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 AGRIMADA

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Amandier
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MessageSujet: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeLun 11 Oct - 15:29

Action à AGRIMADA


[Arrivé de Foguetios]

Shyrkëll et Lir'Yaël :

Ils volèrent toute la journée, Syrkëll le pressait. Il forçait le vent pour augmenter la vitesse du dragon et condensçait l'eau de l'océan pour créer des courants ascendants. Lir'Yaël oubliait la fatigue et filait comme une étoile vers Agrimada.
Les côtes de Foguetios s'étaient rapidement estompé comme un dessin que l'on gomme. Haut dans le ciel Shyrkëll avait même aperçu une fumée noire et épaisse enveloppant la côte-est de Telluris. Il sentait quelque chose de malsain se répandre sur cette terre. Et s'il n'avait pas eu cette mission auprès de Céleste. Il aurait été allé voir ce qui s'y tramait.
Mais il ne voulait pas perdre de temps et aller au plus vite pour la dragonne qui l'attendait...
Il passa au dessus des Seatlones qui elles aussi menaient une course contre le temps et contre le Fléau.


AGRIMADA Carte10


Le voyage était long et monotomne. L'océan s'étendait à perte de vue.

Et soudain, alors que la lune se dévoilait et que le soleil fuyait, les hautes tours de garde de la cité elfique apparurent enfin !
Ad'Jendir : la Cité des Eternités se dressait immense au milieu de la plus grande et de la plus ancienne forêt de Gaia. Un lieu noble et sacré pour les elfes.
La chimère couleur sang se posa délicatement dans une clairière prévue à cet effet, non loin de l'entrée principale. Lir'Yaël était épuisé par ce voyage si rapide, D'habitude, tous deux s'arrêtaient sur une petite île située entre les deux continents. Elle était posée là, comme par enchantement, une halte pour les voyageurs du ciel.
Tahl'Ari descendit de son dos promptement. Il le flatta doucement, plongeant son regard dans l'œil ambré de son compagnon. Lir'Yaël émit un grondement sourd, singulier, Toux deux n'avaient pas besoin de se parler pour se comprendre. Leur lien était tel, qu'il suffisait que l'un d'eux pense à une chose pour que l'autre ait la même idée.


AGRIMADA Wallpapersmaniavol15103z


Puis Syrkëll le quitta. Il disparut rapidement sous la frondaison des arbres.
Il marcha quelque temps sachant exactement où se diriger dans cette forêt épaisse et inextricable.
Le bois, malgré son air paisible était très bien gardé. Nombreux étaient les pièges. Et autrefois, lors des anciennes guerres de Gaia. Nombreux étaient les ennemis qui avait périt mystérieusement dans ce lieu.
Mais se n'était rien comparé au système de défense de la cité elle même...

Tahl'Ari marchait rapidement soucieux et perdu dans ses réflexions. Aucun elfe ne vint à sa rencontre pourtant il savait pertinemment que les sentinelles l'avaient déjà repéré, avant même qu'il ne se pose dans la clairière.
Le vent murmurait dans le feuillage. De nombreuses créatures s'activaient. Des petits yeux jaunes le guettaient...


Il s'arrêta enfin. Et examina l'endroit, toujours émerveillé par le travail de son peuple.
Au pied d'un arbre dont même les elfes ne comptaient plus les années, [mais c'est arbre était sacré et vénéré] se dressait une immense arche. Elle faisait plus de vingt mètres de haut !
De jour, elle brillait comme de l'ivoire et la nuit elle fluoresçait d'un blanc-rosé. C'était une construction magnifique et emprunt de magie. [Comme la plupart des créations elfiques]
Ravie de retrouver ce lieu aussi intacte que dans ses souvenirs, il gravit rapidement l'escalier où s'entrecroisait du lierre et des Hyrkas. Ces petites fleurs pourpres et picotées d'orangés étaient déjà ouvertes pour récolter au maximum l'humidité de la nuit. Des papillons aux couleurs ocres et siennes se régalaient de leur doux nectar.


AGRIMADA Runewarselvencastle

Il monta rapidement les marches. N'essayant même pas de les compter tant l'escalier était haut et long. Il arriva enfin devant porte un peu essouflé par cette ascension rapide. Contrairement à l'arche, celle-ci de dépassait pas deux mètres cinquante de hauteur. Elle était constituée de bois de hêtre et finement sculptée. Mais sa simplicité ne signifiait pas qu'elle était facile à franchir...
D'un geste décidé, il poussa les battants de la porte.
Une petite place et au centre une fontaine représentant un dragon apparurent devant lui. Au delà, les rayons pâles de la lune illuminèrent sa route. Une longue rue, rectiligne. L'une des neuf voies qui montaient jusqu'à la demeure du roi. Elles étaient toutes disposées en forme d'étoile. Le cœur étant la forteresse. Et telle une toile d'araignée plusieurs petites rues les coupaient perpendiculairement.
Les elfes ne dormaient que très rarement si bien, que de jour comme de nuit la cité blanche et incrustée de petits diamant restait animée. Les commerces ne fermaient pratiquement jamais. Et les rues étaient toujours bondées. La seule différence était que la nuit, la ville était mouchetée de lucioles vertes et bleues. Pouer éclairer les voix aux rares étrangers et pour preuve de leur parfaite harmonie avec la nature.
Il s'engouffra dans la rue et marcha à vive allure, On s'écarta sur son passage. On le salua respectueusement. On chuchota. On s'interrogea.

Shyrkëll ne préférait pas s'attarder. Il pressa un peu plus le pas. En chemin il se rendit compte que tous les elfes ici vivaient dans l'insouciance.
Depuis qu'il était parti, rien n'avait changé.
De jeunes enfant riaient aux éclats tandis qu'un homme faisait apparaître des petites sphère d'eau. Elles flottaient dans l'air comme des papillons et le moindre frémissement les faisait éclater dans un bruit de crécerelle. Les enfant applaudissaient à chaque fois.

Et tandis qu'il passait à proximité, l'homme s'arrêta et s'excusa auprès des enfants qui soupirèrent de mécontentement.
« - Tahl'Ari ! Tahl'Ari ! Attends ! Que fais-tu ici ? Tu n'étais pas à Foguetios ?»
« - Si mais des nouvelles imminentes m'ont obligé à partir. »
Répondit Shyrkëll sans s'arrêter et sans le regarder. Siran fut obligé de courir à ses côtés pour ne pas être distancé.
« - Qu'y a t-il ? Tu m'a l'air sérieux. C'est grave ? »
« - Au plus au point. C'est pour cela que je dois voir Anàrion de suite. »

Siran plissa les yeux comme à son habitude lorsque leur conversation devenait sérieuse et agrippa son bras. Shyrkëll se retourna et le regarda gravement.
« - Alors suis moi ! »

Son compagnon de bataille et garde attitré de la citadelle lui emboîta le pas. Ils descendirent un petit escalier, dans l'angle d'une maison et passèrent par un passage vouté.
Ces galeries passaient sous la ville. Leur construction venait tout juste de s'achever.
« … Elles ont été construites pour nous permettre de circuler rapidement en cas de nécessité. Seul le roi, les hauts dignitaires et moi même y avons l'accès et le droit de donner notre autorisation de passage... C'est un accès direct au château sans lafoule ! Pratique. Non ? » S'exclama avec fierté le semi-elfe.
Shyrkëll ne répondit pas, il sourit heureux d'avoir retrouvé son compagnon et meilleur ami.
Après quelques minutes de marche, le tunnel déboucha enfin dans la cour même, du château.

Des guerriers le regardèrent avec insistance et saluèrent leur commandant.
Plusieurs couloirs défilèrent. L'intérieur du château était semblable à l'extérieur. D'un blanc étincelant, paré de pierres précieuses et d'étoffes soyeuses qui tombaient avec délicatesse des fenêtres en ogive. Le centre du palais était une incroyable architecture aux allures byzantines découpée par d'impressionnantes chutes d'eau. Ces cascades étaient au toucher semblables au liquide et déferlaient avec le même vrombissement mais en réalité tout ceci n'était qu'illusion.


AGRIMADA Cities7


C'est à la suite de cette vue féérique que le seigneur Anàrion [fils du soleil] se présenta à Tahl'Ari.
« - Mon seigneur » S'exclama Shyrkëll un genou à terre,
« - Relèves-toi Tahl'Ari. Ne t'agenouilles pas devant moi. Cela devrait être l'inverse. C'est toi le grand heros des batailles de Gaia. »
« - On ne peut devenir heros d'une bataille mon Seigneur. Le véritable heros serait un homme qui trouverait le moyen de vivre en harmonie avec les autres peuples sans avoir recours à la guerre. Je n'aie rien d'un heros et les batailles n'apportent ni victoires, ni défaites, seulement la mort. »
Répliqua t-il poliment en se relevant.
Anàrion acquiesça et tapota l'épaule de Shyrkëll. Il estimait son maître d'arme pour sa franchise et son intelligence d'esprit autant que pour ces facultés aux combat et cela était réciproque.
« -Mes éclaireurs m'ont informé de ta visite. Que se passe t-il ? Ils m'ont dit que tu semblait pressé. »
Il jeta un regard à Siran pour le prier de les laisser seul mais Tahl'Ari le fit changer d'avis avec délicatesse.
« - Non je ne préfère pas mon Seingneur. Cela le concerne également. Cela concerne notre peuple dans sa totalité. Permettez lui de rester. »
Siran resta songeur et silencieux. Ils s'essayèrent tous les trois à une table à l'écart des chutes d'eau vertigineuses.

« -Nous écoutons. » Intervint le roi,
Shyrkëll inspira profondément et commença :
« - Gaia a été jadis secouée par des guerres entre les peuples. Nous même n'avons pu y échapper. Peu à peu le calme et revenu et une certaine sérénité s'est installé. Mais aujourd'hui cet équilibre semble menacé. A Foguetios se répand une rumeur. Un mal serait apparut et il tuerait toute vie sur son passage. Je crois qu'il a déjà fait des ravages à Telluris. On l'appelle le Fléau. Je ne sais à quoi il ressemble. Mais il détruit tout son son passage. »
Siran plissa les yeux. Tahl'Ari poursuivit.
« Ce matin plutôt, j'ai reçu la visite de Céleste. L'un des dragons est tombé sous l'emprise du Fléau. » Shyrkëll sourit.
« Darkos, un dragon noir de la race des volcans » me transmet Lir'Yaël. Son sourire s'effaça rapidement et il reprit avec sérieux.
« Je dois immédiatement repartir. J'ai promis à la dragonne de lui donner votre réponse Anàrion. Elle désire savoir si nous pourrions lier nos deux peuples et combattre le Fléau ensemble. Nous allier avec les autres races, je pense, ne serait pas un mauvaise chose non plus...»

Il se tut. Attendant une réponse. Siran était consterné et surpris mais Anàrion restait calme et impassible.
« - Syrkëll, je ne suis pas surpris en rélaité. Je m'attendait à ce que ta venue soirt en rapport avec cette afaire. Cet après-midi même, nous avons reçu un message à travers un palantir. Un village elfique a été attaqué à Telluris aujourd'hui même. Il ne reste que peu de survivants et ils se sont enfuis vers Foguetios. La population a été décimée et le village réduit en cendre. Et malheureusement il semble que se soit ce mal dont tu nous parles. J'ai vu à travers le palantir les ravages qu'il avait déjà causé à Telluris. Et la cruauté qu'il a fait subir à nos semblables. Les êtres qu'il touche et qui ne meurent pas, errent sans vie avec pour seul besoin, l'envie de tuer. C'est une chose affreuse ! J'ai vu de nombreuses chose affreuses que je ne souhaite pas vous décrire... » L'image de ce jeune elfe, se vidant de son sang, lui réapparut soudainement. Il pensait à lui, aux heures de souffrance qu'il devait endurer pour le bon plaisir de cette créature de l'ombre au service du Fléau. Il ferma les yeux l'espace d'instant pour chasser ces images.
« Ces images étaient vraiment horribles. Insoutenables. Elle m'ont hanté tout l'après-midi. C'est pourquoi avant même que tu ne me demandes une réponse, j'ai déjà envisagé la possibilité que nous entrions en guerre.
Mais maintenant que j'en sais plus sur ce mal et que Céleste te l'as demandé personnellement, je ne peux resté impassible. Nous sommes là, figé au coeur de cette cité pendant que nos frères sur Telluris subissent déjà les attaques destructrices du Fléau. Je ne peux fermer les yeux sur ces actes sans avoir ses images en tête. Et aucun n'être, d'aucune espèce ne doit subir ces horreurs.»

Il se leva. Sa chevelure noire de jais parsemés de fins cheveux argentés s'agita délicatement dans le vent et il plongea ses yeux bleu cobalt dans ceux de Tahl'Ari.
« Pars Shyrkëll. Saluts la dragonne de ma part et au nom de mon peuple. Dis lui que nous nous allierons avec les siens et qu'il en sera de même avec les autres peuples si eux même le désire. Nous avons créer ce mal, c'est à nous de le détruire. Siran, j'avais l'intention de t'en parler dés demain mais ta venue Shyrkëll m'a fait comprendre que le temps presse et qu'il est grand temps d'agir. »
Siran resta silencieux.
« Je vais faire une annonce. Le cacher à notre peuple serait une faute. Je dois leur dire l'horreur qu'il les attends si nous ne faisons rien pour l'empêcher. Je ne peux imaginer ce qui adviendra de la cité et de cette forêt si le Fléau arrivait jusqu'à notre royaume... »
« - Nous n'en somme pas encore là. »
Intervint Shyrkëll en se levant à son tour et en posant une main sur son épaule.
« Je retourne auprès de Céleste et lui transmets votre décision Seigneur Anàrion. Ensuite je partirais à la recherche des survivants... »
« - Je vais préparer et organiser notre armée. Je vais également envoyé des messages dans les différents villages aux alentours et également à Aeomisu. Je l'espère, par mon sang, pouvoir rallier les hommes. »
S'exclama Siran en se plaçant lui aussi au coté de son roi.
« - Hum. Merci Siran. Je sais que que je peux compter sur vous deux. Vous êtes des hommes de parole. » Puis il se trouna vers le maître d'arme :
« Fais attention à toi Shyrkëll. Le Fléau avance vite et les collines de Foguetios ne sont pas loin du village que le Fléau à détruit. » Murmura Anàrion. Le maître d'arme acquiesça. Puis tous les trois s'exclamèrent :
« - Eärendil lyr'sanpër Inrän dienor milirù Indî Nith'Aëriam »

Ils marchaient silencieusement. Shyrkëll lui, car il était peu enchanté de reprendre le voyage sur le dos de Lir'Yaël et Siran encore un peu déconcerté par ses révélations. Le jeune elfe désirait rester ici, auprès des siens. Il aurait voulu se réveiller et se dire que la visite de Céleste n'avait été qu'un mauvais rêve... Et que le Fléau n'avait jamais existé...

Finalement ils débouchèrent dans la clairière. Tahl'Ari appela télépathiquement son compagnon du ciel. Le jeune dragon couleur sang se posa délicatement.
« - Fais attention à toi Shyrkëll. Ne vas pas au devant du danger. » Le maître d'arme fixa son compagnon. Siran avait changé depuis lors dernière entrevue. Ses traits s'étaient un peu plus creusés et ses prunelles assombries. Sa barbe de trois jours lui donnait un air plus solennel. Toutefois il avait l'ouïe et la vue des elfes. Ces facultés innées de s'estompaient jamais au fils des âges. Sans parler de ses talents dans la maîtrise de l'eau et de l'air. Du sang elfique et humain coulaient dans ses veines. Et c'était ce qui lui donnait d'incroyables dispositions dans beaucoup de domaine ou nombreux aurait été les hommes complètement dépassés.
« - Ne t'en fais pas Siran je ferais attention. Je sais ce que le Fléau représente. »
Il s'étreignirent comme deux frères.
« - J'espère que nous nous reverrons un jour mon ami » Lui confessa Siran alors qu'il montait sur le dos de Lir'Yaël.
« - Nous nous reverrons sûrement et nous combattrons ensemble comme au temps jadis. »
« Fais attention à lui »
Confia télépathiquement le semi-elfe en tapotant le cou du dragon
« Promis. » lui répondit ce dernier.
Puis il s'écarta et Lir'Yaël se propulsa dans les airs. Il déploya ses ailes une fois au dessus des arbres et monta en flèche en profitant d'un courant ascendant.


[départ vers Foguetios]

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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeLun 11 Oct - 15:35

[Arrivé deb Telluris]

Ayathe

Ayathe zigzaguait entre les pins de jade, Yaken à ses cotés elles filaient en direction de la capitale elfique ; le Fléau les avait téléporté sur le continent elfique afin qu’elles puissent accomplir leurs mission ; en chemin Ayathe ressassait son entretient avec le fléau, il savait surement déjà son véritable but. Toujours est-il qu’il lui avait confié sa première mission elle devait assassiner le souverain des elfes fin que ceux-ci prennent peur et se retirent du conflit ils seront donc plus facile à éliminer. Tout les soirs le bivouac installé Ayathe s’entrainait a la métamorphose si bien qu’elle put bientôt prendre l’apparence qu’elle voulait et par métamorphose elle pouvait faire apparaitre des objet qui n’était pas réels juste visible .Les journées qui défilaient se ressemblait toutes, si bien que lorsqu’elle arrivas enfin aux portes de la titanesque capital elfique elle eut l’impression qu’un mois c’était écoulé alors qu’elle avait mis seulement une semaine pour traverser la foret qui menait à la capital elfe Ad’jendir. Les portes couleurs ivoires et les petites fleures pourpre et orangées émerveillait Ayathe, les papillons aux couleurs ocres qui butinait autour de la porte lui donnait l’impression que la porte bougeait. L’émerveillement de la porte laisser derrière Ayathe partit en quête d’une bijouterie qu’elle trouva non loin du palais. Grace à l’argent de ses précédents contrats elle acheta quelques bijoux afin que son déguisement soit parfait, en effet elle comptait se faire passer pour une émissaire du peuple Lamia en quête d’une alliance pour pouvoir s’approcher du roi et ainsi le tuer plus simplement. Ses achats terminées elles partie en direction du château. Les bijoux qu’elle portait désormais faisaient émaner de sa personne une présence royale digne des plus grands seigneurs.
Ayathe héla un jeune servant qui passait devant elle.

-Jeune homme pouvait vous m’indiquer le chemin de la salle du trône je requiers l’attention du roi pour une requête pressante elle n’avait pas haussé le ton mais il était claire qu’elle donnait un ordre plutôt qu’elle demandait un service.

-Bien Madame suivez moi je vous prie.

Ayathe suivait le petit page qui l’emmenait plus près de sa cible. Ils empruntèrent nombre de couloires et de bifurcations montèrent une volée de marche. Ayathe s’arrêtât sous le choc la bautée de la salle la laissait pantoise les colonnes ivoires qui montaient au plafond entourées de lierres bleu paraissaient disparaitre dans l’immensité du palais. Le dallage de marbre d’un blanc immaculée renflaitait la lumière qui traversait les vitraux qui transcrivaient un compte d’autrefois.
Les paroles qui retentirent mirent fin a la rêverie de la jeune femme.

-Annoncez vous, qui êtes vous que voulez vous ? clama le garde en armure marron.

-Je me nomme Silfiane princesse Lamia, et le roi seul est autorise à entendre ma requête répondit Ayathe.

Le garde déglutit et la laisse passer. Elle s’avança en direction du trone, une femme vint a sa rencontre

-Reine Silfiane je vous prie d’attendre quelques instants le roi se prépare pour votre visite, désirez vous quelques mets, ou boissons ? interrogea la femme.

-Non, je n’ai besoin de rien. Répondit Ayathe d’un ton hautain.
Ayathe jouait avec les émeraudes de son bracelet lorsque le roi entra dans la salle et l'invitait à le rejoindre.
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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeLun 11 Oct - 15:37

Anàrion :


Anàrion entra, il observa un moment son invité avec une certaine réserve et une certaine surprise.
Le cliquetis des émeraudes de son bracelet lui laissait à penser qu'elle se sentait nerveuse...
Sans plus s'attarder à cette première impression, poliment il l'invita à venir s'asseoir.
Ils prirent place face à face, autour d'une petite table rectangulaire, en bois de pin, d'un blanc immaculé. De jeunes femmes aux traits angéliques et à la grâce divine, finement vêtues, apportèrent quelques mets sucrés et une douce boisson rafraîchissante.
Le roi les congédia en les remerciant.

Anàrion fixa ensuite son invité avec sérieux et attention :
« - Et bien que me vaut la visite d'une si jolie représentante du peuple Lamia ? Vu les temps qui courent, j'en crois deviner la cause mais je vous écoute Princesse. »
« - Et bien, je ne peux véritablement vous le dire à voix haute, ici. »
Elle jeta un regard en biais à Siran. Le roi le regarda à son tour.
« - Siran, est le premier garde de la citadelle, C'est à dire qu'il a en charge toute l'armée et la sécurité de la ville. Ce son de lourdes responsabilité pour un seul homme. Mais je peux vous certifier que c'est une personne de confiance sur qui l'on peut tout à fait compter »
« - Et bien, vous avez peut être confiance en lui mais ce que j'ai à vous annoncer, ne peut être entendu par tout le monde même si cet homme semble très respectable. Et je ne remets point en doute votre jugement à son égard. »


Siran soupira
« - Je vous laisse mon Seigneur, si vous avez besoin de moi je serais juste de l'autre côté.
Madame, j'ai été ravi de vous rencontrer ! »

Il s'inclina, partit et prit soin de refermer les portes de la salle derrière lui,
"Ah les femmes !" Pensa t-il. "J'espère que toute les princesses si jolies soient-elles ne sont pas aussi compliquées !"

Le silence retomba. Anàrion regardait la princesse, intrigué par toutes les précautions qu'elle désirait prendre juste pour cette entrevue.
De quoi avait-elle peur ? Elle se trouvait dans la cité elfique ! La plus importante et la mieux gardée. Le roi se sentit un peu vexé mais n'en fit part. Il finit par rompre le silence, un peu pressé tout de même. Il n'avait pas toute la journée...

« -Bien maintenant que nous sommes seuls, que vous amène t-il dans mon royaume ? »

Ayathe sous l'apparence de Silfiane se leva subitement et se rapprocha du roi. L'elfe fut surpris et ne le cacha pas. Mais il ne bougea pas pour autant, Ses yeux bleu et pétillants la fixaient avec attention. Silfiane se pencha à son oreille :
« - Et je dois vous avouer, cela à un rapport avec le Fléau. Mais je suppose que c'est de cela que vous soupçonniez. » lui murmura t-elle avec audace.

Anàrion s'apprêta à répondre lorsqu'il sentit quelque chose de froid entrer dans son corps. Transpercer son cœur. Il tomba à terre sous le choc et la douleur. Ayathe retira sa dague d'un geste sec. Anàrion plaqua sa main alors contre sa blessure. L'hémorragie était sérieuse. Le sang s'écoulait abondamment de la plaie. Le roi tenta de parler, d'appeler ses gardes mais aucun son ne sortit de sa bouche. Il hoqueta et eut un soubresaut. Une bulle de sang éclata sur ses lèvres. Il regardait Ayathe, suppliant, horrifié. Il perçut chez elle, une lueur malicieuse, maléfique. Elle était froide cruelle...

Le roi des elfes se mourrait. Allongé sur le dos, baignant dans son sang, incapable de parler ni même de bouger, il sentait ses forces le quitter, son immortalité l'abandonner...
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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeLun 11 Oct - 15:43

En entrant Anàrion la dévisagea un vent de surprise passa sur le visage ridé du vieil elfe il l’invita à s’assoir et elle obéit. Ils s’installèrent face a face autour d’une table et furent servis de met délicats .Après un court échange de politesse elle en vint au vif du sujet, mais d’abord il fallait qu’elle soit seul avec le Roi. Elle coula un regard glacé a l’homme qui commandait les armées elfique, elle devait être seul avec le roi.
Elle s’exprima calmement :

- Et bien, vous avez peut être confiance en lui mais ce que j'ai à vous annoncer, ne peut être entendu par tout le monde même si cet homme semble très respectable. Et je ne remets point en doute votre jugement à son égard.

Le Roi congédia son homme qui soupira se dirigeant vers les immenses portes de bois de la salle. Il ne sera pas aussi facile de sortir pensas Ayathe, qui sortit de ses pensées lorsque le Roi rompit le silence

-Bien maintenant que nous sommes seuls, que vous amène t-il dans mon royaume ? » questionna Anàrion.

Soit il voulait une réponse elle allait lui en fournir une. Elle se leva son cœur battait a la chamade il ne fallait pas rater le cœur sinon il allait crier. Elle s’approcha doucement, tout doucement prés du roi, sa queue glissait en silence sur le marbre blanc et immaculé elle pencha sa bouche prés des oreilles de son hôtes.
-Je dois vous avouer, cela à un rapport avec le Fléau. Mais je suppose que c'est de cela que vous soupçonniez, susurras t’elle.
Un spectre de sourire étira les fines lèvres du Roi. Maintenant, c’était idéal, d’un mouvement fluide et fulgurant elle enfonça la pointe de sa dague dans le poitrail du Roi. La surprise était visible sur le visage du vieux Roi, il ne pouvait même pas alerter Siran qui se trouvait derrière les portes, elle avait frappé juste en plein dans le cœur.
-Au revoir très cher, susurras Ayathe.
Bon elle avait réussis le roi était mort maintenant elle devait trouver un moyen de partir. Elle s’assit près du cadavre du vieux roi, dont masque de surprise était figé a jamais sur son visage, elle ferma les yeux et réfléchit. Elle recouvrit les yeux quelques minutes plus tard, elle avait trouvé comment partir maintenant exécution. Le sang battait a ses tempes elle dépensait énormément de magie afin de crée un clone d’elle et du roi à partir des ombres de la salle, tout en se camouflant dans l’ombre de son clone de manière a ce qu’elle soit invisible. Une demi-heure plus tard tout était prés le roi était désormais animé par l’ombre d’Ayathe caché dans celle de son clone.

-SIRAN…, appelas le roi désormais sous l’emprise de l’ombre d’Ayathe.

Le vieux garde ouvrit la porte et se dirigeas vers la table ou ce tenait la Princesse Silfiane et Son roi Anàrion.

-Sire, Princesse ? interrogeas t’il.

-Reconduit notre invitée dans ses cartiers, ordonna le Roi

Siran s’exécuta. Ouf pensas Ayathe ils n’y avait vu que du feu. Le clone d’Ayathe suivait Siran de couloires en couloir. Ayathe profitas d’un embranchement pour se détacher de sn clone. Bien missions réussit. Elle sortit du palais sans encombre Lorsqu’elle fut certaine de ne pas être suivit elle contactât Yaken.

-Yaken es-tu la ?

-Oui sœur toujours j’ai vu comment tu l’as tué c’était bien jouer de ta part de te faire passer pour une louve dominante.. . Mais tu ne m’as surement pas appeler pour sa que me veux tu mas sœur ?

-Attend moi dans la forêt proche et prépare du gibier je commence a avoir faim, maintenant que j’ai réussis a faire ce que je devais faire nous devons attendre l’appelle du Fléau ou d’Ysia.

-Bien j’y court Sœur a tout de suite…


Comme à chaque fois qu’elle contactait Yaken elle ressentait les sentiments de sa louve, elle était déçus de ne pas chasser avec sa Sœur, le prochaine foi je chasserais avec Yaken se promit Ayathe. Elle arrivât tranquillement aux portes de la ville et par magie rendit aveugle les gardes pour quelques instant, juste assez pour se faufiler dans la foret ou elle retrouvas Yaken. Yaken avait chassé un jeune cerf qu’elles dévorèrent ensemble. Reput Ayathe sombra dans les bras de Morphée sous le regard protecteur de la grande louve blanche.
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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeVen 15 Oct - 0:31

Venus de l’île rocailleuse


Lir’Yaël & Shyrkëll :

....« Shyrkëll ! Je t’en pris réponds moi ! Reviens ! Shyrkëll ! J’aperçois les rivages d’Agrimada. Je suis sur que tu peux les voir toi aussi ! Tahl’Ari regardes je t’en pris ! Reviens parmis nous ! »

La forêt remplaça lentement la mer noire. Lir'Yaël pressait son ami de se réveiller. Lui même sentait ses forces diminuer. Pourrait-il retrouver la clairière près de la citadelle ? Il ne savait pas.

[i]« Tahl’Ari ! je t’en pris, j’ai besoin de tes indications ! »
« Lir’Yaël… Peu importe, poses toi c’est tout… »
lui répondit une faible voix dans son esprit.

Le dragon rouge sentit son moral en hausse. Il acquiesça et chercha rapidement avec Ochros un terrain où se poser quelque soit la distance avec la cité elfique. Shyrkëll percevait de vagues formes se mouver autour de lui. La lumière l’éblouissait et les verts de la forêt étaient étrangement vifs et crachants. Il sentit vaguement son dragon se poser dans un espace plus ou moins ouvert. Il discerna Chronos se poser également. Il soupira sitôt qu’ils se posèrent à terre. Soulagé. Un petit sourire se dessina sur son visage et il sombra de nouveau dans les limbes de l’inconscience…

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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeVen 15 Oct - 20:15

Venue du Nirvana


Kaisei:

Kaisei étira longuement ses fines jambes et fit craquer une à une chaque articulation de ses mains, décidément ca faisait bizarre de se sentir de nouveau dans un corps, retrouver ses cinq sens était un bonheur pour Kaisei. Il se leva lentement du futon de paille qui lui servait de lit. Cela faisait une semaine qu’il s’habituait à son nouveau corps, il le métrisait désormais à la perfection malheureusement on ne pouvait pas en dire autant de son don. Son don était bien trop fort pour lui, il avait énormément de mal a le contenir et a l’utiliser mais avec le temps son Don deviendrait une arme redoutable.
Il empaqueta ses maigres provisions et sortit de la grotte ou il résidait. Il traversa le sous-bois qui entourait son bivouac. Cela faisait désormais au moins deux bonnes heures qu’il marchait le long du chemin de terre qui le conduisait il ne savait où.
Une voix retentit dans son dos :

- « Halte là Monseigneur pour continuer votre chemin il vous faudra vous délester de quelques écus, sinon nous le ferons nous même sur votre cadavre »
- « ….. Désolé messieurs mais je suis sans le sous …. »
- « Sa ne marche pas ce numéro la mon gars va falloir payer »
Un guerrier armé d’une hallebarde de combat se plaça devant Kaisei tandis qu’un autre se tenait discrètement dans son dos armé d’une courte dague.
- « Bien, il va donc falloir se battre» murmura Kaisei.

Le guerrier à la hallebarde chargea le premier tandis que l’autre envoyait trois couteaux de jet en direction de Kaisei. Kaisei réfléchi à toute vitesse. Il libera les arcanes du temps qui sommeillait en lui. Le temps s’arrêtât, plus rien ne bougeait, aucune feuille, aucun oiseaux, les deux voleurs figé, telle des statue antique, plus rien ne bougeait sauf Kaisei. Il se posta derrière l’homme à la hallebarde de manière a se que les couteaux lancé arrivent sur l’homme et non sur Lui. Il lui ôtât son armure et s’enfuit. Lorsqu’il estima qu’il était assez loin Kaisei revêtit l’armure volé celle-ci lui donnait un aire de preux chevalier. Il réactiva le temps, le vent se remit a secouer les feuilles, les oiseaux à voler et, du côté des bandits, les couteaux tiré justes se fichèrent dans la tête du bandit à la hallebarde qui s’écroulas dans un bruit de fracas. Kaisei sentit le sol trembler sous ses pieds un voile de tristesse passas sur son visage, il n’aimait pas tuer mais il l’avait fait pour l’équilibre, une vie de sauvée pour une autre de prise. Kaisei reprit sa route, des fumées accueillantes s’élevaient derrières un petit bois proche, Il accéléra le pas la nuit allait bientôt tomber. Le crépuscule était bien avancé lorsqu’il arriva aux portes du village, il se dirigea promptement vers l’auberge la plus proche. Il commanda une bouteille d’eau de vie ainsi qu’une portion de ragout.

- « Encore un inconvénient quand on est humain, on a faim. » pensa t’il.

Il avala son repas en vitesse et se dirigea vers les tables voisines. Il questionna plusieurs personnes et apprit qu’il se trouvait sur le continent de Lumière près de la cité des elfes.

- « Parfait, pensa-il, les elfes sont des êtres éclairé ils comprendront surement mon but et mon point de vue. »
Il s’avança vers le comptoir de l’auberge :

- « Tavernier, pouvez vous m’ind….. »

Kaisei ne bougeait plus, il ne respirait plus non plus il c’était figé. la maitrise imparfaite de son pouvoir engendrait parfois ce genre de désagréments il avait arrêté le temps mais que sur lui. L’aubergiste paniquas et demandas à sa femme de transporter l’homme-statue, qui se tenait devant le comptoir et qui effrayait les clients, dehors. Lorsque le temps reprit son court sur Kaisei était a la sortie du village.

- « Tsssss, encore ce foutu pouvoir qui marche au mauvais moment » pesta t’il
Une voix l’interrompit dans sa colère :
- « Vous avez l’air d’un très puissant, jeune homme votre magie est hors du commun. Si je puis vous être d’une quelconque aide je me ferais un plaisir » susurra d’une vois enjôleuse la jeune femme encapuchonnée qui se tenait derrière lui.
- « Dame, je cherche le chemin de la capital elfique. Pouvez-vous m’y conduire ? »
- « Je regrette je suis dans l’incapacité de vous y conduire sincères excuses. »

Kaisei se retourna pour voir d’où provenez la voix mais la femme qui se tenait il y’as quelques seconde dans son dos c’était évanouie, comme une ombre. Le Lune finissait sa course, Kaisei suivait un cours d’eau qui selon un voyageur qu’il avait rencontré plutôt dans la nuit menait a une clairière et ensuite Ad’jendir ne devait plus être très loin. Il arriva aux abords de la clairière et fut témoin d’une scène incroyable. Deux dragons, l’un rouge hémoglobine, jeune et fière mais surtout fatigué, par un long voyage sans doute, portait sur son dos un jeune elfe mal en points il sommeillait et grelotait, grelottements sans doute dus à une utilisation trop poussée de sa magie supposas Kaisei. L’autre dragon était brun ocre et il virevoltait autour des deux autre il semblait lui aussi légèrement fatigué. Kaisei avança prudemment vers l’étrange attelage.
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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeDim 17 Oct - 12:54

Ochros

Le voyage avait été éprouvant. Le dragon rouge brunate avait du soutenir Lir’Yaël. L'elfe semblait être en piteux état. C'est donc avec soulagement qu'ils atteignirent la terre ferme.

Tout à coup, un humain apparut. Il ne paraissait pas menaçant mais quelque chose émanait de lui sans que le dragon puisse définir ce que c'était.

Ochros se mit devant ses compagnons de voyage qui n'était plus en état de se défendre. Il se tenait prêt au cas où l'étranger leur montrerais de l'hostilité.
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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeDim 17 Oct - 17:24

Lir'Yaël :

Le jeune dragon rouge, partageait la joie de Shyrkëll. Ils avaient enfin atteint Agrimada et en si peu de temps. Malgré la fatigue, Lir'Yaël se sentait pousser une "double paire d'aile". Il était fier d'avoir parcourut autant de kilomètre aussi rapidement.

Mais il n'omit pas de remercier Ochros pour son soutient (physique et moral).
Tout à coup, un humain apparut à la lisière de la clairière. Lui aussi se méfia mais contrairement à Ochros, il n'avait pas de pouvoir ou ne les avait pas encore découverts...
Il fixait l'étranger, étudiant ses moindres mouvements. Celui-ci avançait toujours sur de lui ou insouciant...

Lir'Yaël tenta de percer son esprit.
"Qui es tu ? Et que veux tu ?"
Mais il n'était pas sur que le jeune garçon l'entende, ni même comprenne ses paroles ou à tout hasard, puisse lui répondre...


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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeMar 19 Oct - 19:05

Kaisei:


Kaisei continua prudemment, le dragon ocre c’était mis en garde, comment leurs faire comprendre qu’il ne leur veut aucun mal. Une voix hurla dans sa tête, le dragon hémoglobine le fixait c’était surement lui qui utilisait un pouvoir de télépathie.

- « Qui est tu ? Et que veux-tu ? » assena la voix dans sa tête.

Kaisei s’essaya à la télépathie, il pensa très fort les paroles suivantes en les dirigeants vers le dragon hémoglobine.

- « Je me nomme Kaisei et je ne vous veux aucun mal, je cherche juste à communiquer. Je suis tombé sur vous par hasard je peux vous aider, mon don me permet de maitriser le temps je peux accélérer la guérison de votre dragonnier … »

Kaisei avait mis toute sa magie dans cette simple pensée il espérait que le dragon était réceptif et qu’il eu comprit ce qu’il voulait dire. Il s’arrêta en attendant la réponse de l’énorme reptile.
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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeMer 20 Oct - 22:35

Lir'Yaël :

La jeune dragon fut surprit de recevoir une réponse, de la part d'un humain. Rare était ceux qui possédait cette capacité. Il jaugea un instant, d'un regard inpitoyable le bipède. Celui-ci s'était arrêté et le fixait.

"Ochros, il dit se nommer Kaisei et affirme maîtriser le temps. Il dit être tombé sur nous par hasard et nous propose son aide. Je serais d'avis de le laisser nous aider. Mais restons sur nos gardes tous deux, on ne sait jamais..."

Le dragon brun, tourna légèrement la tête de son côté et acquiésça.

Lir'Yaël envoya alors un nouveau message à l'inconnu :

"Je me nomme Lir'Yaël, voici Ochros une aide précieuse pour notre voyage. Il ne parle qu'à nous dragon. Car il ne désire échanger avec les bipèdes. Mon dragonnier se nomme Shyrkëll et malheureusement, il a utilisé beaucoup de son energie pour rallier Foguetios à Agrimada. Il a besoin de se reposer. Et tous trois avons besoin de nous restaurer. Ton aide est la bienvenu Kaisei. Rare sont les humains à posséder un tel don. Je serais curieux de te voir à l'oeuvre si ce que tu dis est vrai."

Lir'Yaël se pencha légèrement en avant en signe de respect et de salutation.
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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeJeu 28 Oct - 11:34

Ochros

Le dragon rouge brunatre observa attentivement la scène et écoutait ce que son nouvel ami Lir'Yaël lui rapportait.

L'humain voulant les aider, il acquiesa: En ces temps sombres toute aide devait être prise pour rallier les peuples à une même cause. Néanmoins il continuais à se méfier, lui fier dragon sauvage avait du mal à se faire confiance à d'autre espèce qu'il considérait d'ailleurs inférieur à la sienne. Raciste lui? oui il en convenait. Et alors? personne n'est parfait.

Ochros avança et tendit le coup jusqu'à ce que son museau effleure la poitrine de l'humain. Il le renifla. Il voulait aussi tester le sang froid du nouvel allié. Celui ci ne broncha pas, il n'eut ni mouvement de recul ni de bouffé de peur.
Ochros était satisfait, il replia son coup à une position normal puis il jeta un oeil sur l'elfe. Il espérait, que celui ci allait s'en remettre c'était important pour l'alliance.
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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeMer 3 Nov - 14:57

Le dragon lui avait répondu. Il allait passer a l’action se dirigeant vers le jeune elfe quand le dragon Ocre avança vers lui il fallait réagir. Non, pensa t’il, le dragon Ocre le testait surement. Kaisei ne bougeas pas, même lorsqu’il vit l’énorme gueule du dragon s’approcher de son visage pour le sentir. Le dragon parut satisfait de sa réaction car il retourna près de Lir’Yaël. Kaisei s’assit en tailleur près du dragonnier, il tendit les mains en libérant sa magie. Cela faisait maintenant plus d’une heure que le temps passait quatre fois plus vite pour le corps du jeune dragonnier. Kaisei rompit son sort, tant de magie déployée commençait à le fatiguer. Le dragonnier devrait surement se réveiller maintenant.
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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeVen 19 Nov - 22:52

Lir'Yaël & Shyrkell :

Le jeune dragon rouge fixait avec bienveillance son dragonnier et avec attention les gestes de Kaisei. La chimère était affamée. Nul doute que son ami le serait tout autant à son réveil.

Après plus d'une heure. Shyrkell ouvrit enfin les yeux. Sa vision devint peu à peu nette. L'orsqu'il reconnut vaguement le lieu, il se leva prudemment. S'étira et épousseta ses vêtements. Puis véritablement de retour à la réalité. Il fixa tour à tour Lir'Yaël, Ochros et le nouveau venu avec plus d'insistance et de curiosité.

« - Mais qui êtes-vous ? » S'empressa t-il en haussant les sourcils. Il se reprit aussitôt.
« Non, pardonnez-moi, je suis indigne. »

Il s'inclina respectueux.

« Je vous remercie de m'avoir aidé. Notre voyage avec Lir'Yaël et Ochros a été long et pénible. Sans votre précieuse, aide, il m'aurait fallu des jours pour récupérer. Je me nomme Shyrkëll. Je suis maître d'arme auprès de notre roi Anarion. »

Il tiqua sur le nom de son seigneur. Le mot "défunt" apparu devant ses yeux mais il n'osa le prononcer. Il préféra cacher ses arrières pensées et camoufler sa tristesse.

« Je dois me rendre au plus vite, à Ad'jendir. Je serais ravi de votre compagnie s'il s'agit de votre direction également, Mais je vous de m'attendre quelques minutes... »

Et il partit dans la forêt. Dix minutes plus tard environ, il revint avec des baies rouges et gorgées de sucre et deux lapins. Il déposa les petits mammifères aux pattes des dragons et proposa à Kaisei de partager les baies (Shyrkëll ne pouvait pas rejoindre Ad'jendir le ventre vide et probablement que Kaisei, avait utiliser une bonne partie de son pouvoir). Le jeune garçon se présenta à son tour. Shyrkëll l'écouta distraitement malgré lui. La mort de son roi le préoccupait plus que tout.

Après ce repas frugal, Shyrkëll décida enfin de prendre la route vers la citadelle.
« Pars mon ami. Moi je reste ici un moment, le temps que mes ailes soient un peu moins douloureuses. Ensuite je volerais jusqu'à Ad'Jendir et je me poserai au château. »
« Merci Lir'Yaël A plus tard alors. »

Le jeune elfe, flatta le dragon, prit ses armes et ses affaires, puis avant s'engager dans la forêt épaisse, il se retourna et demanda à son sauveur, ce qu'il allait faire.

Il paraissait joyeux devant Kaisei mais ce n'était qu'un masque...
Et il n'osait avouer au jeune homme la mort du roi des elfes. Il refoulait cette pensée car il ne voulait pas y croire. Il préférait fermer les yeux et ne pas penser à la chute de toute une nation. Une des plus ancienne et des plus puissante...
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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeSam 20 Nov - 19:09

Ochros

Le dragon de brique observa l'humain soigner l'Elfe se préparant à intervenir au cas où. Mais l'humain était bienveillant et Ochros compris qu'il pouvait lui faire confiance.

Une fois l'elfe remit sur pieds celui ci offra un lapin au dragon venimeux et un autre à son ami draconien Lir'Yaël.
Ochros s'inclina respectueusement devant son donateur en signe de remerciement puis il avala le gibier d'un coup de mâchoire.

Quand le dragon rouge bordeaux compris que son nouvel ami Lir'Yaël ne venait pas avec l'elfe, il eu un moment d'hésitation. Son instinct et son envie le poussait à rester en compagnie dragonienne mais il se rapella la mission que lui avait confié l'oracle. Il devait accompagner l'elfe à sa cité en tant qu'ambassadeur et le protéger. Ochros se tourna vers Lir:

"- Ne vois tu pas d'inconvénient à ce que je suive ton ami afin de m'assurer qu'il ne lui arrive rien?"

"- Absolument pas" Répondit le jeune dragon rouge. "Merci à toi Ochros, cela me rassurera."
Puis il se coucha et regarda ses compagnons disparaître dans la forêt.

Ochros rejoignit rapidement l'elfe et l'humain. Il avait décidé d'être son garde du corps et de le défendre jusqu'à la mort. Peut être se permettra t'il de lui parler directement si les liens se resserraient.


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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeJeu 2 Déc - 21:09

Le jeune elfe était enfin de retour parmi eux. A peine levé il partit dans la forêt et revint avec deux lapins et de drôles de baies. Kaisei n’avait pas faim mais il se forças pour faire honneur à la chasse du jeune elfe qui disait être maitre d’arme. L’elfe lui proposas de l’emmener a la capitale, Kaisei d’empressa d’accepter ils se mirent donc en route sous l’œil méfiant du dragon ocre qui le surveillait et qui les accompagnerait jusqu’à Ad’jendir.
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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeMer 29 Déc - 2:01

Ils marchèrent une bonne partie de la journée.
Silencieusement.
Shyrkëll était sombre, renfermé et un poil de mauvais humeur.
Il suivait un sentier à peine visible. Marchant presque les yeux fermés.
On les épiait. Des guetteurs.
La forêt bruissait anomalement. Elle était en effervescence. Siran y avait envoyé des troupes armés, des chasseurs pour retrouver le meurtrier d'Anàrion. Mais il était trop tard...

Le dragonnier entra à la citadelle par une entrée dérobée.
Ce passage était plus petit que la grande porte et gardé par deux soldats en armure. Il saluèrent le maître d'arme et le suivirent du regard. Avec curiosité pour son acolyte.

Ochros s'envola. Il plana au dessus de la citadelle. Et se posa dans la cours du château.

Shyrkëll marchait vite.
Il ne laissait guère le temps à Kaisei d'admirer la cité scintillante.
Il était nerveux. Le jeune homme était curieux.
Les rues étaient plutôt désertes. Et les rares passant étaient tous vêtus de blanc.
- Nous sommes en deuil. Intervint subitement l'elfe.
Kaisei parut troublé.
Notre roi est mort. Ajouta t-il.

Le garçon voulut répondre mais le dragonnier était déjà loin. Il le suivit silencieusement, pensif.
Lorsqu'ils arrivèrent dans la cours du château, Siran vint à leur rencontre surpris.

- Tahl'Ari ! Que fais-tu ici ? Je te croyais parti pour Telluris.
- Je l'étais mais sitôt que j'ai atteins que les côtes, je suis reparti. Céleste m'a informé de la trajique mort d'Anàrion.
- Oui, nous sommes tous profondément marqué par sa mort... Répondit le semi-elfe gravement.
- Siran, je te présente Kaisei. Mon sauveur. Kaisei, voici le général des armés et mon meilleur ami.
- Enchanté Kaisei. J'aurais aimé vous rencontré dans d'autres circonstance...

Le jeune homme acquiésça.
Je vais vous faire préparer des chambres. Tu dois être épuisé Shyrhëll. Tu as mauvaise mine. Et je vois que vous n'êtes pas venus seuls.
Siran désigna le dragon ocre d'un signe de tête.
Je n'arrive pas à communiquer avec lui.
- Pardonnes-lui. Il n'est pour le moment pas disposer à parler, hormis aux dragons bien-sur. Il est venus sous la demande de Céleste. Et son aide m'a été précieuse pendant le voyage.
- Bien, je suis ravi de le rencontrer. Et le semi-elfe s'inclina à son égard.
Kaisei, je ne sais ce qui vous amène ici. J'espère que vous y trouverez ce que vous chercher. Mais je vous pris de m'excuser. Je désire parler en privé avec Tahl'Ari.
Les heures sont si sombres pour les elfes... Ce jeune garçon va vous emmener jusqu'à vos appartements. Vous êtes libre d'aller ou bon vous semble. J'espère vous revoir prochainement.


Un jeune page approcha et s'inclina. Kaisei le suivit après aavoir salué les deux elfes.

Siran entraîna alors le dragonnier dans les couloir de la demeure royal.
Il ouvrit une porte et l'invita y entrer. Shyrkëll s'avança dans la pièce hésitant.
Elle était très lumineuse, entièrement décorée de blanc. Des voilages légers et immaculés voletaient au gré de la brise.
Au centre de la pièce, sur une estrade cerné de fleur et de joiellerie, reposait le corps du roi. Un linceul le recouvrait.
Thal'Ari s'avança. Il monta les marches silencieusement. Effleura la drap étincelant et le retira délicatement. Anàrion semblait paisible. Ses paupières étaient close. Sa bouche légèrement ouverte. Ses traits étaient détentus.
Sa blessure avait été soigneusement recousue. Et il était paré des plus belles étoffes.
Le coeur du maître d'arme se serra. Il avait toujours considéré Anàrion comme son père. Son mentor. Sa mort l'anéantissait.

- Je suis désolé, nous n'avons pas retrouvé son assassin. Elle s'est enfuie rapidement et a usé d'un horrible sortilège pour nous duper.
- Elle ?!
S'emporta violemment le dragonnier.
- Calmes-toi Lui commanda son ami en recouvrant le défunt du drap blanc.
- Elle s'est fait passer pour une princesse. Une ambassadrice du peuple lamia. Elle a demander à être seul avec le roi. Anàrion m'a congédier. J'ai obéit sans me méfier de cette fille. Nous ne savons ce qui c'est passé ensuite. Elle est resortie rapidement et s'est évanouie dans la nature. Ce n'est qu'une heure plus tard, que notre roi s'est effondré raide mort. Il n'avait plus aucune goutte de sang dans les veines. Mais auparavant, il s'était comporté, tout à fait normalement, comme s'il avait été mainupuler. Un pantin...

Nous... nous ne l'avons jamais retrouvé...
Souffla Siran.

Thahl'Ari chancela. Siran voulut le retenir mais le dragonnier le repoussa. Il s'approcha d'une des fenêtre, écarta le voile blanc et inspira de l'air frais.
Un conseil doit avoir lieu ce soir. Les plus hautes et les plus puissantes familles elfiques se réunissent pour décider de la suite des évènements.
Je me dois d'être présent. Et maintenant que tu es là, tu y es également convié. le roi t'estimait beaucoup... Je..

- Je n'y assisterais pas. Je n'ais cure de la politique. Cela n'est pas de mon ressort. Je laisse cette tâche aux autres elfes. Le coupa t-il froidement.
- Tu ne devrais pas. Cela te concernes, tout autant que moi. Shyrkëll, nous vivons les heures les plus sombres que le peuple n'a jamais connu. Nous soupçonnons ke Fléau d'être en parti responsable de ce meutre. Mais si nous baissons les bras, il ne rencontrera plus aucunes résistances dans le monde libre. Les hommes sont cupides et ne prennent guère ce avertissements en considération. Les nains se terre dans leur royaume et se fichent du sort de Gaïa. Nous sommes la seule puissance, affaiblie, certe mais encore debout, qui puisse lui faire rempart. Allons-nous baisser les bras et le laisser prendre chaque vie ?
- Bien sur que non ! Répliqua Shyrkëll.
- Alors nous devons nous relever et faire face dignement à cette situation.
Il nous faut un roi. Un homme capable de prendre les bonnes décisions et de guider le peuple en ces temps si sombres. C'est ce qu'Anàrion aurait voulu. Que nous nous battions contre ce mal. Nous ne devons pas rester impuissant et figer dans la tristesse et la douleur.

- Et tu seras ce roi ? Un semi-elfe ? questionna le dragonnier acerbe.
Siran refoula sa colère. En employant le terme "semi-elfe", il savit bien que Tahl'Ari sous-entendait un sang impure. Ni véritablement homme, ni elfique... Et cela était une des pires insultes que l'on pouvait faire à un sang-mêlé...
- Non. Je ne désire pas le trône.
Le commandement des armés me procure bien assez de soucis. C'est justement ce que le conseil doit décider ce soir.
Et pour ta gouverne, le corps d'Anàrion sera incinéré demain. Il y aura une cérémonie et un hommage lui sera rendu. J'espère que tu y seras au moins présent.
Mais pour le moment, je crois qu'il serait plus sage de te laisser. Tu devrais te reposer. Tu connais le chemin jusqu'à ta chambre. Ma compagnie ne semble pas la bienvenue.


Et sans attendre de réponse, il partit. Shyrkëll l'écouta s'éloigner. Il savait que par ses mots durs, il l'avait blesser. Il s'en voulait. Il n'avait pa à rejeter sa colère sur lui. Il savait bien que Siran avait tout tenté pour retrouver cette soit-disant princesse.
Le semi-elfe avait toujours été bon. Sans doute s'en voulait-il profondément pour la mort du roi. Tahl'Ari n'avait pas à l'enfoncer.

Il regagna silencieusement ses appartement. En réalité, il s'agit d'une chambre et d'un petit salon. Cette pièce était sommaire comparée au reste des chambre. Et cela lui convenait parfaitement.
"Tu n'aurais jamais du te montrer aussi dur avec lui"
"Je le sais Lir'Yaël. Je regrette mes paroles."
"Tu devrais aussi assister au conseil"
"Je ne sais pas, je n'y aurais pas ma place..."
"Fais comme tu le sens. Je ne t'y forcerais."
"Quand viendras-tu ?"
"Au plus tard demain. Mes ailes sont moins douloureuses. Promets-moi que nous ne ferons pas de tel voyage à chaque fois..."
"Je ne sais pas Lir'Yaël. Je ne sais ce qui adviendra à l'avenir..."


Shyrkëll ferma la porte de sa chambre à clé. Il défit la boucle qui retenais le fourreau de son épée sur sa poitrine et déposa son arme près de lit. Il retira ses avant-bras, dont son bouclier. Puis retira sa chemis. Il fit un brin de toilette. Se coucha et s'endormit...
Le dragon couleur hémoglobine, quant à lui, perdu dans la forêt, s'endormit à son tour...
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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeJeu 13 Jan - 15:57

Ochros

Le dragon Ocre veilla sur l'elfe pendant tout le chemin parcouru pour arriver à la citée des elfes.
Il alla survoler cette citée qui lui inspirait un certain respect pour les elfes. Il ne repera rien de dangereux. Il se souvenait qu'il été l'ambassadeur des dragons et qu'il devait aider pour que les elfes se joignent à eux. Il rejoignit ses compagnons de voyage.

Shyrkëll leurs expliqua que les habits blanc des elfes signifiaient qu'ils étaient en deuil à cause de la mort du roi.

Le dragon cracheur d'acide scrutait et analyser tout ce qui se passait autour de lui.

Arrivés dans la cours du château un demis vint les accueillir. Les présentation furent faite il se nommait Siran et s'inclina devant le dragon. Celui ci flatté par sa politesse lui rendis son salut en inclinant la tête. Puis les deux races elfiques donnèrent congé à Kasei.
Ce dernier partit donc avec un page tandis que les deux elfes rentrèrent dans le château.

Le dragon couleur brique se retrouva seul. Il s'allongea en attendant. De nombreux elfes vinrent le voir intrigués et tentèrent de communiquer. Il ne répondit pas mais laissaient les enfants toucher ses écailles. Il le fit à contrecœur car il savait qu'il devait donner une bonne image du peuple dragon en se montrant amical.

Il entendit des gardiens discuter de la mort du roi par une prétendu princesse lamia. Intrigué, il prit la décision de partir à sa recherche. Avant cela, il s'adressa aux gardiens estimant que pour une fois leur parler étaient necessaire:

"Oh brave et courageux soldats elfique, je vous pris de m'excuser de vous avoir entendu parler de l'assassin de bien aimé et noble roi décédé. Je désire la retrouver afin que vous puissez la juger sur ces actes. Sauriez vous qu'elle direction elle a prise?"

Le dragon s'inclina avec tout le respect dont il était capable.
Les deux gardes furent étonnés mais ravies que le dragon leur ait parlé, il lui indiquèrent la direction prise par l'ennemi.
Le dragon sur ces mot décolla et laisse l'elfe qu'il devait proteger à l'abri parmi les siens.


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MessageSujet: Re: AGRIMADA   AGRIMADA Icon_minitimeDim 27 Fév - 13:40

Ocros eut beau parcourir le vaste territoire elfique et fouiller le moindre bosquet il ne trouva point la créature malfaisante.
Il retourna à la cité elfique et Lir’Yaël qui était arrivé entre temps, il lui transmit sa déception de ne pas avoir réussi à trouver l'assassin du roi.

Est ce que cet évènement força le destin? Nul le sais mais Shyrkëll réapparu avec une vingtaine de mage.

-J'ai réussi à réunir ces puissants magiciens pour se rallier à vous afin de détruire ce mal qui essaye de nous affaiblir pour mieux nous exterminer.


Ochros était ravis, des préparatifs se firent et les mages embarquèrent dans un bateau.
Ochros et Lir'Yaël avec Shyrkëll suivirent par les airs. Ils firent cap vers les iles rocailleuses.


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