, à la place de sa queue olive zébrée de noire se trouvait désormais deux jambes.
Arrivée dans la salle principale de l'auberge occupée seulement par quelques voyageurs nocturne ou autre ivrogne perdu dans les vapeurs de l'alcool. Son court repas avalé en vitesse Ayathe se préparait à son exercice matinal habituel l'ouverture des cinq sens.
Elle coupa tout ses sens et les ouvras un par un:
-L'odorat: Elle sentait une vague odeur de sang mêlée a de la sueur sans doute du a une bataille dans la taverne, une odeur de ragout qui cuisait doucement dans la cuisine, l'odeur de la bière et enfin sa propre odeur ainsi que celle de sa louve.
-Le toucher: Elle sentait sur sa peau le cuir de ses vêtements ainsi que l'acier froid du poignard a sa cheville. Le bois pourrit et graisseux que constituait la table.
-Le gout: Restait sur sa langue le gout de la pomme dernièrement avalée.
-La vue: Elle voyait deux ivrogne assoupi en face d'elle ainsi qu'un voyageur solitaire attablé dans le fonde de la pièce près du feu, lui aussi sans doute assoupi. A sa droite deux personnes conversait.
-L'ouïe: Bruit de cuissons, ronflement, grincement de parquet mais plus intéressant elle épia une conversation.
-'... Non impossible'
-'Si, le fléau est passé a l'acte c'est un village elfe qui en as fait les frais tout le monde a peur et il n'est plus sure de voyager'
Intéressant se dit elle avec se fléau les contrats vont surement augmenter se sera l'occasion de monter mes prix.
Ayathe se levas et remonta dans sa chambre. Elle revêtit sa cape de voyage et la louve qui jusqu'à la somnolait se réveilla.
- Allez en route on va finir se contrat chuchota t'elle.
Sur ces mots elle sortit sans un bruit de l'auberge et se dirigea vers le châteaux voisins d'un pas assuré. Sa cible était un petit duc de pacotille dont les impôts devenait trop lourd a payer et dont la place montait lui montait a la tête. La porte du château était en vue.
-'Première étape les gardes' pensa t'elle.
La porte du château était gardée par deux gardes. Elle s'occuperait du premier tandis que Yaken éliminerait le second .Une aiguilles soigneusement enduite de curare mit fin a la vie du premier garde tandis que Yaken égorgeais le second. La jeune femme s’arrêtât l’aura de magie qui sortait de son corps croissait d’instants en instants .L’ombre de la jeune fille s’étendit puis l’instant d’après redevint normal. Les deux gardes se relevèrent et reprirent leurs place comme si de rien était a la seul différence qu’ils étaient mort l’ombre d’Ayathe les contrôlait comme des pantins. Richement décorée la grande salle du château laissait deviner ou passait les impôts. La chambre du Duc fut facile a trouver. Devant la porte Ayathe fut parcourut par un frisson, un mauvais pressentiments ?Non elle avait tout préparée méticuleusement La porte verrouillée n’était pas un problème son ombre s’étiras et glissas sous la porte rampa sur celle –ci et déverrouilla la porte.
Ayathe entra et sans faire de bruit se dirigeas vers le lit au fond de la pièce . A peine effleura t’elle le lit elle comprit l’erreur qu’elle avait fait elle n’avait pas vérifié si la pièce était vide elle n’eu pas le temps de méditer plus les quatre homme qui l’attendait était sur elle. Elle n’eu le temps que de dégainer son sabre l’homme a sa droite lui assenas un coup a la cuisse l’acier mordit sa chair et le sang gicla. Yaken bondit sur l’homme et luta dans un corps a corps endiablé. Blessée et sa magie quasiment a plats ils n’avaient aucune chance il fallait fuir.
-Il faut fuir cria t’elle mentalement a sa louve.
Yaken répondit d’un grognement, Avec la magie qui lui restait, elle envoya les ombre dans les yeux de ces ennemis Elle sauta par la fenêtre Yaken a sa suite. Afin qu’ils ne les suivent pas elle avait pensé a crée un clone d’elle et de sa louve. Sa blessure la lançait mais elle devait fuir a tout prix. Tout en courant elle réfléchissait. Qui les avait trahis ? La forêt en vue enfin, elle monta sur Ume sa jument noir et blanche. Fuir il fallait fuir a tout prix qu’on l’ai piégée si facilement l’inquiétait beaucoup. Le jour se levait et elle dénicha une grotte elle pensa sa blessure et se lovas prés de Yaken pour s’endormir .

Messages : 418 Date d'inscription : 20/02/2010 Age : 30 Localisation : Laval

Squorphy

Assis autour d’un rocher, les 4 Seatlones restantes observèrent la carte sous la douce lumière que crée la lune. Malheureusement, les Vilsons connaissent pas les faiblesses des Seatlones, elles leurs ont donc attribuée une destination complètement sèche, aucune étendu d’eau.

- Nous ne pourrons malheureusement pas faire se voyage, confessa Squorphy au dragon de la forêt. Nous avons absolument besoin d’eau, sans quoi notre mort est assuré.

- J’ai entendu dire que Folus était très humide pourtant, répliqua le dragon.

- Je n’en doute pas, seulement se n’est pas suffisant.

- Qu’allons-nous faire alors ?

- Moi et mon équipe allons retourner à Glysbes, tu devrais suivre ta propre route, allez rejoindre les tiens, car je crains que Gaïa n’en a plus pour longtemps.

Le dragon acquiesça et marcha tranquillement vers la forêt de Foguetios en se retournant plusieurs fois vers ses amies.

Floppie mit sa main sur l’épaule de Squorphy en signe de compassion.

- Nous trouverons un moyens ne t’en fait pas, le Fléau est très fort, mais il est seul tandis que tout Gaïa est contre lui.

- Tu as raison Floppie, seulement pour l’instant c’est toujours lui qui a l’avantage.

- Allez viens, nous allons trouvez un endroit pour passer la nuit.

Attristé, les Seatlones se reposèrent pour la nuit dans une rivière très étroite. Elles se réveillèrent au sifflement d’une troupe de colibri géant. Les étranges créatures étaient couvertes de plumes passant de jaune à rouge, elles avaient une petite tête et un dard dissimuler sous leur queue. Il y en avait une douzaine qui jouait sur un sac d’une des voyageuses. Lorsque la première se leva les colibris s’envolèrent laissant derrière eux plusieurs plumes.

Les Seatlones prirent leurs effets personnels et repartir direction de Glysbes pour voir comment c’est déroulé l’enquête des autres Seatlones. Après avoir parcouru quelques kilomètres le dragon vert les rattrapa, il était en compagnie de sa femme et de son jeune garçon. Suite a se que leur a dit les Seatlones a propos de Folus, il eut l’idée de fuir le Fléau et de rester avec sa famille sur le satellite de Gaïa. Par contre, avant de partir il voulu rendre service aux Seatlones, ses nouvelles amies. Il prit donc le parchemin à remettre à la reine, fit ses adieux aux Seatlones et prit son envol.

Les Seatlones pour leur part continuèrent leur route vers Glysbes, se qui devenait chaque jour chose moins facile puisque le Fléau grandissait a vu d’œil et tout le monde le fuyait créant ainsi beaucoup plus d’obstacle sur leurs chemin. Elles rencontrèrent de nouveaux villages, de nombreux campement et des milliers de sans abris. Gaïa s’assombrissait peu à peu, Squorphy se sentait faible de ne pouvoir rien faire pour ca maison, pour ses ami, et pour tout le gens bien dans se monde, aujourd’hui sous la menace du Fléau.

Admin Messages : 873 Date d'inscription : 11/01/2010 Age : 37

Henty le Dragon vert des forêts

Henty fut un peu déçu de voir que le satellite de Gaia n’est pas les conditions requise pour les créatures aquatiques.
Il dit au revoir à ses nouveaux amis le cœur serré.
Puis il pensa à sa famille, il avait une jolie dragonne des forets avec une nichée de dragonneaux. Pourquoi par les mettre à l’abri sur la lune.
Il rattrapa les Seatlones, ce n’était pas difficile, en volant il était aisé de repérer des créatures bleu sur fond vert et il leur proposa de donner le parchemin à la reine des Valkyrie Neruda en allant sur le satellite de Gaia puis leur fit ses adieux.
Puis Henty alla chercher sa famille et avant de quitter Gaia, il devait en prévenir leur matriarche.
Il trouva céleste sur une des collines de la garrique de Foguetios.
Il se posa devant elle en s’inclinant.

Céleste

La vieille Dragonne attendait patiemment le retour du dragon rouge sang Lir'Yaë et de son compagnon Shyrkëll. Elle priait que de la race noble des Elfes accepte de s’allier à celle des dragons maitres des vents.
Elle fut surprise de revoir Henty, le dragon vert se poser avec sa compagne et ses enfants devant elle. Il lui demanda après les formules de politesse d’usage l’autorisation de quitter Gaia pour aller sur la lune Fofus mettre sa famille en sécurité et délivrer un message à la reine des Walkyrie.
La Dragonne couleur or le savait déjà, car dès que le dragon des forêts arriva vers elle, elle eut une vision sur ses intentions. Afin de lui répondre elle plongea son regard dans celui d’Henty :
« Fuir n’est pas une solution. L’union fait la force. Petit dragon vert feuillage. Va mettre ta famille à l’abri et délivrer ce message à la redoutable et respectée Reine du peuple de la lune. Mais une fois ta mission finis revient aider les tiens afin que le Fléau ne puissent jamais mettre en danger ta famille en envahissant le satellite de Gaia »
Elle n’avait pas dit cela d’un ton menaçant mais étant le guide de son peuple, il lui fallait dire les choses telles qu’elles sont. Le plus sincèrement possible et choisir ce qui était le mieux pour son peuple, sa race et non pour un seul individu ou groupe d’individu. Elle avait besoin que tous les dragons s’unissent pour avoir une chance de vaincre le fléau.
Le dragon vert sembla confus, puis il acquiesça et lui dit les formules d’usage avant de partir.

« le maitre du jeu » ou Mise de situation d’ ayate
Un ours mort vivant se promenait dans la foret. Depuis qu’il avait touché le poison du Fleau, il n’était plus qu’une espèce de charogne ambulante ne cherchant plus qu’à détruire tout ce qu’il voyait. Il labourait le sol de ses pattes, arrachait des plantes quand l’envie le prenait, surtout les jeunes arbres qu’il prenait plaisir à déterrer. Le moindre animal qu’il voyait le remplissait de haine, il le coursait jusqu’à ce qu’il mette la patte dessus et le réduire en charpie.
Justement, il venait de sentir la vie, celle qu’il haissait tant à présent. Elle venait d’une caverne. S’approchant avec ses yeux rouge flamboyants, il vit un cheval noir et blanc qui broutait. Retroussant ses babines, il grogna, le cheval hennit de terreur et sembla essayer d’attirer l’attention de quelqu’un dans la caverne.

Ayathe assoupie rêvait, elle revoyait sans cesse son combat puis sa fuite .Un hennissement soudain la sortie de sa torpeur, Yaken c’était elle aussi relevé et elle montra les crocs en se dirigeant vers la sortie de la grotte. Ayathe se saisissant de son sabre emboita le pas a sa louve. Le spectacle qui se dressait devant eux était immonde la jument noire et blanche d’Ayathe se faisait dévorée par un ours dont la chair en putréfaction embaumait l’air d’une odeur insoutenable. A leur arrivé l’ours releva la tête du carnage et poussa un grognement sourd auquel Yaken répondit en hérissant sa fourrure blanche. Ayathe dans un seul mouvement fluide et précis trancha la patte de l’ours qui fonçait vers son visage. L’ours regardât la plait béat profitant de cet instant Yaken bondit droit sur la colonne vertébral de l’ours et lacéra son dos, l’ours s’ébrouât projetant la louve contre un arbre, sa patte encore valide fonça toute griffe dehors vers la jeune fille. A quelques centimètres de son visage les griffe c’était heurté a une surface solide, les ombres se dressait devant la jeune fille en un bouclier protecteur. Le combat se finit vite en soldant par la fuite de l’ours .
- Sœur tu as vu ? demanda la louve.
- Oui Yaken, il ne saignait pas il était mort mais il se battait quand même. C’est donc ca le fléau murmura t’elle.
- Sœur il faut partir vite il va revenir et il ne seras sans doute pas seul .implora mentalement la louve.
La jeune femme enterra sa jument en ne laissant qu’une simple sépulture.
Tu m’as bien servie tu peux partir la tête haute Ume, proféras la jeune femme dans un murmure.
Ils reprirent leurs route en direction des citées elfes, Sa queue la lançait a chaque instant. Les dernières lueurs du crépuscule éteinte ils s’autorisèrent une halte près d’un ruisseau. Ayathe appliqua sur la plaie a moitié refermé un cataplasme d’écorce elfique censé accélérer la guérison. Elle s’alonga a même le sol et s’endormie alors que Yaken montait la garde.
Elle se réveilla aux aurores et ils reprirent la route. Les deux compagnons s’arrêtèrent nette horrifié La fumée noire qui s’élevait au dessus de la ville proche ne laissait rien présagé de bon, La rivière en amont du village c’était teinté de rouge et les cadavres qui flottait laissait transparaitre la cruauté des attaquants. Le soleil se couchait au loin lorsque Ayathe et sa louve arrivèrent dans ce qu’il restait du village elfique qui autrefois était plein de vie .
- Ne t’inquiète pas Sœur il n’y as plus personne reposons dans une maison abandonné transmis la louve par la pensée.
Ils s’arrêtèrent dans une maison proche sont seul subsistait du carnage et du feu une chambre aux meubles éventré et calcinée. Ils partagèrent leur maigre provisions en se questionnant sur qui pouvait être l’auteur de ces barbaries.

Admin Messages : 69 Date d'inscription : 11/01/2010

Maitre du jeu:Mise en situation pour floppie

Les Seatlones faisaient route vers la grande ile glacée de Glysbes.
Ondulant dans l’eau, ils ne tardèrent pas à entrer dans une zone de turbulence.
En effet, un monstre marin type serpent de mer ou du moins ce qui en restait déchainait toute sa hargne et sa folie autour de lui.
Le serpent de mer squelettique car mort depuis plusieurs mois avait des orbites vide mais d’où jaillissait une lumière jaune vif. Il avait une longueur de 12m soit la taille d’une baleine à bosse sur terre. Son squelette était bleu phosphorescent. Ce monstre marin avait été touché par le Fléau
Ce monstre des mers possédait un pouvoir d’eau, de sa magie, il créait autour de lui un cyclone marin, déchainant la mer.
Dès qu’une créature vivante passait à coté de lui il s’empressait de la croquer.
Au bout d’un moment le serpent aperçu le groupe de Seatlones, il rugit vers eux, les défiant d’approcher. Sa colère est palpable, il a envie de les détruire TOUS ! Jusqu’au dernier.

dessin grossier par paint:

Messages : 418 Date d'inscription : 20/02/2010 Age : 30 Localisation : Laval

Squorphy

Une fois arrivé au fleuve, les Seatlones restèrent se reposer un peu avant de partir nagée pour Glysbes. Cependant, elles n'eurent guerre le temps de se reposé car Squorphy vit apparaitre au loin un nuage menaçant, il couvrait pratiquement tout l'horizon, le reste était couvert par la brume.

- On ne peut traverser ! Paniqua Floppie, la température est trop mauvaise. Se nuage, on dirait qu'il couvre Gaïa tout entier, il est si noir que le soleil n'arrive même pas a le percé et cette brume, on avance droit dedans et elle a l'air très épaisse. Nagé dans ses conditions est un suicide.

- Attendre une journée de plus et laisser le Fléau avancer est aussi un suicide, tu as raison, les conditions sont très mauvaises, seulement nous n'avons pas le choix. De plus, les autres Seatlones nous attendent surement depuis quelques temps déjà.

Squorphy parti à la nage et les autres la suivirent craintive. Des bateaux naviguaient partout, essayant de survivre au Fléau, mais au Nord, on entendait des cris et on voyait la silhouette d'un bateau de croisière tourné dans tout les sens.

- Allons les aidés, il doit y avoir des milliers de personne sur se bateau, nous ne pouvons nous permettre de les laisser mourir sans rien faire, dit Squorphy.

Elle partit donc en direction du gros navire.

- Mais c'est un grand détour, cria Floppie.

Squorphy ne fit pas attention a se qu'elle dit. Floppie nagea à pleine vitesse en sa direction et le tira par le bras.

- À quoi tu joue ? En 5 minutes sa fait 2 fois que tu nous dirige tous dans un suicide assuré. Tu as perdu la tête Squorphy, pendant le trajet jusqu'ici nous en avons discuté et nous sommes tous d'accord pour que tu ne dirige plus l'équipe. Je suis désolé, sincèrement, mais a partir de maintenant c'est moi qui va diriger. Nous allons en directions de Glysbes, que tu le veuille ou non.

Squorphy regarda ses camarades, depuis une semaine elles avaient passée de bon temps ensemble, elle était déçu d'être ainsi rejeté de ses amies. Elle regarda Floppie dans les yeux, elle était en colère. Alors que l'équipe rebroussa chemin et allèrent vers Glysbes, des rugissements se firent entendre, Squorphy se concentra pour écouter se qu'il disait, espérant que la bête soit un animal marin.

- Seatlones ! dit la créature d’un air menaçant.

La voix était derrière eux, elles se retournèrent.

- Vous ne pouvez vous enfuir !

Encore une fois la voix était derrière, se monstres est d'une rapidité inimaginable. Les Seatlones paniquèrent.

- Nous n'avons pas le choix que de l'affronter, dit Squorphy.

- Envolons-nous, répliqua Floppie.

- Nous ne pouvons pas, les éclairs sont a quelques mètres de nous, et apparemment, cette bestiole peux aller très profond elle aussi.

Le serpent de mer bondit sur eux en essaya dans mordre une qui eu juste assez de temps pour éviter l'attaque et resta ensuite figé voyant son œil, vide et lumineux. La créature d'un coup de tête la propulsa dans les airs et tomba à quelques mètres plus loin. Il bondit encore sur elle avant qu'elle n'ait le temps de sortir de l'eau. Squorphy sauta à son secours. Alors qu'elle bondit dans les airs pour esquiver l'attaque, elle vit accrocher sur un des os du serpent de mer un sac, c'était le sac de leur coéquipière qui était parti rendre le rapport. Le dragon devin de plus en plus furieux.

- Nous devons absolument le vaincre, il a le sac de Crarp, il a du se battre contre lui aussi, j'espère qu'elle à abandonné son sac et qu'elle est en sécurité a Glysbes.

- Que faisons-nous ? Nous avons besoin d'un plan et vite.

Le monstre se servit de ses pouvoirs et créa un cyclone autour de lui. Les Seatlones commencèrent peu à peu à être attiré par lui, il se préparait déjà à manger ses proies lorsqu'elle serait assez attirée. Les Seatlones de leurs coté luttait, créait un courant dans le sens contraire pour essayer d'arrêter le cyclone qui leur causait de gros problèmes. Elles réussirent à l'arrêter complètement les pouvoirs du monstres s'annulaient face au pouvoir des Seatlones et vice versa, c'est la vitesse de leur coup qui déterminera qui gagnera cette bataille. Le serpent de mer fonça a l'attaque avec un puissant coup de queue les Seatlones reculèrent tous assez mais la rafale de vent créer par l'attaque les immobilisèrent. Les sirènes ailées se préparèrent mentalement à parer la prochaine attaque du serpent de mer, mais celui si attaqua à 10 mètres d'eux, un endroit où il y avait aucune cible. Les Seatlones se regardèrent d'un air perplexe, elles restèrent immobile et firent aucun bruit. C'est alors qu'un poisson bondit à 30 mètre du serpent de mer. Celui-ci bondit sur le poisson et l'avala d'une bouchée.

- On dirait que le monstre ne nous voient pas, chuchota Squorphy en regardant le dragon qui lui essayait de repéré ses chuchotement.

Squorphy dit mentalement a un de ses poissons ailés de partir au loin par la gauche. Le serpent de mer bondit aussitôt sur lui et le dévora. Tout le monde compris alors se qu'il se produisait. Le serpent de mer ressent les mouvements dans l'eau et peu déterminer la position exact des ennemis, mais il ne voit rien. Restant immobile elles réfléchirent, évidemment aucune de leur magie n'a d'effet sur lui ils n’ont donc aucune arme pour l'éliminé. C'est alors que Squorphy se concentra très fort et appela une créature du fond des mers, a 540 mètre de leurs positions.

- Venez à notre secours s'il vous plait, il y a un serpent de mer transformé par le Fléau, il mesure environ 12 mètres, il est très dangereux, aucune de nos magie ne fonctionne sur lui. Faite attention a votre arrivé car il peut vous détecter simplement par les mouvements que vous faites dans l'eau.

Environ 5 minutes plus tard, l'allié du Fléau semblait perdu il regardait partout autour de lui, puis décida de foncer vers l'est. Au moment ou il allait plonger un serpent de mer d'environ 8 mètre jailli et s'agrippa sur lui et essayait de l'immobilisé. Puis quelques secondes plus tard 2 autres serpents de mers bondissent sur lui. Un tenait la queue, un autre immobilisait le corps, et un autre s'occupait de la tête. Le monstre squelettique se débattait de toutes ses forces, mais il ne pouvait plus rien faire. Il encaissa des dizaines de morsures, il s'affaiblissait, ses os commencèrent à se brisé, il se débattait de moins en moins. Squorphy en profita pour reprendre le sac dans la colonne vertébrale du serpent de mer. Les Seatlones regardèrent les trois serpents de mer arrachée la tête du monstre.

- Je me suis dit que tout seul j'aurais eu de la misèrent a le vaincre, dit un des serpents de mers.

- C'était une sage idée, lui répondit Squorphy. Merci pour votre déplacement et pour votre aide, nous vous sommes très reconnaissantes.

- Sa fait toujours plaisir de défendre Gaïa de n'importe quel ennemi, s'exclama le serpent de mer à la droite de Squorphy. Si vous avez besoin de notre aide ultérieurement faites nous signe.

Les trois amis plongèrent dans l'océan pour repartir d'où ils venaient. Les Seatlones les remercièrent encore une fois et se retournèrent pour voir dans quelle direction allez pour rejoindre Glysbes. Seulement, le brouillard avait tout enseveli, elles ne pouvaient plus voir dans quelle direction allez et elles ne savaient pas d'où elles venaient. Elles sont complètement perdues au milieu de nul part.

Admin Messages : 69 Date d'inscription : 11/01/2010

Pour toi itaque, j'ai joué Ysia avec l'autorisation de Mary. C'est très court, je n'avais pas trop d'idée à part le fait que vos deux personnages étant du même camps peuvent s'allier pour la mission du fléau. Tu peux faire jouer Ysia vu que Mary m'a confié qu'elle l'abandonnait.

Ysia écouta attentivement le fléau.

-Bonsoir démoniste. Les créatures les plus dangereuses pour nous sont les elfes et les dragons, s’ils allient leurs puissances, ils risquent de mettre nos plans à l’eau. Plutôt que de les tuer nous même, je te propose de les monter les uns contre les autres pour qu’ils puissent s’entretuer. Je te laisse le soin de t’en charger.

Un sourire cruel vient s’afficher sur les levres de la démone.
Elle aquiesa d’un signe de tête. L’ange de la mort partit aussi vite qu’il était venu, les guerriers morts vivants s’éparpillèrent.
Resté seule, la créature des ombres déambula prêt du village détruit, se délectant de l’odeur de la mort.
C’est beaucoup plus tard, qu’elle sentit la présence d’une créature mi reptilienne. Dans une des maisons détruites elle se terrait avec un loup à en juger l’odeur.
Elle entra et vit la lamia accompagnée d’un loup blanc. D’un seul regard, les créatures comprirent qu’elles étaient du même clan, mutuellement elles reconnurent leurs auras ténébreuse.

-Bonsoir, je m’appelle Ysia, je suis démoniste au service du fléau, Veux tu t’allier à nous ? Que sais tu faire ?

Shyrkëll et Lir'Yaël :

Ils volèrent toute la journée, Syrkëll le pressait. Il forçait le vent pour augmenter la vitesse du dragon et condensçait l'eau de l'océan pour créer des courants ascendants. Lir'Yaël oubliait la fatigue et filait comme une étoile vers Agrimada.
Les côtes de Foguetios s'étaient rapidement estompé comme un dessin que l'on gomme. Haut dans le ciel Shyrkëll avait même aperçu une fumée noire et épaisse enveloppant la côte-est de Telluris. Il sentait quelque chose de malsain se répandre sur cette terre. Et s'il n'avait pas eu cette mission auprès de Céleste. Il aurait été allé voir ce qui s'y tramait.
Mais il ne voulait pas perdre de temps et aller au plus vite pour la dragonne qui l'attendait...
Il passa au dessus des Seatlones qui elles aussi menaient une course contre le temps et contre le Fléau.

Le voyage était long et monotomne. L'océan s'étendait à perte de vue.

Et soudain, alors que la lune se dévoilait et que le soleil fuyait, les hautes tours de garde de la cité elfique apparurent enfin !
Ad'Jendir : la Cité des Eternités se dressait immense au milieu de la plus grande et de la plus ancienne forêt de Gaia. Un lieu noble et sacré pour les elfes.
La chimère couleur sang se posa délicatement dans une clairière prévue à cet effet, non loin de l'entrée principale. Lir'Yaël était épuisé par ce voyage si rapide, D'habitude, tous deux s'arrêtaient sur une petite île située entre les deux continents. Elle était posée là, comme par enchantement, une halte pour les voyageurs du ciel.
Tahl'Ari descendit de son dos promptement. Il le flatta doucement, plongeant son regard dans l'œil ambré de son compagnon. Lir'Yaël émit un grondement sourd, singulier, Toux deux n'avaient pas besoin de se parler pour se comprendre. Leur lien était tel, qu'il suffisait que l'un d'eux pense à une chose pour que l'autre ait la même idée.

L'histoire du Fléau Wallpapersmaniavol15103z

Puis Syrkëll le quitta. Il disparut rapidement sous la frondaison des arbres.
Il marcha quelque temps sachant exactement où se diriger dans cette forêt épaisse et inextricable.
Le bois, malgré son air paisible était très bien gardé. Nombreux étaient les pièges. Et autrefois, lors des anciennes guerres de Gaia. Nombreux étaient les ennemis qui avait périt mystérieusement dans ce lieu.
Mais se n'était rien comparé au système de défense de la cité elle même...

Tahl'Ari marchait rapidement soucieux et perdu dans ses réflexions. Aucun elfe ne vint à sa rencontre pourtant il savait pertinemment que les sentinelles l'avaient déjà repéré, avant même qu'il ne se pose dans la clairière.
Le vent murmurait dans le feuillage. De nombreuses créatures s'activaient. Des petits yeux jaunes le guettaient...

Il s'arrêta enfin. Et examina l'endroit, toujours émerveillé par le travail de son peuple.
Au pied d'un arbre dont même les elfes ne comptaient plus les années, [mais c'est arbre était sacré et vénéré] se dressait une immense arche. Elle faisait plus de vingt mètres de haut !
De jour, elle brillait comme de l'ivoire et la nuit elle fluoresçait d'un blanc-rosé. C'était une construction magnifique et emprunt de magie. [Comme la plupart des créations elfiques]
Ravie de retrouver ce lieu aussi intacte que dans ses souvenirs, il gravit rapidement l'escalier où s'entrecroisait du lierre et des Hyrkas. Ces petites fleurs pourpres et picotées d'orangés étaient déjà ouvertes pour récolter au maximum l'humidité de la nuit. Des papillons aux couleurs ocres et siennes se régalaient de leur doux nectar.

Il monta rapidement les marches. N'essayant même pas de les compter tant l'escalier était haut et long. Il arriva enfin devant porte un peu essouflé par cette ascension rapide. Contrairement à l'arche, celle-ci de dépassait pas deux mètres cinquante de hauteur. Elle était constituée de bois de hêtre et finement sculptée. Mais sa simplicité ne signifiait pas qu'elle était facile à franchir...
D'un geste décidé, il poussa les battants de la porte.
Une petite place et au centre une fontaine représentant un dragon apparurent devant lui. Au delà, les rayons pâles de la lune illuminèrent sa route. Une longue rue, rectiligne. L'une des neuf voies qui montaient jusqu'à la demeure du roi. Elles étaient toutes disposées en forme d'étoile. Le cœur étant la forteresse. Et telle une toile d'araignée plusieurs petites rues les coupaient perpendiculairement.
Les elfes ne dormaient que très rarement si bien, que de jour comme de nuit la cité blanche et incrustée de petits diamant restait animée. Les commerces ne fermaient pratiquement jamais. Et les rues étaient toujours bondées. La seule différence était que la nuit, la ville était mouchetée de lucioles vertes et bleues. Pouer éclairer les voix aux rares étrangers et pour preuve de leur parfaite harmonie avec la nature.
Il s'engouffra dans la rue et marcha à vive allure, On s'écarta sur son passage. On le salua respectueusement. On chuchota. On s'interrogea.

Shyrkëll ne préférait pas s'attarder. Il pressa un peu plus le pas. En chemin il se rendit compte que tous les elfes ici vivaient dans l'insouciance.
Depuis qu'il était parti, rien n'avait changé.
De jeunes enfant riaient aux éclats tandis qu'un homme faisait apparaître des petites sphère d'eau. Elles flottaient dans l'air comme des papillons et le moindre frémissement les faisait éclater dans un bruit de crécerelle. Les enfant applaudissaient à chaque fois.

Et tandis qu'il passait à proximité, l'homme s'arrêta et s'excusa auprès des enfants qui soupirèrent de mécontentement.
« - Tahl'Ari ! Tahl'Ari ! Attends ! Que fais-tu ici ? Tu n'étais pas à Foguetios ?»
« - Si mais des nouvelles imminentes m'ont obligé à partir. » Répondit Shyrkëll sans s'arrêter et sans le regarder. Siran fut obligé de courir à ses côtés pour ne pas être distancé.
« - Qu'y a t-il ? Tu m'a l'air sérieux. C'est grave ? »
« - Au plus au point. C'est pour cela que je dois voir Anàrion de suite. »
Siran plissa les yeux comme à son habitude lorsque leur conversation devenait sérieuse et agrippa son bras. Shyrkëll se retourna et le regarda gravement.
« - Alors suis moi ! »

Son compagnon de bataille et garde attitré de la citadelle lui emboîta le pas. Ils descendirent un petit escalier, dans l'angle d'une maison et passèrent par un passage vouté.
Ces galeries passaient sous la ville. Leur construction venait tout juste de s'achever.
« … Elles ont été construites pour nous permettre de circuler rapidement en cas de nécessité. Seul le roi, les hauts dignitaires et moi même y avons l'accès et le droit de donner notre autorisation de passage... C'est un accès direct au château sans lafoule ! Pratique. Non ? » S'exclama avec fierté le semi-elfe.
Shyrkëll ne répondit pas, il sourit heureux d'avoir retrouvé son compagnon et meilleur ami.
Après quelques minutes de marche, le tunnel déboucha enfin dans la cour même, du château.

Des guerriers le regardèrent avec insistance et saluèrent leur commandant.
Plusieurs couloirs défilèrent. L'intérieur du château était semblable à l'extérieur. D'un blanc étincelant, paré de pierres précieuses et d'étoffes soyeuses qui tombaient avec délicatesse des fenêtres en ogive. Le centre du palais était une incroyable architecture aux allures byzantines découpée par d'impressionnantes chutes d'eau. Ces cascades étaient au toucher semblables au liquide et déferlaient avec le même vrombissement mais en réalité tout ceci n'était qu'illusion.

C'est à la suite de cette vue féérique que le seigneur Anàrion [fils du soleil] se présenta à Tahl'Ari.
« - Mon seigneur » S'exclama Shyrkëll un genou à terre,
« - Relèves-toi Tahl'Ari. Ne t'agenouilles pas devant moi. Cela devrait être l'inverse. C'est toi le grand heros des batailles de Gaia. »
« - On ne peut devenir heros d'une bataille mon Seigneur. Le véritable heros serait un homme qui trouverait le moyen de vivre en harmonie avec les autres peuples sans avoir recours à la guerre. Je n'aie rien d'un heros et les batailles n'apportent ni victoires, ni défaites, seulement la mort. » Répliqua t-il poliment en se relevant.
Anàrion acquiesça et tapota l'épaule de Shyrkëll. Il estimait son maître d'arme pour sa franchise et son intelligence d'esprit autant que pour ces facultés aux combat et cela était réciproque.
« -Mes éclaireurs m'ont informé de ta visite. Que se passe t-il ? Ils m'ont dit que tu semblait pressé. »
Il jeta un regard à Siran pour le prier de les laisser seul mais Tahl'Ari le fit changer d'avis avec délicatesse.
« - Non je ne préfère pas mon Seingneur. Cela le concerne également. Cela concerne notre peuple dans sa totalité. Permettez lui de rester. »
Siran resta songeur et silencieux. Ils s'essayèrent tous les trois à une table à l'écart des chutes d'eau vertigineuses.

« -Nous écoutons. » Intervint le roi,
Shyrkëll inspira profondément et commença :
« - Gaia a été jadis secouée par des guerres entre les peuples. Nous même n'avons pu y échapper. Peu à peu le calme et revenu et une certaine sérénité s'est installé. Mais aujourd'hui cet équilibre semble menacé. A Foguetios se répand une rumeur. Un mal serait apparut et il tuerait toute vie sur son passage. Je crois qu'il a déjà fait des ravages à Telluris. On l'appelle le Fléau. Je ne sais à quoi il ressemble. Mais il détruit tout son son passage. »
Siran plissa les yeux. Tahl'Ari poursuivit.
« Ce matin plutôt, j'ai reçu la visite de Céleste. L'un des dragons est tombé sous l'emprise du Fléau. » Shyrkëll sourit.
« Darkos, un dragon noir de la race des volcans » me transmet Lir'Yaël. Son sourire s'effaça rapidement et il reprit avec sérieux.
« Je dois immédiatement repartir. J'ai promis à la dragonne de lui donner votre réponse Anàrion. Elle désire savoir si nous pourrions lier nos deux peuples et combattre le Fléau ensemble. Nous allier avec les autres races, je pense, ne serait pas un mauvaise chose non plus...»

Il se tut. Attendant une réponse. Siran était consterné et surpris mais Anàrion restait calme et impassible.
« - Syrkëll, je ne suis pas surpris en rélaité. Je m'attendait à ce que ta venue soirt en rapport avec cette afaire. Cet après-midi même, nous avons reçu un message à travers un palantir. Un village elfique a été attaqué à Telluris aujourd'hui même. Il ne reste que peu de survivants et ils se sont enfuis vers Foguetios. La population a été décimée et le village réduit en cendre. Et malheureusement il semble que se soit ce mal dont tu nous parles. J'ai vu à travers le palantir les ravages qu'il avait déjà causé à Telluris. Et la cruauté qu'il a fait subir à nos semblables. Les êtres qu'il touche et qui ne meurent pas, errent sans vie avec pour seul besoin, l'envie de tuer. C'est une chose affreuse ! J'ai vu de nombreuses chose affreuses que je ne souhaite pas vous décrire... » L'image de ce jeune elfe, se vidant de son sang, lui réapparut soudainement. Il pensait à lui, aux heures de souffrance qu'il devait endurer pour le bon plaisir de cette créature de l'ombre au service du Fléau. Il ferma les yeux l'espace d'instant pour chasser ces images.
« Ces images étaient vraiment horribles. Insoutenables. Elle m'ont hanté tout l'après-midi. C'est pourquoi avant même que tu ne me demandes une réponse, j'ai déjà envisagé la possibilité que nous entrions en guerre.
Mais maintenant que j'en sais plus sur ce mal et que Céleste te l'as demandé personnellement, je ne peux resté impassible. Nous sommes là, figé au coeur de cette cité pendant que nos frères sur Telluris subissent déjà les attaques destructrices du Fléau. Je ne peux fermer les yeux sur ces actes sans avoir ses images en tête. Et aucun n'être, d'aucune espèce ne doit subir ces horreurs.»
Il se leva. Sa chevelure noire de jais parsemés de fins cheveux argentés s'agita délicatement dans le vent et il plongea ses yeux bleu cobalt dans ceux de Tahl'Ari.
« Pars Shyrkëll. Saluts la dragonne de ma part et au nom de mon peuple. Dis lui que nous nous allierons avec les siens et qu'il en sera de même avec les autres peuples si eux même le désire. Nous avons créer ce mal, c'est à nous de le détruire. Siran, j'avais l'intention de t'en parler dés demain mais ta venue Shyrkëll m'a fait comprendre que le temps presse et qu'il est grand temps d'agir. »
Siran resta silencieux.
« Je vais faire une annonce. Le cacher à notre peuple serait une faute. Je dois leur dire l'horreur qu'il les attends si nous ne faisons rien pour l'empêcher. Je ne peux imaginer ce qui adviendra de la cité et de cette forêt si le Fléau arrivait jusqu'à notre royaume... »
« - Nous n'en somme pas encore là. » Intervint Shyrkëll en se levant à son tour et en posant une main sur son épaule.
« Je retourne auprès de Céleste et lui transmets votre décision Seigneur Anàrion. Ensuite je partirais à la recherche des survivants... »
« - Je vais préparer et organiser notre armée. Je vais également envoyé des messages dans les différents villages aux alentours et également à Aeomisu. Je l'espère, par mon sang, pouvoir rallier les hommes. » S'exclama Siran en se plaçant lui aussi au coté de son roi.
« - Hum. Merci Siran. Je sais que que je peux compter sur vous deux. Vous êtes des hommes de parole. » Puis il se trouna vers le maître d'arme :
« Fais attention à toi Shyrkëll. Le Fléau avance vite et les collines de Foguetios ne sont pas loin du village que le Fléau à détruit. » Murmura Anàrion. Le maître d'arme acquiesça. Puis tous les trois s'exclamèrent :
« - Eärendil lyr'sanpër Inrän dienor milirù Indî Nith'Aëriam »

Ils marchaient silencieusement. Shyrkëll lui, car il était peu enchanté de reprendre le voyage sur le dos de Lir'Yaël et Siran encore un peu déconcerté par ses révélations. Le jeune elfe désirait rester ici, auprès des siens. Il aurait voulu se réveiller et se dire que la visite de Céleste n'avait été qu'un mauvais rêve... Et que le Fléau n'avait jamais existé...

Finalement ils débouchèrent dans la clairière. Tahl'Ari appela télépathiquement son compagnon du ciel. Le jeune dragon couleur sang se posa délicatement.
« - Fais attention à toi Shyrkëll. Ne vas pas au devant du danger. » Le maître d'arme fixa son compagnon. Siran avait changé depuis lors dernière entrevue. Ses traits s'étaient un peu plus creusés et ses prunelles assombries. Sa barbe de trois jours lui donnait un air plus solennel. Toutefois il avait l'ouïe et la vue des elfes. Ces facultés innées de s'estompaient jamais au fils des âges. Sans parler de ses talents dans la maîtrise de l'eau et de l'air. Du sang elfique et humain coulaient dans ses veines. Et c'était ce qui lui donnait d'incroyables dispositions dans beaucoup de domaine ou nombreux aurait été les hommes complètement dépassés.
« - Ne t'en fais pas Siran je ferais attention. Je sais ce que le Fléau représente. »
Il s'étreignirent comme deux frères.
« - J'espère que nous nous reverrons un jour mon ami » Lui confessa Siran alors qu'il montait sur le dos de Lir'Yaël.
« - Nous nous reverrons sûrement et nous combattrons ensemble comme au temps jadis. »
« Fais attention à lui » Confia télépathiquement le semi-elfe en tapotant le cou du dragon
« Promis. » lui répondit ce dernier.
Puis il s'écarta et Lir'Yaël se propulsa dans les airs. Il déploya ses ailes une fois au dessus des arbres et monta en flèche en profitant d'un courant ascendant.

La nuit était claire. De là haut Ils pouvaient vois l'océan s'étendre à perte de vue. Une eau noire. Un monde profond mystérieux et remplit de créatures. Shyrkëll se demanda si ce monde était un lieu sûr face au Fléau. Si les créatures y étaient en sécurité. Lir'Yaël qui avait entendu sa pensée lui répondit que non. Les océans et les mers étaient des endroits tout aussi dangereux que le ciel ou la terre. Bon nombre des créatures qui vivaient dans les abysses étaient terrifiantes et d'un appétit monstrueux.
Tahl'Ari était sombre et renfermé. Il força un peu plus le vent et les courants d'air qu'à l'allée. Tellement même qu'à l'aube ils aperçurent enfin la terre ferme. Ils survolèrent la forêt de Foguetios et sur la même colline, où il l'avait quitté, aperçurent Céleste. Ses écailles dorées reflétaient les premiers rayons de soleil. Dans un virage, Lir'Yaël rabattit ses ailes contre son corps et se laissa tomber. Au dernier instant, juste avant qu'il ne s'écrase au sol, en une fraction de seconde il redéploya ses ailes et se posa. Créant une légère secousse sismique.
Shryrkëll descendit et s'inclina. Son compagnon l'imita. Le jeune dragon comme son maître étaient épuisés d'avoir parcuru une si longue distance en si peu de temps et tous deux étaient affâmés. Mais il mirent leur sentiments et leurs envie de côtés et se présentèrent dignement devant la dragonne.

« - Ô sage dragonne, gardienne de tous les dragons. Je viens vous apporter comme promis la réponse de mon peuple. Nous espérons ne pas avoir été trop long. Mon seigneur Anàrion et mon peuple vous salue. » Il se releva et poursuivit :
« Mon seigneur connaissait l'existence du Fléau mais votre message lui a fait comprendre que le temps presse. C'est pourquoi nous engageons notre armée et nos pouvoir dans cette lutte contre le mal. Nous acceptons de nous lier avec votre peuple ainsi qu'avec toutes les autres espèces qui le désireront. Nous répandons déjà la nouvelle sur Agrimada et par la suite Aeomisu. »

Ayathe était pelotonné contre sa louve lorsqu’une femme entra les yeux d’Ayathe mirent quelques temps à s’habituer a la pénombre qui régnait dans la salle , la femme qui se tenait devant elle avait tout d’une banal humaine, ses long cheveux brun ondulait légèrement de le vent la noirceur de ses cheveux contrastait avec la pâleur de son visage . Seul l’aura qui émanait d’elle trahissait sa véritable personnalité. Ayathe apaisa sa louve mentalement la femme qui disait s’appeler qui se tenait devant l’entrée de la maison n’avait pas l’air de leur vouloir du mal.

-Bonsoir je m’appel Ysia, démoniste au service du Fléau, veux tu t’allier a nous ? Que sais-tu faire ?

Au moins c’était direct sa réponse serrait surement décisif de toute manière elle ne voulait pas se mettre le fléau a dos autant joué la carte de la franchise et demandé une alliance.

-Bonsoir je me nomme Ayathe, j’excelle dans l’art de tuer je ne cherche pas vraiment une alliance mais plutôt un contrat, plus précisément vous me payer et je vous aide. Je sais tuer de toutes les manières possibles et inimaginables, je connais les points du corps qui font souffrir. Mon don me permet d’ordonner aux ombres répondit. Je voyage avec ma louve, Yaken, répondit Ayathe d’un ton calme et posé.

Un soupçon de surprise passa sur le visage d’Ysia mais s’effaça bien vite.

-Suis moi murmura la démoniste.

Ayathe obéit se levant d’un bond suivit de sa louve.

-Tu vois l’elfe la bas, celui qui se cache a l’orée du bois, exécute le, montre moi se que tu sais faire, susurra Ysia.

Ayathe s’élança en direction du sous bois proche elle jouait avec les ombres se camouflant dans celles-ci afin de paraitre invisible à l’elfe. Désormais toute proches de l’elfe elle pouvait sentir sa peur .

-Venez a moi lames d’ombres murmura t’elle.

A ces paroles l’ombre d’Ayathe s’envola et pris la forme d’une dizaine de longues qui voletait autour d’elle. Les lames virevoltaient exaltaient la magie des ombres.

-Maintenant tuez le ordonna t’elle dans un souffle.

Les lames qui auparavant voletaient s’arrêtèrent furent pris d’un spasme, vrombirent et se projetèrent vers l’elfe qui eu juste le temps de se retourner pour apercevoir celle qui mettait un terme a sa vie.
A peine l’elfe avait t’il touché le sol il se relevait et se dirigeait d’un pas lent et maladroits vers la foret a la recherche de la vie qu’il haïssait tant désormais. L’horreur était lisible dans les yeux d’Ayathe lorsqu’elle revint vers la démone.

-J’ai fait ce que tu m’as demandé assenas Ayathe.

-Bien, bien attendons l’appelle du Fléau maintenant, répondit l'a démone d'un ton calme.

Ayathe zigzaguait entre les pins de jade, Yaken à ses cotés elles filaient en direction de la capitale elfique ; le Fléau les avait téléporté sur le continent elfique afin qu’elles puissent accomplir leurs mission ; en chemin Ayathe ressassait son entretient avec le fléau, il savait surement déjà son véritable but. Toujours est-il qu’il lui avait confié sa première mission elle devait assassiner le souverain des elfes fin que ceux-ci prennent peur et se retirent du conflit ils seront donc plus facile à éliminer. Tout les soirs le bivouac installé Ayathe s’entrainait a la métamorphose si bien qu’elle put bientôt prendre l’apparence qu’elle voulait et par métamorphose elle pouvait faire apparaitre des objet qui n’était pas réels juste visible .Les journées qui défilaient se ressemblait toutes, si bien que lorsqu’elle arrivas enfin aux portes de la titanesque capital elfique elle eut l’impression qu’un mois c’était écoulé alors qu’elle avait mis seulement une semaine pour traverser la foret qui menait à la capital elfe Ad’jendir. Les portes couleurs ivoires et les petites fleures pourpre et orangées émerveillait Ayathe, les papillons aux couleurs ocres qui butinait autour de la porte lui donnait l’impression que la porte bougeait. L’émerveillement de la porte laisser derrière Ayathe partit en quête d’une bijouterie qu’elle trouva non loin du palais. Grace à l’argent de ses précédents contrats elle acheta quelques bijoux afin que son déguisement soit parfait, en effet elle comptait se faire passer pour une émissaire du peuple Lamia en quête d’une alliance pour pouvoir s’approcher du roi et ainsi le tuer plus simplement. Ses achats terminées elles partie en direction du château. Les bijoux qu’elle portait désormais faisaient émaner de sa personne une présence royale digne des plus grands seigneurs.
Ayathe héla un jeune servant qui passait devant elle.

-Jeune homme pouvait vous m’indiquer le chemin de la salle du trône je requiers l’attention du roi pour une requête pressante elle n’avait pas haussé le ton mais il était claire qu’elle donnait un ordre plutôt qu’elle demandait un service.

-Bien Madame suivez moi je vous prie.

Ayathe suivait le petit page qui l’emmenait plus près de sa cible. Ils empruntèrent nombre de couloires et de bifurcations montèrent une volée de marche. Ayathe s’arrêtât sous le choc la bautée de la salle la laissait pantoise les colonnes ivoires qui montaient au plafond entourées de lierres bleu paraissaient disparaitre dans l’immensité du palais. Le dallage de marbre d’un blanc immaculée renflaitait la lumière qui traversait les vitraux qui transcrivaient un compte d’autrefois.
Les paroles qui retentirent mirent fin a la rêverie de la jeune femme.

-Annoncez vous, qui êtes vous que voulez vous ? clama le garde en armure marron.

-Je me nomme Silfiane princesse Lamia, et le roi seul est autorise à entendre ma requête répondit Ayathe.

Le garde déglutit et la laisse passer. Elle s’avança en direction du trone, une femme vint a sa rencontre

-Reine Silfiane je vous prie d’attendre quelques instants le roi se prépare pour votre visite, désirez vous quelques mets, ou boissons ? interrogea la femme.

-Non, je n’ai besoin de rien. Répondit Ayathe d’un ton hautain.
Ayathe jouait avec les émeraudes de son bracelet lorsque le roi entra dans la salle et l'invitait à le rejoindre.

Messages : 418 Date d'inscription : 20/02/2010 Age : 30 Localisation : Laval

Squorphy

Les Seatlones étaient paniquées, perdues dans le brouillard de l’océan, elles ne savaient plus quelle direction prendre pour atteindre Glysbes. Chacune lança des messages télépathiques aux autres espèces marines espérant qu’une d’entre elle puisse les aider. Cependant, aucune réponse ne se fit entendre, la plus part craignait de répondre et faire face au Fléau, d’autres avait simplement fuis la température au fond de l’océan. Squorphy et Miscash essayait de retrouver le bon chemin, tandis que Floppie soignait les blessures qu’a eue Ludux lors du dernier combat.
- C’est par la j’en suis sur, s’exclama Miscash, tannée de rester au milieu de l’océan.
- T’en es sur ? demanda Squorphy qui ne savait pas que Miscash avait pointé une direction au hasard.
- Parfaitement et au pire des cas, nous ne perdons rien à essayer.
- Sauf si nous allons dans le sens contraire, attendons que Ludux soit rétablis par contre.

Pendant que Floppie soignait les blessures de sa camarade, Miscash et Squorphy aperçurent une grosse masse rouge très floue dans les airs, on aurait dit un dragon qui vole à toute vitesse.
- Serait-ce le même qu’on a vu tantôt, mais qui vole cette fois dans la direction contraire au moment où nous l’avons aperçu pour la première fois ? demanda Miscash.
- C’est fort probable, cependant, si la première fois il se dirigeait dans le même sens que nous, et que maintenant, il fait le chemin inverse, nous devrions donc partir dans cette direction ? répliqua Squorphy
- Je ne suis pas sur de te suivre, répondit Miscash déconcerté.
- J’ai fini ! s’exclama Floppie.
L’équipe se fia a la théorie de Squorphy et partirent dans la direction contraire au dragon rouges. La route, bien qu’inexistante était très calme, les orages ont cessé, la pluie c’est calmée, mais le brouillard continu à persisté. Tous nagèrent en silence et d’un pas calme, les Seatlones sont détruites moralement et exténuer de se voyage. Elles ont l’habitude de rester sous la mer, elles font qu’aider les espèces aquatiques lorsqu’elles recherchent de l’aide, elle sorte de la mer aspiré du CO2, mais sinon elles sont toujours au calme, relaxant dans le fond de la mer et profiter de leur vie. Cependant, depuis l’arriver du Fléau leur mode de vie a complètement changer, elles ne peuvent plus relaxer, elles craignent chaque secondes pour leur vie, pleins de gens ont des difficultés et ont besoin d’aide, elles doivent courir d’un bout a l’autre de Gaïa pour trouver un remède contre le Fléau et se sortir de cette enfer. Leur espèce aquatique doit être en train de mourir par le simple fait que leur vie à changer et que la plupart ne doivent pas être capable de suivre se nouveau rythme de vie.
Un peu plus loin sur leur chemin, le brouillard commença à s'effacer petit peu par petit peu et virent qu'elles sont parti à 20° de trop vers la gauche se qui est une très bonne nouvelle pour les Seatlones. Elles s'enlignèrent la tour de Glysbes quand soudain, descendu droit d'un nuage, les Seatlones virent plein de petit point noir foncer droit sur la tour, au même instant, les vagues commencèrent a monter et des jet d'eau j'jaillissait de l'ile pour séparer les envahisseurs. Ceux-ci dégainaient leurs arcs et lancèrent des flèches enflammées. Les Seatlones sans même réfléchir nagèrent a toutes vitesse dans l'océan, elles utilisaient leur magie pour créer des courants et ainsi accéléré leur déplacement. Les points noirs grossissaient et prenait des formes inhumaines, ont aurait dit des fées géantes, elles étaient noirs, avait de longues ailes fines et une aura noir se faisait voir autour d'eux. Les monstres attaquait tous en même temps, seulement ils avaient beau être plus nombreux, leurs flèches ne peuvent pas traverser les murs d'eau que les Seatlones crée, du moins, leurs vitesses est beaucoup diminuer et le feu s'éteint. Les créatures aquatiques étaient en bonne posture, sur leur territoire, ses monstres à eux seul ne pouvaient pas les envahir, la moitié des Seatlones défendait, tandis que l'autre moitié attaquait en déformant le mur pour créer des pics qui transperce le corps de leurs adversaires. Les Zorgyrs décidèrent cependant de ranger leur flèches et se posèrent au sol, d'un mouvement tout les créatures prirent deux fois plus de volume, pendant se temps, le Seatlones préparèrent leur attaque. Tout comme les créatures maléfiques, les sirènes ailées firent en même temps un pas en avant puis, dans un temps record, la glace prit aussi du volume, allant jusqu'au genou des envahisseurs. Les Seatlones se reconcentrèrent pour monter la glace encore plus haut, mais les Zorgyrs furent plus rapide et reprirent leur forme de départ se qui leur laissa assez de place pour sortir du pièges qu'on leurs avaient réservé. Les attaquants regardèrent les Seatlones.

- Le fléau en a pas fini avec vous, vous verrez, d'ici quelques heures, vous serez pulvériser.

Les Zorgyrs s'enfuirent rapidement des Seatlones, qui eux, essayaient de faire quelques prisonniers.

Squorphy sorti de l'eau pour rejoindre sa cité qui a su résister à l'assaut du Fléau, cependant, se n'était pas le moment de fêter. Pour la première fois depuis la fin du temps des guerres entre chaque peuplade, les Seatlones étaient tous réunies à Glysbes. Sans même voter ou discuter de la situation, tous savaient qu'elle était la première chose à faire en se moment même. 20 Seatlones allèrent sur le sommet de la tour, s'installèrent en rond, serrèrent leur mains ensemble en croisant les doigts et se concentrèrent bien fort. Puis 30 Seatlones se positionnèrent de la même manière mais dans un rayon de 2 mètre plus grand avec le même centre. Les sirènes les plus près du centre crée une tempête de grêle très forte qui s'abat sur Glysbes et ses alentours tandis que le deuxième groupe a pour but de créer une barrière de glace aussi solide que le graphène protégeant les 2 groupes au sommet de la tour. Une fois cette étape complété, Les Seatlones s'allièrent à de nombreuse espèce marine, les requins, les serpents de mer, les Octraids et pleins d'autres. Ceux-ci acceptaient de se poster autour du champ de tempête de grêle à la simple condition que les Seatlones prennent soins des enfants de ses espèces à l'intérieur de Glysbes. Ensuite, les Seatlones érigèrent une muraille de glace de 5 mètres de haut et des gardes se posèrent sur celle-ci. Toutes les issues étaient bloquer, excepté la voie des airs qui étaient par contre parsemer de grêlons déstabilisant quiconque voulant la traversé.

Environ 50% des Seatlones étaient inquiètent, les autres 50% les rassurèrent, tous confiante, après tout, comme la plupart d'entre elles le disent, si quelqu'un veux les envahir, ils doivent traverser à la nage l'océan, combattre les animaux marins qui nous défende, nager 5 mètre dans la tempete de grêle, détruire notre muraille puis nous vaincre.

Messages : 62 Date d'inscription : 21/09/2010

Inspiration-expiration.
Ilena

Le silence qui m’entourait était dense. Je réfléchissais à ma vie. Tout le monde m’avait lâché. Mon peuple, ma famille, mon monde entier… Seul m’étais resté mes amis. Qui étaient devenus ma véritable famille. Nous étions tous égaux. Puis… le noir. Le pire moment de mon existence. Je ne souhaiterais à personne de vivre cela. Même pas à mon pire ennemi. D’ailleurs, à chaque fois que j’y pense, une boule se forme dans mon ventre et un gémissement me monte aux lèvre.
Inspiration-expiration
Mon calme m’avait quitté. La panique me gagna. Noir total. Puis rouge… rouge sang. Je m’efforçais de rentrer plus en moi-même. Depuis quelques temps des douleurs atroces me traversaient au niveau de l’estomac. J’étais sûre qu’elles avaient quelques chose à voir avec mon… mon… mon Séjour, comme je l’appelais.
Inspiration expiration.
Mes pensées retournèrent au fil de ma vie. J’en étais au… Séjour. Puis il y’avait eu le Retour. Pour moi, c’est comme si j’avais ressuscité. LA vie aurait pu continuer normalement, si je n’avais pas appris que…
Inspiration-expiration.
Elle aurait pu continuer normalement mais j’avais pris une décision. Une décision concernant l’être qui m’étais le plus cher. Mon trésor. Dans mon esprit un visage se dessina. Une peau matte. Des yeux intelligent mais surtout malicieux. Un petit nez et des joues roses. Le tout entouré de belle boucle noir et soyeuse. J’avais tout abandonné pour lui. Mais sa en avait valu la peine. Car pour son fils, une mère donnerait tout. Et je donnerais encore plus à…
-ELIAAAAAAAAAAAM !!!
Au plus profond de moi j’avais senti ce quelques chose que seule une mère peut sentir. Toute quiétude m’avait quitté. Je devais le trouver, le protéger.

Eliam

Je me promenais dans une forêt. Mais dans mon jeu s’était un peuple de géant. Je possédais l’arme qui les tuais tous. C’est pour sa qu’ils m’avaient trouvé. Ils voulaient se venger. Je m’approchais d’un arbre/géant et le frappais de toutes mes forces. Mon épée lui trancha la tête et… mon bâton se brisa. Les larmes me montaient aux yeux. Ils m’avaient eu… Pour me punir ils allaient me chatouiller pendant 10 min. ou peut-être même qu’ils me feraient manger de la soupe à la courge… D’ailleurs en voilà un qui commençait à me chatouiller. Je me retournais. C’était le chef de tous. Un grand sapin majestueux. J’allais me mettre à lui dire qu’il n’avait aucune chance contre moi, lorsque je la vit. C’était une tache noire qui grossissait. Je plissais les yeux pour voir si ‘était un nuage de moustique. Ou un nuage de mouche ? Il y’eu un coup de vent et une branche m’effleura le dos. Je n’avais même pas envie de dire au géant de me laisser tranquille 1minute. En réalité, j’avais déjà oublié mon jeu. Car ce truc noir paraissait intéressant. Talonnant mon fidèle destrier Apache je m’élançais. Au dernier instant je me souvins que je n’avais plus d’épée. J’en ramassais une nouvelle. Et puis… BANZAIII !!! JE ne savais pas que je me jetais dans la gueule du loup et que cette décision serait peut-être la dernière.

Anàrion :

Anàrion entra, il observa un moment son invité avec une certaine réserve et une certaine surprise.
Le cliquetis des émeraudes de son bracelet lui laissait à penser qu'elle se sentait nerveuse...
Sans plus s'attarder à cette première impression, poliment il l'invita à venir s'asseoir.
Ils prirent place face à face, autour d'une petite table rectangulaire, en bois de pin, d'un blanc immaculé. De jeunes femmes aux traits angéliques et à la grâce divine, finement vêtues, apportèrent quelques mets sucrés et une douce boisson rafraîchissante.
Le roi les congédia en les remerciant.

Anàrion fixa ensuite son invité avec sérieux et attention :
« - Et bien que me vaut la visite d'une si jolie représentante du peuple Lamia ? Vu les temps qui courent, j'en crois deviner la cause mais je vous écoute Princesse. »
« - Et bien, je ne peux véritablement vous le dire à voix haute, ici. » Elle jeta un regard en biais à Siran. Le roi le regarda à son tour.
« - Siran, est le premier garde de la citadelle, C'est à dire qu'il a en charge toute l'armée et la sécurité de la ville. Ce son de lourdes responsabilité pour un seul homme. Mais je peux vous certifier que c'est une personne de confiance sur qui l'on peut tout à fait compter »
« - Et bien, vous avez peut être confiance en lui mais ce que j'ai à vous annoncer, ne peut être entendu par tout le monde même si cet homme semble très respectable. Et je ne remets point en doute votre jugement à son égard. »

Siran soupira
« - Je vous laisse mon Seigneur, si vous avez besoin de moi je serais juste de l'autre côté.
Madame, j'ai été ravi de vous rencontrer ! »
Il s'inclina, partit et prit soin de refermer les portes de la salle derrière lui,
"Ah les femmes !" Pensa t-il. "J'espère que toute les princesses si jolies soient-elles ne sont pas aussi compliquées !"

Le silence retomba. Anàrion regardait la princesse, intrigué par toutes les précautions qu'elle désirait prendre juste pour cette entrevue.
De quoi avait-elle peur ? Elle se trouvait dans la cité elfique ! La plus importante et la mieux gardée. Le roi se sentit un peu vexé mais n'en fit part. Il finit par rompre le silence, un peu pressé tout de même. Il n'avait pas toute la journée...

« -Bien maintenant que nous sommes seuls, que vous amène t-il dans mon royaume ? »

Ayathe sous l'apparence de Silfiane se leva subitement et se rapprocha du roi. L'elfe fut surpris et ne le cacha pas. Mais il ne bougea pas pour autant, Ses yeux bleu et pétillants la fixaient avec attention. Silfiane se pencha à son oreille :
« - Et je dois vous avouer, cela à un rapport avec le Fléau. Mais je suppose que c'est de cela que vous soupçonniez. » lui murmura t-elle avec audace.

Anàrion s'apprêta à répondre lorsqu'il sentit quelque chose de froid entrer dans son corps. Transpercer son cœur. Il tomba à terre sous le choc et la douleur. Ayathe retira sa dague d'un geste sec. Anàrion plaqua sa main alors contre sa blessure. L'hémorragie était sérieuse. Le sang s'écoulait abondamment de la plaie. Le roi tenta de parler, d'appeler ses gardes mais aucun son ne sortit de sa bouche. Il hoqueta et eut un soubresaut. Une bulle de sang éclata sur ses lèvres. Il regardait Ayathe, suppliant, horrifié. Il perçut chez elle, une lueur malicieuse, maléfique. Elle était froide cruelle...

Le roi des elfes se mourrait. Allongé sur le dos, baignant dans son sang, incapable de parler ni même de bouger, il sentait ses forces le quitter, son immortalité l'abandonner...

» Le règlement pour le Fléau
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