TELLURIS

[en provenance de Glysbes]

Squorphy


Nageant dans la plus grande mer de Gaïa, l'équipe de Squorphy se dirigeait vers Telluris. Un grand lien d'amitié c’était formé entre elle et la guerrière Floppie.

- Alors, demanda Floppie, qu'est-ce qui t'a motivé à détruire le Fléau?

- En fait, rien ne m'a vraiment motivé, mais je crois que je peux m'être très utile avec mes pouvoirs de guérisons. Beaucoup d'être souffre en se moment même et je trouve se sort affreux. J'espère fort aider à arrêter tout ceci.

- Moi, j'ai perdu mon mari, un guerrier de l'espèce Octraid. Je compte bien me venger, au péril de ma vie.

- Je suis désolé pour toi Floppie, sache que je serai derrière toi pour te protéger.

- Merci mais, si j'ai dit au péril de ma vie c'était seulement pour bien me positionner dans l'action. Je suis bien trop forte et intelligente pour se Fléau immonde.

- Ne sois pas si sûr de toi, le Fléau gagne beaucoup de pouvoirs et beaucoup d'adeptes.

- Il faut donc agir très vite.

L'océan dans lequel elles nageaient, se transforma bien vite en golfe. Le golfe Tousu avait le plus grand récif de corail de tout Gaïa. L'équipe se faufila à travers se récif et une fois sur la rive, Miscash s'envola afin de scruter l'horizon. Outre quelque écureuil et quelque chauve-souris, aucun danger ne fut aperçu. Elles sortirent alors de l'eau, leurs ailes sont tellement minces qu'elles n'ont même pas besoin de les sécher pour prendre leur envol. Elles volèrent à une altitude d'un homme qui marche afin d'être le plus près du sol et ainsi, plus dur à repérer. Une grande muraille se dressa tout juste devant l'équipe. Soudain, un feu s'alluma sur une des tours. Puis, une flèche arriva tout juste devant les pieds de Floppie. Elle prit la flèche dans ses mains voyant un message accroché à cette même flèche.

" Qui êtes vous et que voulez-vous ? "

Floppie prit la plume attaché à la flèche et répondit au message.

" Nous sommes des Seatlones, en quête d'un peuple utilisant l'élément de l'air afin de multiplier nos pouvoirs et ainsi détruire le Fléau. Nous ne cherchons pas à entrer en vos lieux chers Orques, nous allons les contourner."

Manipulant l'eau, Squorphy retourna la flèche en direction de son expéditeur. Elles marchèrent le long du mur et le garde, un peu méfiant les suivait du regard. Après se détour non calculé, elles arrivèrent dans un petit village d'hommes. Certains avaient peur à leur vu d'autre étaient émerveillés. Ceux qui étaient fasciné, se rapprochaient des Seatlones et celles-ci, en profitaient pour leur poser des questions.

- Bonjour hommes de Gaïa, nous Seatlones recherchons une espèce manipulant l'élément de l'air afin de multiplier nos pouvoirs et ainsi détruire le Fléau. Savez-vous où nous pouvons commencer nos recherches?

- Ma mère, ma mère est une voyante, vous, je vais lui demander si elle peut vous recevoir, s'exclama un petit garçon dans la foule.

- Merci à toi, répondit Squorphy.

L'enfant aux cheveux roux gambada jusqu'à une taverne. Les Seatlones le suivirent sous le regard pesant des habitants. Le petit garçon ferma la porte, puis, quelques minutes plus tard elle se rouvrit. Une jeune femme en sorti, se pencha pour saluer ses invités et leur indiqua d'un signe gracieux de la main d'entrer. Six chaises étaient positionnées autour de la table, la femme s'asseoit d'abord, puis les Seatlones firent de même. Au milieu de la table se trouvait une petite baignoire, rempli d'eau. La femme posa ses mains pour frôler l'eau et commença le rituel.

- Seatlones, qui est venu me voir afin de recueillir des informations capitales qui changeront le destin de Gaïa. Qu'elle est la question que vous voulez me poser?

- Où pouvons-nous trouver une espèce manipulant l'élément de l'air et qui accepterais bien de nous aider dans cette guère contre le Fléau?

L'eau commença à s'agiter comme si elle bouillait, mais elle était toujours aussi froide que de la glace. Chacune ont reçu de l'eau au visage causé par les éclaboussures, puis, plus rien. L'eau c'était calmé d'un coup sec, au moment où Estelle rouvrit les yeux.

- Je ne suis pas sûr de se que j'ai vu mais, je crois que vous devriez aller dans la forêt de Foguetios. Quelqu'un vous y attend.

- Merci beaucoup madame, nous et tous le monde entier sommes très reconnaissant envers vous.

Les Seatlones se levèrent puis s'envolèrent vers le golfe Tousu pour y passer la nuit, en remerciant une dernière fois la jeune femme.

[départ vers Foguetios]

Ayathe


La lune était déjà haute dans le ciel lorsqu'elle se réveilla. La pâle lumière éclairait les quatre mures délavés qui constituait sa chambre.
Ayathe se levas et se dirigeas vers la porte.
-Mince pensa t'elle, C'est vrai lorsque je dort la métamorphose n'est plus active.
Elle se concentra quelques instants et la magie opéra, à la place de sa queue olive zébrée de noire se trouvait désormais deux jambes.
Arrivée dans la salle principale de l'auberge occupée seulement par quelques voyageurs nocturne ou autre ivrogne perdu dans les vapeurs de l'alcool. Son court repas avalé en vitesse Ayathe se préparait à son exercice matinal habituel l'ouverture des cinq sens.
Elle coupa tout ses sens et les ouvras un par un:
-L'odorat: Elle sentait une vague odeur de sang mêlée a de la sueur sans doute du a une bataille dans la taverne, une odeur de ragout qui cuisait doucement dans la cuisine, l'odeur de la bière et enfin sa propre odeur ainsi que celle de sa louve.
-Le toucher: Elle sentait sur sa peau le cuir de ses vêtements ainsi que l'acier froid du poignard a sa cheville. Le bois pourrit et graisseux que constituait la table.
-Le gout: Restait sur sa langue le gout de la pomme dernièrement avalée.
-La vue: Elle voyait deux ivrogne assoupi en face d'elle ainsi qu'un voyageur solitaire attablé dans le fonde de la pièce près du feu, lui aussi sans doute assoupi. A sa droite deux personnes conversait.
-L'ouïe: Bruit de cuissons, ronflement, grincement de parquet mais plus intéressant elle épia une conversation.
-'... Non impossible'
-'Si, le fléau est passé a l'acte c'est un village elfe qui en as fait les frais tout le monde a peur et il n'est plus sure de voyager'
Intéressant se dit elle avec se fléau les contrats vont surement augmenter se sera l'occasion de monter mes prix.
Ayathe se levas et remonta dans sa chambre. Elle revêtit sa cape de voyage et la louve qui jusqu'à la somnolait se réveilla.
- Allez en route on va finir se contrat chuchota t'elle.
Sur ces mots elle sortit sans un bruit de l'auberge et se dirigea vers le châteaux voisins d'un pas assuré. Sa cible était un petit duc de pacotille dont les impôts devenait trop lourd a payer et dont la place montait lui montait a la tête. La porte du château était en vue.
-'Première étape les gardes' pensa t'elle.
La porte du château était gardée par deux gardes. Elle s'occuperait du premier tandis que Yaken éliminerait le second .Une aiguilles soigneusement enduite de curare mit fin a la vie du premier garde tandis que Yaken égorgeais le second. La jeune femme s’arrêtât l’aura de magie qui sortait de son corps croissait d’instants en instants .L’ombre de la jeune fille s’étendit puis l’instant d’après redevint normal. Les deux gardes se relevèrent et reprirent leurs place comme si de rien était a la seul différence qu’ils étaient mort l’ombre d’Ayathe les contrôlait comme des pantins. Richement décorée la grande salle du château laissait deviner ou passait les impôts. La chambre du Duc fut facile a trouver. Devant la porte Ayathe fut parcourut par un frisson, un mauvais pressentiments ?Non elle avait tout préparée méticuleusement La porte verrouillée n’était pas un problème son ombre s’étiras et glissas sous la porte rampa sur celle –ci et déverrouilla la porte.
Ayathe entra et sans faire de bruit se dirigeas vers le lit au fond de la pièce . A peine effleura t’elle le lit elle comprit l’erreur qu’elle avait fait elle n’avait pas vérifié si la pièce était vide elle n’eu pas le temps de méditer plus les quatre homme qui l’attendait était sur elle. Elle n’eu le temps que de dégainer son sabre l’homme a sa droite lui assenas un coup a la cuisse l’acier mordit sa chair et le sang gicla. Yaken bondit sur l’homme et luta dans un corps a corps endiablé. Blessée et sa magie quasiment a plats ils n’avaient aucune chance il fallait fuir.
-Il faut fuir cria t’elle mentalement a sa louve.
Yaken répondit d’un grognement, Avec la magie qui lui restait, elle envoya les ombre dans les yeux de ces ennemis Elle sauta par la fenêtre Yaken a sa suite. Afin qu’ils ne les suivent pas elle avait pensé a crée un clone d’elle et de sa louve. Sa blessure la lançait mais elle devait fuir a tout prix. Tout en courant elle réfléchissait. Qui les avait trahis ? La forêt en vue enfin, elle monta sur Ume sa jument noir et blanche. Fuir il fallait fuir a tout prix qu’on l’ai piégée si facilement l’inquiétait beaucoup. Le jour se levait et elle dénicha une grotte elle pensa sa blessure et se lovas prés de Yaken pour s’endormir .

Pour toi itaque, j'ai joué Ysia avec l'autorisation de Mary. C'est très court, je n'avais pas trop d'idée à part le fait que vos deux personnages étant du même camps peuvent s'allier pour la mission du fléau. Tu peux faire jouer Ysia vu que Mary m'a confié qu'elle l'abandonnait.

Ysia écouta attentivement le fléau.

-Bonsoir démoniste. Les créatures les plus dangereuses pour nous sont les elfes et les dragons, s’ils allient leurs puissances, ils risquent de mettre nos plans à l’eau. Plutôt que de les tuer nous même, je te propose de les monter les uns contre les autres pour qu’ils puissent s’entretuer. Je te laisse le soin de t’en charger.

Un sourire cruel vient s’afficher sur les levres de la démone.
Elle aquiesa d’un signe de tête. L’ange de la mort partit aussi vite qu’il était venu, les guerriers morts vivants s’éparpillèrent.
Resté seule, la créature des ombres déambula prêt du village détruit, se délectant de l’odeur de la mort.
C’est beaucoup plus tard, qu’elle sentit la présence d’une créature mi reptilienne. Dans une des maisons détruites elle se terrait avec un loup à en juger l’odeur.
Elle entra et vit la lamia accompagnée d’un loup blanc. D’un seul regard, les créatures comprirent qu’elles étaient du même clan, mutuellement elles reconnurent leurs auras ténébreuse.

-Bonsoir, je m’appelle Ysia, je suis démoniste au service du fléau, Veux tu t’allier à nous ? Que sais tu faire ?

Ayathe

Ayathe était pelotonné contre sa louve lorsqu’une femme entra les yeux d’Ayathe mirent quelques temps à s’habituer a la pénombre qui régnait dans la salle , la femme qui se tenait devant elle avait tout d’une banal humaine, ses long cheveux brun ondulait légèrement de le vent la noirceur de ses cheveux contrastait avec la pâleur de son visage . Seul l’aura qui émanait d’elle trahissait sa véritable personnalité. Ayathe apaisa sa louve mentalement la femme qui disait s’appeler qui se tenait devant l’entrée de la maison n’avait pas l’air de leur vouloir du mal.

-Bonsoir je m’appel Ysia, démoniste au service du Fléau, veux tu t’allier a nous ? Que sais-tu faire ?

Au moins c’était direct sa réponse serrait surement décisif de toute manière elle ne voulait pas se mettre le fléau a dos autant joué la carte de la franchise et demandé une alliance.

-Bonsoir je me nomme Ayathe, j’excelle dans l’art de tuer je ne cherche pas vraiment une alliance mais plutôt un contrat, plus précisément vous me payer et je vous aide. Je sais tuer de toutes les manières possibles et inimaginables, je connais les points du corps qui font souffrir. Mon don me permet d’ordonner aux ombres répondit. Je voyage avec ma louve, Yaken, répondit Ayathe d’un ton calme et posé.

Un soupçon de surprise passa sur le visage d’Ysia mais s’effaça bien vite.

-Suis moi murmura la démoniste.

Ayathe obéit se levant d’un bond suivit de sa louve.

-Tu vois l’elfe la bas, celui qui se cache a l’orée du bois, exécute le, montre moi se que tu sais faire, susurra Ysia.

Ayathe s’élança en direction du sous bois proche elle jouait avec les ombres se camouflant dans celles-ci afin de paraitre invisible à l’elfe. Désormais toute proches de l’elfe elle pouvait sentir sa peur .

-Venez a moi lames d’ombres murmura t’elle.

A ces paroles l’ombre d’Ayathe s’envola et pris la forme d’une dizaine de longues qui voletait autour d’elle. Les lames virevoltaient exaltaient la magie des ombres.

-Maintenant tuez le ordonna t’elle dans un souffle.

Les lames qui auparavant voletaient s’arrêtèrent furent pris d’un spasme, vrombirent et se projetèrent vers l’elfe qui eu juste le temps de se retourner pour apercevoir celle qui mettait un terme a sa vie.
A peine l’elfe avait t’il touché le sol il se relevait et se dirigeait d’un pas lent et maladroits vers la foret a la recherche de la vie qu’il haïssait tant désormais. L’horreur était lisible dans les yeux d’Ayathe lorsqu’elle revint vers la démone.

-J’ai fait ce que tu m’as demandé assenas Ayathe.

-Bien, bien attendons l’appelle du Fléau maintenant, répondit l'a démone d'un ton calme.

Edit: Le fléau se présente à Elle et l'envoie assassiner le roi des Elfes à Agrimada

[départ d'Ayate à Agrimada]

Kisumi:

Kisumi était encore engoissée même si la force ne se rapprochait plus depuis quelque temps, elle avait l'air d'abandonner la poursuite, mais Kisumi s'avait que quoi qu'elle soit elle n'abandonnait pas elle se retirait, et Kisumi comprit qu'elle allait tout simplement plus au Nord. Pour l'instant elle était en sécuritée. Bien sur pour l'instant...

En fin de journée, elle ne la sentit plus du tout et Kisumi put enfin respirer, son coeur se réchauffa enfin et elle sentit enfin la nature autour d'elle se reveiller. Elle s'enfonça dans les bois tout son matériel, nourriture sur son dos, Fernasen s'en était aller. Il lui arrivait c'est vrai quelque fois de "s'en aller". Kisumi ne savait pas où mais ne tenait pas vraiment à la savoir. elle marchait donc tous ses sens en alerte. Elle ne fesait plus confiance aux sangliers... Soudain elle entendit un cri loingtain, un cri d'enfant, Kisumi fonça.




Le cri s'arrêta mais kisumi contunuait dans la même direction, le cri repri et Kisumi changea de direction et couru encore plus vite regrettant déjà Fernasen. Le cri se rapprochait, puis il fut tout près, Kisumi s'arrêta et scruta les environs, ce qu'elle vit la terrifia. Un enfant, un petit enfant était emprisonner par la force, le maléfice qui fesait trembler Kisumi. L'enfant se débattait mais la chose la tennait et Kisumi se sentit impuissante. Soudain une femme jaillit des fourrer Kisumi retourna dans sa cachette et observa. La jeune femme regardait son enfant les yeux grand ouvert épouvantée elle ne dit pas un mot, mais une cruelle résignation se peignit sur son visage et soudain elle ne sut plus qui lui fesait le plus peur le néant, le brouillard mortel ou cette maman prête a tuer pour son enfant? Puis une détonation et un vent puissant qui n'avait rien de naturel balaya les deux visages. Quand elle put enfin rouvrir les yeux le néant avait disparu, seul restait la jeune femme qui pleurait toutes les larmes de son corps... Kisumi sortit des buissons elle regarda longtemps la femme pleurer. Quand finalement elle s'arrêta Kisumi dit:

-Ca va aller? Je taiderais a reprendre ton enfant des griffes de cette... cette chose et...

Mais Kisumi ne savait pas quoi dire à une femme qui venait de perdre son enfant. A 16 ans, on ne savait pas grand chose de l'instinc et l'amour maternelle...

Kisumi:

Ilena et Kisumi avait décidées sans même se consulter de continuer ensemble. Kisumi voyait en Ilena une sorte de grand soeur qu'elle n'avait jamais eu, il y avait aussi une sorte de rivalité qui existait entre elles. Kisumi sentait le besoin de se mesurer a Ilena comme pour lui prouver quelque chose.


Kisumi était dans la forêt elle courrait. Non pas seule mais accompagnée. Ilena, elle avait accepter de la suivre pour sauver son enfant. Kisumi ne supportait pas de les savoir séparer... Mais ce n'était pas vraiment sa raison principal, ce jeune garçon qu'elle n'avait pas apperçut plus de quelque seconde, l'avait fait l'effet d'un coup de poing. En lui Kisumi voyait Gabriel son ange qui vivait en elle. En un sens elle comprenait Ilena. Elle mourrait si elle perdait Gabriel mais en même temps c'etait différent Kisumi avait besoin de lui alors que c'était Eliam qui avait besoin de Ilena. Son ange avait aussi plus de mille ans alors qu'il avait l'apparence d'Eliam. Kisumi sentait aussi le besoin de se sentir utile et dans sa quête à la recherche d'Eliam elle se voyait jouer un bon rôle. Kisumi espérait aussi en secret apercevoir des dragons et pouvoir les observer. En pensant aux dradons, elle se touran vers le ciel et soudain elle entendit un bruit de galop. Kisumi sourit Fernasen était de retour Kisumi se détendit enfin.

Kisumi était sur Fernasen heureuse de sentir son amie sous ses fesses, rassurante. Puis soudain Ilena tallonna son cheval et il partit au galop. Kisumi compris et tallonna à son tour Fernasen. La course commença.

[Fernasen]

Kisumi sentait l'air sur son visage, elle ferma les yeux pour profiter le galop régulier de Fernasen. Avant, arrière, avant, arrière,... Galop, vent, galop, vent,...

-Que du bonnheur.

Elle ralentissait sa course pour en venir au petit galop. Ilena fit de même. Kisumi réfléchissait, elle sentait Gabriel. Elle tenta de lui parler mais n'y arriva pas totalement elle ne compris que 3 mots: On va où?

Comme un automate elle lui dit:

-T'es sourd mon vieux?? On va à la terre de feu et pis quand on a pas dit un mot depuis longtemp on dit bonjour!

Ilana la devisagea bizarment mais s'abstint de tout commentaire.

]Kisumi]

Fernasen:

Elle me gavait là avec ses:

<< plus vite ils nous rattrappent>>.

Ilena et son bouriquot était derrière nous, elles avaient décidées de faire une course et moi je trouve ça pas cool. Kisumi me pressait les flans dans le but de me faire avancer.

J'accelera un petit peu..

** Seulement pour te faire plaisir n'imagine pas que je suis ton cheval servant**

et là elle me sort :

<< T'es la meilleur ma belle>>

comme si j'était un simple bouriquot à qui on récompensait d'avoir gagner. J'avais bien envie de la faire passer par dessu bord mais ça serait me conduire comme un bouriquot et je voulait éviter... Finalement elles mettent fin à leur course et je peux enfin souffler.

** Sa vous à prit du temps a comprendre que sa nous fatigue pour rien !! Vous êtes lente à la détente moi j'avais compris avant même de commencer!**



[Kisumi]

Ilena







Nousallions direction Foguetios. Cela faisait maintenant presque une semaine quenous étions en route. Demain nous passerions la frontière. J’avais décidé quenous ferions une halte peu avant la « frontière » pour nous reposer.Après avoir pansé Fernasen et Jarka mon petit cheval bai « emprunté »dans une écurie, je laissais Kisu seule avec le feu et la nourriture. Je n’avaisqu’une envie. Franchir le mur qui me bloquait le passage vers mon moi.

Assiseen tailleur j’entrepris de plonger dans mon être, dans le Seishin’oku.
Jeme couchais sur le sol. Je me sentais toujours mieux lorsque j’étais en contacttotal avec la nature. Puis je pris des inspirations profondes en laissant mespensées vagabonder un moment.
Ceque je faisais se l’était pour approfondir le lien vers mon intérieur.
Ilfaut s’imaginer que à l’intérieur d’une personne il y’ait un gouffre. D’un côtédu gouffre il y’a un monde comme on le connait. Avec des fleurs et de mauvaisesherbes. Avec des choses positives et négatives. Ce côté-là, c’est le conscient.Au dessus du gouffre il y’a un pont, fragile, étroit, il est dur à traverser.Lors de moments où on est calme et reposé il se solidifie…lentement. De l’autre côté il y’a un monde différent dechaque personne. Chez certaine tout y’est coloré et gai alors que chez d’autrestout est gris et triste. Ce monde c’est l’inconscient. Il peut se révélerpendant les rêves, car pendant le sommeil on est calme et le pont peuttranquillement se consolider. Si onarrive à passer le pont et à trouver notre inconscient, c’est bien. On ditqu’on a passée la première étape, le tsuribashi (=pont suspendu).
Ensuitevient le tan’kyuu (=recherche). Dans l’inconscient se trouve tout notrecaractère, notre savoir, nos défauts et nos qualités. La plupart des personnesn’en connaissent qu’une partie. Car l’inconscient est complexe, et pour toutexplorer, il faudrait plusieurs siècles. Mais le but principal du tan'kyuu estde trouver notre don. Chaque personne en son profond à un don, même le pluscommun de l’humain. Mais il faut toujours faire attention de ne pas blessernotre subconscient. Lorsqu’on l’a trouvéon a trouvé le secret de sa personne. C’est dur à expliquer, mais c’est unsentiment magique.
Ladernière étape est le jukuren’ (=maitrise). Quand le don est trouvé il faut ledompter et le maîtriser.
Certainepersonnes qui ont subie une grande humiliation ou qui sont blessé dans leuramour-propre, voient le gouffre sous le pont s’envahir de venin. Le poisonatteint d’abord le conscient. A ce moment là, la personne peut encore êtresauvée. Mais lorsque le subconscient est touché, il n’y a plus rien à faire…

Toutesmes pensées sont chassées. Mon esprit est libre. Je peux m’enfoncer dans monêtre. Avec des inspirations profondes, je m’avance toujours plus loin dans leconscient. Devant moi je vois le pont. Il a l’air fort grâce aux heures detravail que j’ai déployé pour le rendre empruntable à ma guise. Je m’approche. Lesabords du pont son verdoyant. Mais on distingue clairement que tout c’estassombrit et qu’un brouillard triste recouvre mon intérieur. Je chasse l’imaged’Eliam qui me vient à l’esprit, aucune pensée ne doit m’écarter de mon chemin.
Jereprends une inspiration et m’avance sur le pont. Il tangue à peine. Je jetteun regard dans le gouffre, mais tout vas bien. Je ne suis pas « polluée ».Au bout du pont tout change. Au lieu de voir mon inconscient, je vois une massenoire et froide qui m’obstrue le chemin. J’essaye de passer en me concentranttoujours plus fort mais le mur reste là. Alors je m’y mets avec la violence. Ji’anest marre. Sans mon inconscient je ne suis plus personne. Avec toute mapatience, ma volonté et ma force je fonce sur la masse sombre, tel un bélier.Elle flanche, bouche se transforme, puis tout sa noirceur vient se souderautour de l’endroit où je l’ai endommagé. Je réessaye plusieurs fois, en vain.
Soudainje réalise que cette masse est peut-être le Fléau qui s’est engouffré en moi etqui occupe mon…

Jesuis expulsée. Couchée sur le dos j’halète. Je suis possédée. Je vais êtredémoniaque… Pourtant mon gouffre était en bonne état. Je gémis. Sans moninconscient je me sentais mutilée. JE ravalais des larmes mais restais couchéesur le dos.

Kisumi:

Ilena meditait dans un coin pendant que Kisumi préparait la nourriture. La jeune fille de 16 ans se demandait bien se que trafiquait Ilena qui ne bougeait pas un pouce depuis bientôt une demi heure. La nourriture était prête et Kisumi se demandait s'il fallait la déranger, mais cela importait peu a Kisumi qui secoua lentement Ilena. La maman cligna des yeux lentement comme si elle se réveillait d'un rêve particulièrement éprouvant.

-C'est l'heure de manger... -voyant que Ilena ne disait rien elle ajouta:-J'ai fait un peu de bacon et une petite salade j'espère que tu n'as pas trop faim car c'est vraiment pas beaucoup.

Elle lui tendit l'assiette et Ilena la dévora avec appétit. Kisumi l'observa à la dérobée Ilena était tendu et avait les yeux vide, elle réfléchissait. Kisumi sortit une carte de son sac à dos et fit quelque calcul.

-Ok, d'après mes calculs on devrait être à 4 jours de marche de la terre de feu. A moins qu'on ait des ennuis en route, avec les chevaux on devrait y être en moins de 2 jours.

Ilena hocha le tête en signe de consentement.

Tout d'un coup elle prit sa tête entre ses mains. Gabriel voulait lui parler.

Inspiration, expiration, inspiration, expi...

-Kisu??

La voie d'enfant de Gabriel se repercuta dans son esprit, pas comme désagréablement, non, plutôt comme un chant.

-Quesque tu vas faire? Tu ne connais même pas Ilena quesqui te dis qu'elle est de ton côté qu'elle ne cherche pas à te manipuler?

-Salut, Gabriel comment ca va ? Toujours aussi parano à ca que je vois?

-Je cherche juste à t'éviter des ennuis et puis je pense sincèrement qu'elle n'est pas dangereuse mais j'aimerais la fouiller pour être sûr...

Kisumi poussa un soupir.

-Je vais lui demander et ça ne vas pas lui plaire...

-Oui vas-y

-mmmmmmrrr

Kisumi ouvrit les paupières et vit que Ilena l'observait. Quand celle-ci croisa son regard elle détourna les yeux génée. Kisu se leva et lui dit du tac au tac:

-Ecoute ce que je vais te demander vas te sembler bizard mais.... J'aurais juste besoin que tu me présente tes main et je... je vais juste faire une sorte de fouille intérieur pour vérifier que... Enfin c'est juste une précotion bien sûr je te fait confiance...je... Tu veux bien?

Kisumi:

Fernasen se leva et se dirigea tranquillement vers la forêt. Kisumi l'observa en silence quelque instant. ça ne lui plaisait pas vraiment que Fernasen s'en aille alors qu'elle venait d'arriver, elle lui lança mal grès elle:

-Ne t'en va pas trop loin s'il te plaît

Et comme pour s'excuser elle lui dit aussi:

-Je veux juste pas que tu te perdes Ok?

Fernasen l'observa ses grands yeux chevalin qui détenait dans le fond une grande sagesse. Kisumi compris le message

** Ne t'inquiète pas je reviens vite **

Kisumi sentit quand même son coeur se serrer quand Fernasen disparut de sa vu, elle devrait pourtant être habituer mais elle se faisait toujours un sang d'encre quand la licorne allait faire un tour.

Ilena



Je mangeais lentement, en digérant mon âpre défaite. Je ne réalisais même pas ce que me disait Kisu. Par contre lorsque j’entendis le mot « fouille »,je sursautais. Elle voulait me fouiller ?!? Sa ne me dérangeais pas mais si elle remarquait mon mur ? Ou bien qu’elle réentendait ce que le dragon m’avais dit ?
-Non !
Je réalisais seulement que j’avais parlée à voix haute lorsque mon amie me regarda avec un regard horrifié. Pendant de longue seconde nous nous regardions au plus profond de notre regard, de notre âme. Soudain je me mis à trembler. Je gardais la tête haute et un visage impénétrable et je dis :

-Ce n’est pas ce que tu crois ! Je suis de ton côté. C’est juste que je ne veux pas !

Puis je partis.

4 jours pour rejoindre Foguetios. Cela me semblait trop. J’avais envie d’y aller maintenant. Mais je ne pouvais pas. Kisumi pensait que j’étais une traîtresse. Je n’aurais pas dû crier. Elle l’a mal pris. D’ailleurs j’étais sûre qu’elle allait faire ses bagages et partir, voire vouloir me tuer avant…
Alors je retournais à la clairière. Kisu éteignait le feu. Je ne savais pas quoi dire. Alors je m’assis et respirais calmement. Lorsqu’elle me verrait je lui dirais qu’elle pouvait me faire confiance. Peut-être m’exuserais-je… en tout cas tout ra mieux. Même nous pourrions nous reposer durant deux petites heures puis partir pour arriver le surlendemain déjà à Foguetios. Je ressentais le besoin de sauver mon fils.

Eliam

Toutest noir. Où est maman. Un grand dragon m’a dit que je ne la reverrais plus jamais. Mais je n’y crois pas. Maman est la meilleure. Elle a toujours été là pour moi.

Et si elle ne savait pas où je suis ?

J’ai froid, tout est noir. Maman viendra. Elle doit être en train de se préparer pour le combat. Si seulement j’avais encore mon épée magique, j’aurais pu l’aider.

Et si elle m’a oubliée ?

J’aifaim, j’ai froid, tout est noir. Non ! Maman ne m’oubliera pas. Elle remarquera forcément qu’il y a des restes du riz qu’elle avait prévu de cuisiner ce soir.

Elle viendra. Ces trois certitudes me rassuraient et me redonnaient espoir. Maman viendra ! Je n’avais pas à m’inquiéter. Aucun souci. Rien à faire… a part attendre ! Mais…je suis trop seul pour pouvoir attendre sans céder à la panique !

J’aipeur, j’ai faim, j’ai froid, tout est noir !

Je me sentais perdue. Depuis ma rencontre avec le mur je sentais une douleur étouffante au fond de mon coeur. Je n'avais pas ouvert la bouche pour parler. Je n'en ressentais pas le besoin et j'avais l'impression que si je parlais mon coeur exploserait.

J'étais tout de même heureuse que Kisumi continuait avec moi. Elle ne m'avait même pas posé de question. Heureusement elle ne semblait pas fâchée. Juste un peu surprise.

Nous avionn quitté la forêt et nous nous trouvions dans un endroit plus aride et chaud. Un agréable vent tiède me souffla sur le visage. C'est là que j'ai réalisé que nous avions atteint la frontière. Je lâchais un soupir de satisfaction: nous avions réussis. A présent il nous fallais juste trouver les dragons.
Je regardai mon amie, lui fit un sourire timide puis lui dit:

-A toi l'honneur.

Je la suivi, et nous entrâmes en territoir inconnu!

Kisumi:

-A toi l'honneur

Kisumi se tourna vers le continent de feu, la chaleur était la principale météo et Kisumi enleva sa veste et mis Fernasen au pas. elle apprécia la caresse du vent sur son visage et souhaita hardement trouver les dragons. Elle sentait une énergie nouvelle s'écouler dans ses veines et une bouffé d'adrenaline lui prit soudain; elle mit Fernasen au galop. Elle sentait le regard des dieux se poser sûr elle et se sentit bénie, quelqu'un là haut les avaient prient sous son aile, elle en était sûre.

Elle soupira et adressa une prière muette aux cieux.

Elle se dressa sûr ses étirers, fixa l'horizon

Et fit face à son avenir...



[départ pour FOGUEUTIOS]